Le fonctionnement des réacteurs nucléaires pendant les périodes de canicule est pris en compte dans leur démonstration de sûreté. Les températures considérées sont régulièrement réévaluées, notamment à l’occasion des réexamens périodiques, pour prendre en compte les évolutions climatiques.
Le 4 juillet 2019, le directeur général de l’ASN a convoqué le directeur de la centrale nucléaire de Flamanville à la suite des difficultés rencontrées sur cette centrale depuis mi-2018. Après l’avoir auditionné, l’ASN a demandé au directeur de la centrale de transmettre d’ici la fin du mois d’août un plan d’action visant à renforcer la maîtrise et le contrôle des activités d’exploitation.
L’ASN a autorisé, le 27 juin 2019, la mise en service de la phase 1 de l’extension SPIRAL2 de l’installation nucléaire de base (INB) 113, dénommée GANIL, située dans les communes d’Épron, de Caen et d’Hérouville-Saint-Clair.
L’ASN a analysé les rapports de conclusions des réexamens périodiques des installations nucléaires de base (INB) 33, 38 et 47, en cours de démantèlement par Orano Cycle (ex AREVA NC) sur le site de La Hague.
A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale de Caen de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2018 en région Normandie.
Par courrier du 19 juin 2019, l’ASN a informé EDF que, compte-tenu des nombreux écarts survenus lors de la réalisation des soudures de traversées de l’EPR de Flamanville, celles-ci devaient être réparées.
Par courrier du 19 juin 2019, l’ASN a informé EDF que, compte-tenu des nombreux écarts survenus lors de la réalisation des soudures de traversées de l’EPR de Flamanville, celles-ci devaient être réparées.
A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale de Caen de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2018 en région Normandie.
L’ASN classe au niveau 2 de l’échelle INES un événement significatif pour la sûreté nucléaire relatif à un défaut de résistance au séisme de tuyauteries des groupes électrogènes de secours à moteur diesel (diesels de secours) des centrales nucléaires de Civaux, Gravelines et Paluel.
L’ASN a poursuivi ses actions de contrôle du chantier de construction du réacteur EPR de Flamanville 3 et des différentes fabrications lui étant destinées. Les points marquants de l’année 2018 et du début de l’année 2019 sont détaillés ci-après ; l’ASN a été particulièrement vigilante au traitement des écarts détectés sur les soudures des circuits secondaires principaux et à la poursuite des essais de démarrage du réacteur.
L’ASN a réuni les 9 et 10 avril 2019 son Groupe permanent d’experts pour les équipements sous pression nucléaires (GP ESPN) sur la démarche proposée par EDF pour traiter les écarts affectant les soudures des tuyauteries principales d’évacuation de la vapeur du réacteur EPR de Flamanville.
L’ASN a réuni les 9 et 10 avril 2019 son Groupe permanent d’experts pour les équipements sous pression nucléaires (GP ESPN) sur la démarche proposée par EDF pour traiter les écarts affectant les soudures des tuyauteries principales d’évacuation de la vapeur du réacteur EPR de Flamanville.
L’ASN réunira le 9 avril 2019 son groupe permanent d’experts pour les équipements sous pression nucléaires (GP ESPN) au sujet de la démarche proposée par EDF pour traiter les écarts affectant les soudures des tuyauteries principales d’évacuation de la vapeur du réacteur EPR de Flamanville. L’ASN prendra ensuite position sur la démarche d’EDF.
L’ASN réunira le 9 avril 2019 son groupe permanent d’experts pour les équipements sous pression nucléaires (GP ESPN) au sujet de la démarche proposée par EDF pour traiter les écarts affectant les soudures des tuyauteries principales d’évacuation de la vapeur du réacteur EPR de Flamanville. L’ASN prendra ensuite position sur la démarche d’EDF.
EDF a déclaré en 2017 un événement significatif pour la sûreté portant sur l’absence de démonstration de résistance au séisme des ancrages dans le génie civil de systèmes auxiliaires des groupes électrogènes de secours à moteur diesel (diesels de secours) de de ses réacteurs électronucléaires de 1300 MWe. L’ASN avait classé cet événement au niveau 2 sur l’échelle INES.