Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

En 1986, tout allait bien, aucun risque. Nous avons eu Tchernobyl. C'était la faute aux installations soviétiques.
En 2011, tout allait bien, les risques étaient bien pris en compte. Nous avons eu Fukushima. C'était la faute au tsunami.
Maintenant, avant même de démarrer une installation, nous savons que la cuve de l'EPR est défectueuse. Oui, mais pas trop!!!! Et on attend encore le prochain accident?
Tout ceci est une aberration, humaine, économique, écologique.
Quand allons nous enfin arrêter de jouer à l'apprenti sorcier?

La cuve est la clef de voute du réacteur. Ces caractéristiques ne répondants pas à celle requises à l'origine.
Avant même sa mise en service, un problème ce pose donc.
Dans l'industrie spatiale de telle manquement aurait entrainer, de fait la disqualification des éléments incriminés.

Cependant dans ce cas AREVA et EDF qui sont juge et partie font comme si de rien n'était, et adapte les règles à la situation.
A première vues les intérêts de l’industrie nucléaire semble surclasser la protection des populations.

On ne peut pas laisser faire ceci est un trop grand risque, compte tenue de la nature même du projet.

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel.
Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve, la pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises. Rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence... comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies.

"Faire progresser la sûreté nucléaire et la radioprotection". Si cette affirmation n'est pas de simple complaisance, il en résulte qu'il convient de rendre un avis défavorable, quoiqu'il en coûte. La question peut-elle se poser ?
Il est indispensable que cette "consultation publique" soit véritablement rendue publique et qu'à cette fin, étant donné la mission d'information qui pèse sur l'ASN, celle-ci prenne au moins les moyens que sont les médias pour en informer le public.

Les couts de l'EPR ont explosé, et ils risquent d'être encore démultipliés si le projet continue. Cette nouvelle péripétie montre aussi que nous ne maitrisons ni les processus industriels, ni les conséquences de la mise en oeuvre de ce type de technologie. Sans parler de notre incapacité à traiter les déchets générés, et pour lesquels nous nous remettons aux générations futures. Si elles existent encore.
Il est urgentissime d'arrêter ce gaspillage colossal d'argent public, qui ne fait plaisir qu'aux technophiles de l'atome, et de passer d’investir dans l'énergie du future, qui ne peut être que renouvelable.

Gouffre financier, risques non négligeables avec des conséquences désastreuses... Tchernobyl et Fukushima ne vous sont-ils pas suffisants ?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il est hors de question concernant la santé et sécurité publique de se satisfaire de la réponse du gendarme du nucléaire : Oui, mais …. À condition que.... Comment se satisfaire de la réponse de ASN qui subit les pressions directes des industriels et financiers au point de ne pouvoir prendre une décision de sûreté en toute indépendance.
Je demande au ministre en charge de la sûreté nucléaire de ne pas autoriser le démarrage de ce réacteur, en appelant à sa « responsabilité » !
Il n’appartient pas aux citoyens français de payer le prix de ce fiasco industriel pour les erreurs stratégiques et techniques d’EDF et Areva.