Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Les risques de la cuve de l'EPR de Flamanville pour les populations et l'environnement sont indéniables.
La situation va à l'encontre du principe de précaution français, européen et international (Principe 15 de la Déclaration de Rio, 1992), selon lequel tout doute scientifique ne peut mener à une prise de décision allant à l'encontre de l'environnement et des populations.
Elle va également à l'encontre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte de 2015 : le titre V appelle à favoriser les énergies renouvelables, tandis que le titre VI vise à renforcer la sûreté nucléaire. La renforcer, c'est ne pas valider la cuve de Flamanville en l'état.
L'EPR est nécessaire aux besoins énergétiques français; mais jusqu'où irons-nous en matière de risques ? On ne peut imaginer que le nucléaire soit l'avenir de l'énergie; alors s'il faut ouvrir une dernière centrale pendant la transition énergétique, autant qu'elle soit tout à fait viable. Sinon, investissons ailleurs.

Ce ne sont pas les précédents qui manquent en matière de catastrophes nucléaires : Tchernobyl, Fukushima, et tant d'autres centrales dont on a moins parlé, mais qui vieillissent ou pourrissent en silence...!
Si la composition chimique de la cuve de ce réacteur n'est pas conforme aux normes de sûreté requises par l'ASN, il faut un refus clair et net. Pourquoi tourner autour du pot, en lançant cette enquête publique, à une période ou la plupart des citoyens sont en vacances et dont le sujet dépasse d'ailleurs largement leur compétence technique dans ce domaine ?
C'est un sujet qui dépasse largement les frontières de l'espace et du temps... Ce n'est pas aux citoyens français, ni aux citoyens anglais, ni aux citoyens du Monde, ni à leurs descendants (car on oublie aussi le très grave problème des déchets radio-actifs que nous laisserons aux prochaines générations), de payer le prix des erreurs stratégiques et techniques de certains responsables d’EDF, d'AREVA, et de leurs fournisseurs, pour préserver les intérêts financiers immédiats de leurs sociétés.
Dans l'intérêt des populations actuelles et futures, le principe de précaution doit prévaloir sur le principe de rentabilité.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA. 

Nous avons eu déjà plusieurs accidents qui démontrent que cette filière de production d'énergie est dangereuse et qu'il est impossible de tout prévoir et gérer dans le temps toutes les conséquences d'un accident, parce qu'il n'y a pas de bouton rouge qui permette de tout arrêter en un instant: Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima.
Dans le cas Flamanville, des défaillances techniques sont connues avant. On ne pourra pas dire que le scénario de l'accident était impossible à prévoir...
Nous sommes en 2017, après 200 ans de course industrielle effrénée nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. Il serait temps d'utiliser notre intelligence à des projets plus responsables. Ce d'autant plus qu'il s'agit majoritairement d'argent public.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La sécurité de la cuve du réacteur de Flamanville ne peut pas être garanti. L'ASN ne doit pas cèder sous la pression d'AEVA et de l'EDF. Au lieu de faire votre maximum pour assurer la sécurité, non seulement des français mais aussi des toute l'Europe, vous donnez votre accord pour faire fabriquer des pièces pour des cuves qui ne sont pas dans les normes par l'usine Creusot forge d'AREVA qui est dans l'incapacité de fournir un travail à la hauteur. Vous n'avez pas le droit de jouer avec nos vies et celles des générations futurs. Tchernobyl et Fukushima n'ont pas suffit? Voulez-vous qu'un accident se produise en France?