Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Finie la compétition vers le tout nucléaire les yeux fermés. Le nucléaire est déjà un risque en soi, n'ajoutons pas à cela du bricolage du dimanche sous couvert de sommes monstrueuses déjà engagées. Merci de ne pas mettre nos/vos vies en danger.
La seule voie possible est donc de s'orienter dès aujourd'hui vers une sortie totale du nucléaire.
Le plus grand chantier du 21 ème siècle sera de démanteler notre immense parc nucléaire, cette reconversion de l'industrie nucléaire assurerait à la France une technologie et un savoir-faire exportables qui préserverait les emplois du secteur.
Il n'y a pas d'autre choix cohérent et responsable!

Finie la compétition vers le tout nucléaire les yeux fermés. Le nucléaire est déjà un risque en soi, n'ajoutons pas à cela du bricolage du dimanche sous couvert de sommes monstrueuses déjà engagées. Merci de ne pas mettre nos/vos vies en danger.
La seule voie possible est donc de s'orienter dès aujourd'hui vers une sortie totale du nucléaire.
Le plus grand chantier du 21 ème siècle sera de démanteler notre immense parc nucléaire, cette reconversion de l'industrie nucléaire assurerait à la France une technologie et un savoir-faire exportables qui préserverait les emplois du secteur.
Il n'y a pas d'autre choix cohérent et responsable!

Finie la compétition vers le tout nucléaire les yeux fermés. Le nucléaire est déjà un risque en soi, n'ajoutons pas à cela du bricolage du dimanche sous couvert de sommes monstrueuses déjà engagées. Merci de ne pas mettre nos/vos vies en danger.
La seule voie possible est donc de s'orienter dès aujourd'hui vers une sortie totale du nucléaire.
Le plus grand chantier du 21 ème siècle sera de démanteler notre immense parc nucléaire, cette reconversion de l'industrie nucléaire assurerait à la France une technologie et un savoir-faire exportables qui préserverait les emplois du secteur.
Il n'y a pas d'autre choix cohérent et responsable!

Finie la compétition vers le tout nucléaire les yeux fermés. Le nucléaire est déjà un risque en soi, n'ajoutons pas à cela du bricolage du dimanche sous couvert de sommes monstrueuses déjà engagées. Merci de ne pas mettre nos/vos vies en danger.
La seule voie possible est donc de s'orienter dès aujourd'hui vers une sortie totale du nucléaire.
Le plus grand chantier du 21 ème siècle sera de démanteler notre immense parc nucléaire, cette reconversion de l'industrie nucléaire assurerait à la France une technologie et un savoir-faire exportables qui préserverait les emplois du secteur.
Il n'y a pas d'autre choix cohérent et responsable!

Finie la compétition vers le tout nucléaire les yeux fermés. Le nucléaire est déjà un risque en soi, n'ajoutons pas à cela du bricolage du dimanche sous couvert de sommes monstrueuses déjà engagées. Merci de ne pas mettre nos/vos vies en danger.
La seule voie possible est donc de s'orienter dès aujourd'hui vers une sortie totale du nucléaire.
Le plus grand chantier du 21 ème siècle sera de démanteler notre immense parc nucléaire, cette reconversion de l'industrie nucléaire assurerait à la France une technologie et un savoir-faire exportables qui préserverait les emplois du secteur.
Il n'y a pas d'autre choix cohérent et responsable!

Bonjour,
Comme beaucoup de gens interrogés, je ne suis pas assez spécialiste en rupture des matériaux pour donner un avis scientifique.
Vous seuls, l'ASN, pouvez donner un avis quantitatif sur le risque qui existe avec cette cuve. J'aimerai croire que vos conclusions sont basées sur des résultats objectifs obtenus par des sources totalement indépendantes, et que vous prenez en compte tous les risques, naturels, industriels ou terroristes qui pourraient survenir à Flamanville. Si cela est vrai, une de mes demandes seraient d'écrire dans votre conclusion que les contrôles de la cuve devront être effectués par des organismes indépendants en qui vous avez confiance. Personnellement, je ne ferai pas une seule minute confiance à une entreprise qui est soupçonnée de corruption en Afrique dans le projet UraMine.

Je donnerai donc un avis citoyen.
Aujourd'hui, l'EPR est déjà un gouffre économique que je serai plutôt d'avis d'arrêter de creuser. Ne pensez surtout pas, qu'après avoir dépensé plusieurs milliards d'euros, il faut absolument construire cet EPR et essayé de le rentabiliser. Au contraire, on vous pardonnera plus facilement d'avoir dépensé 6-7 milliards dans l'EPR mais d'avoir eu le courage de dire stop plutôt que d'insister et provoquer un accident qui coûtera bien plus économiquement et socialement à la société.

Ne pensez pas non plus que l'industrie du Nucléaire se doit de réussir ce challenge technologique. Je pense personnellement que le nucléaire de troisième génération ne sera pas l'énergie de demain. Si vous voulez vraiment un défi, construisez une centrale à fusion, des génération 4 avec de hauts niveaux de sécurité et décontaminés les anciennes centrales à mesure que les vraies renouvelables avec ce qui favorisera leur intégration les remplacent.

Concernant votre propre situation, le lobby nucléaire est extrêmement puissant en France et j'imagine qu'il l'est devenu un peu plus avec ce gouvernement. Mais depuis les derniers mois, Nuit Debout puis les Insoumis , vous avez peut-être que les citoyens avaient aussi envie de prendre en main leur pays et qu'ils auront leur mot à dire. N'ayez donc pas peur de dire non à ce projet s'il ne correspond pas à votre vision d'une société durable.

Concernant cet avis, je vous dit donc de ne pas avoir peur de dire non. Personnellement, je préférerai ne pas mettre un sou de plus dans ce projet et l'arrêter aujourd'hui quitte à investir dans du nucléaire plus "propre".

Merci d'avoir organisé cette consultation, j'espère qu'elle sera prise en compte, tout au temps que des intérêts commerciaux, internationaux bien loin de la réalité.

Greg Azemar, étudiant à Mines ParisTech

Avis négatif : les risques encourus ne sont pas objectivement quantifiés en termes de conséquences humaines, écologiques, au plan financier. Comment un avis favorable peut-il être donné en l'état d'une méconnaissance absolue sur de telles conséquences. Il appartient aux autorités de faire prendre en compte l'ensemble de ces risques prévisionnels et des lors que Areva et EDF ne sont pas en mesure de garantir une absence totale de risque, d'interdire la poursuite de cette centrale.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
•
J'estime que la cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Considérant que les essais réalisés ont mis en évidence le fait que les composants ont des qualités inférieures à celles requises initialement et qu'il existait des techniques disponibles permettant de les éviter.

Considérant qu'un nouveau couvercle pourrait être disponible fin 2024 et que l'arrêt de l'utilisation du couvercle existant devra ce faire au même moment.

Considérant que seul le couvercle se verrait remplacer, la cuve resterait.

Il faudrait donc que les délais, à sept ans, soient respectés pour la fabrication d'un nouveau couvercle.
Que les défauts, le plus défavorable ai bien été prit en compte, tout comme les problèmes extérieurs qui pourraient se répercuter sur la cuve ou le couvercle, notamment le plus défavorable.

Considérant mon ignorance technique en ce domaine je fais appel à mon bon sens et je me dis que le délais du 31 décembre 2024 aura du mal a être tenu étant donné que les travaux de l'EPR ont déjà prit deux fois plus de temps que prévu et que le coût a plus que triplé, que les exigences du départ sur la cuve et le couvercle sont revues à la baisse, du moins temporairement, j'ai du mal à croire dans ce cas précis tout se passe bien.

De toute façon, le contribuable paiera, pour le bien être de tout le monde il serait peut-être bon de prendre au minimum les précautions prévues initialement. Si c'est une question de communication, qu'est ce qui est le plus désastreux, un contre-temps ou une négligence ? Et bien entendu comme la communication est une chose et que la sécurité en est une autre, la même question se pose avec des conséquences toutes autres.

J'espère et j'imagine que vous êtes des personnes sérieuses et que vous prenez bien la mesure des risques. J'ai connu cette page grâce à Greenpeace, je considère donc que vous agissez dans le même sens, avec des méthodes différentes. Grâce aux alertes et mises en gardes de vos deux entités il est possible d'y arriver mais quand je vois le monde actuel et que des militant de Greenpeace peuvent faire de l'escalade sur les centrales, je me dis que tous les risques sont loin d'être évité et qu'on devrait vraiment respecter les exigences prévues au départ, quitte à prendre un peu plus de temps.

Merci pour cette consultation, en espérant de tout cœur que le pire sera évité et de loin, très loin si possible.

Il s'agit de nucléaire, comment peut-on se permettre de prendre un risque ? Soyez indépendants dans votre décision svp, Areva et EDF ne pensent qu'à leurs intérêts financiers. Il y a régulièrement des articles dans le canard enchaîné sur des anomalies graves dont EDF ne s'occupe pas dans d'autres centrales, on ne peut pas leur faire confiance les yeux fermés. Et comme la maintenance est très sous-traitée, que les sous-traitants retenus le sont pour leur bas coût, comment accepter un tel risque connu dès le départ ! Proposition : passez un marché avec les membres des comités de direction de ces 2 entreprises : le projet peut être accepté en l'état à condition que leur famille aille s'installer dans cette zone et y habite vraiment au quotidien (pas domicilié), ce serait un moyen de prouver leur bonne foi.

Surtout voir ces points essentiels qui me dictent de refuser cette prise de risque :
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Tout est dans le titre: " anomalie (...) du réacteur nucléaire"
En matière de nucléaire les plus grandes precautions doivent être prises, la sévérité des risques est immense et concerne l'ensemble de la population française et au delà de nos frontières.
Nous savons tous que l'énergie nucléaire est une impasse: l'exploitation, le retraitement des déchets, l'enfouissement, la durée de vie, le démantelement, autant de sujets qui ne sont pas en accord avec le développement durable de la vie sur terre et de notre planète elle même.
Ainsi soit-il, nous assumons les choix pris dans le passé. Le minimum que l'on doive faire est de respecter les legislations, les directives, les normes mises en place dans ce secteur afin de minimiser autant que possible les risques encourus.
Il n'y a aucune hesitation, décharge, exception, derogation, ni validation temporaire acceptable. Les matériaux ne satisfont pas au cahier des charges, alors ils ne doivent pas être utilisés. C'est une question de sécurité internationale.
En tant que contribuable, mon avis est de cesser la mise en oeuvre de l'EPR, les coûts engagés sont négligeables en regard de la pérénisation de notre civilisation. Poursuivre le projet comporte des coûts, des risques et encore davantage de déchets polluants.
Il est temps de s'ouvrir aux nouvelles technologies de production énergétiques.

AVIS NEGATIF
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.