Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Comme s'en étonnent de nombreux commentateurs, à quoi bon consulter la population sur un sujet si technique, pour lequel des normes ont été pré établies et que personne n'a respecté.
Je rejoins les avis de :
jpq du 25/07/2017 à 9h12
didier du 25/07/2017 à 9h11
Lionel du 10/07 à 16h24 en particulier qui a trouvé une option ultime : "Personnellement j'ai agis en changeant de fournisseur d'électricité, je ne veux plus donner de pognon pour le nucléaire, je vous invite à tous faire de même et de vous équiper en éolienne et en panneaux tout en arrêtant de payer votre abonnement l'été, prenez en un l'hiver si besoin de chauffage. Ainsi le gouvernement sera bien obligé de prendre en compte ces mesures de protestations pouvant rendre complètement bancales le réseau."
remifasol (qui aurait pu se nomer remisafol !!!!) du 10/07 à 15h52

Comme s'en étonnent de nombreux commentateurs, à quoi bon consulter la population sur un sujet si technique, pour lequel des normes ont été pré établies et que personne n'a respecté.
Je rejoins les avis de :
jpq du 25/07/2017 à 9h12
didier du 25/07/2017 à 9h11
Lionel du 10/07 à 16h24 en particulier qui a trouvé une option ultime : "Personnellement j'ai agis en changeant de fournisseur d'électricité, je ne veux plus donner de pognon pour le nucléaire, je vous invite à tous faire de même et de vous équiper en éolienne et en panneaux tout en arrêtant de payer votre abonnement l'été, prenez en un l'hiver si besoin de chauffage. Ainsi le gouvernement sera bien obligé de prendre en compte ces mesures de protestations pouvant rendre complètement bancales le réseau."
remifasol (qui aurait pu se nomer remisafol !!!!) du 10/07 à 15h52

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La sécurité de la population n'est pas un jeu de hasard!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Lors de la conception même de la cuve, EDF et AREVA ont délibérément choisi d'ignorer les inquiétudes de leurs propres ingénieurs quand aux anomalies de la cuve et aux risques majeurs que cela pouvait entraîner. Cette pièce est la pièce maîtresse du dispositif du réacteur, et une défaillance dans celui-ci pourrait avoir des répercutions extrêmement graves, pour les français mais dans le monde entier. Activer tout de même le réacteur en ignorant ce risque ne constitue rien de moins qu'un crime contre l'humanité. Autoriser l'activation de ce réacteur, en ayant connaissance de ces défaillances, est donc se rendre complice de crime contre l'humanité.

a cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour et merci de cette démarche de consultation,
Je ne suis pour ma part ni un dogmatique pro, ni anti-nucléaire (ni d'ailleurs franchement un connaisseur).
1) Je relève toutefois que cette phrase d'introduction de cette consultation : "Areva NP [a lancé un programme d’essais afin de justifier que la résistance] mécanique de l’acier est suffisante dans toutes les situations de fonctionnement, y compris accidentelles", indique que les tests ne visent pas à savoir SI la résistance est suffisante, mais à montrer QUE cette résistance est suffisante. Je ne me fais donc aucune illusion sur les résultats de ce programme d'essai dont les résultats semblent de fait décidés à l'avance. Cet élément, en plus de quelques autres, tendent donc à m'alarmer sur l'intégrité des décisionnaires et sur la prise en compte prioritaire de notre sécurité ou de notre environnement parmi les facteurs qui détermineront les décisions.
2) Je suis profane en la matière, mais suis toutefois interpellé par une seconde partie de cette phrase d'introduction: "dans toutes les situations de fonctionnement, y compris accidentelles". Il serait effectivement très bien que "toutes" les situations soient effectivement envisagées et objectivement étudiées. Comme il en existe toutefois une infinité, je serai curieux de savoir quelles sont les situations considérées comme les seules possibles. Par exemple, une situation aussi simple et probable qu'une coupe budgétaire de plus (et il serait ambitieux d'imaginer que ça ne pourrait pas arriver durant les 50/60 prochaines années), qui priverait plausiblement cette centrale de la maintenance envisagée actuellement, peut-être pendant plusieurs années de fonctionnement, me semble devoir être prise sérieusement en compte (peut-être est-ce d'ailleurs le cas ?).
Quand un pouvoir de nuisance est extrême et que la durée de vie de sa source est conséquente, il importe que les probabilités même faibles soient prises en compte.
J'espère que l'impact de cette consultation ne sera pas réduit à néant par le grand nombre de "copié-collé" qui y figurent...
Jean-Benoit

Refus d'une cuve présentant un risque, il faut arrêter les privilèges des lobbies financiers de faire n'importe quoi et de bafouer l'existence. Il est temps en effet de se tourner vers des énergies plus propres et de faire les investissements pour une électricité sans autant de danger que le nucléaire. Certains pays y arrivent très bien, il serait temps que la France suive les principes de précaution pour ne pas perdre les acquis d'une république démocratique si le peuple a encore un quelconque pouvoir. Ce qu'on se demande.... espérons que les avis seront pris en compte.

La cuve de l'EPR est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être parfaite ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il est inadmissible d'autoriser le fonctionnement de l'EPR de Flamanville simplement pour ne pas mettre en péril un secteur économique du passé. Il est temps qu'AREVA et EDF accepte que le nucléaire n'est plus un service rendu au public mais bien une plaie, le nucléaire est dangereux pour nous et pour les générations futures. Depuis trop longtemps, les decideurs cèdent aux pressions des lobbies du nucléaire et font preuve d'une très grande irresponsabilité tant au niveau de la dépense engendrée que par la prise de risque sanitaire. Il est temps de passez aux énergies renouvelables et non dangereuses. Merci d'interdire la mise en service de cet EPR.