Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La cuve de l'EPR (et son couvercle) présentant de très graves défauts, défauts connus de longue date (2005!) et du fabricant et de l'exploitant (y compris de l'ASN?), il serait totalement irresponsable de permettre la mise en fonctionnement de ce réacteur en l'état.
Le reconnaître, de la part d'une institution comme l'ASN, serait l'occasion de faire enfin tout à la fois la preuve de son sérieux et de son indépendance, ainsi que de réparer la faute par elle commise le 26 novembre 2013 en autorisant EDF à installer la cuve qu'elle savait défectueuse dans le réacteur en construction.
Par ailleurs vu les surcoûts de la construction dus aux retards successifs du chantier, aggravant les situations financières déjà catastrophiques d'Areva comme d'EDF, ne serait-il pas raisonnable d'arrêter les frais et d'admettre que nous sommes incapables de maîtriser cette technologie mortifère et monstrueuse?
Faire vivre les habitants de ce pays sur une nouvelle poudrière espérant par là pouvoir « sauver » la construction des réacteurs d'Hinckley Point, est un pari bien trop risqué qui, en admettant qu'il soit provisoirement gagné, c'est à dire sans accident majeur, retarderait d'autant l'indispensable transition énergétique et accroîtrait encore le gaspillage de fonds publics dans des entreprises qui, si elles étaient privées, auraient disparu depuis longtemps.
Plus généralement, profiter de la circonstance pour abandonner cette énergie de sinistre mémoire du siècle dernier au profit d'énergies propres et renouvelables du futur ne serait-il pas aussi opportun que judicieux?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour,

Fils du XXIème siècle, je peux vous assurer que les nouvelles générations, françaises ou étrangères, détestent le nucléaire. Cette solution énergétique provient du XXème siècle. Elle est donc : vieille.

Voilà dix-sept ans que nous sommes dans le XXIème siècle, pourtant mentalement nous sommes bloqués au siècle dernier. Il faut trouver des solutions énergétiques, des énergies pour notre siècle. Il faut réfléchir à une solution d'avenir, nous n'avons déjà que trop perdu notre temps. Le nucléaire quant à lui a fait son temps. Mais les entreprises énergétiques peuvent contribuer à cet avenir qui est le nôtre, elles n'ont pas à s'enfermer dans des solutions dignes du temps de VGE. Il faut aller de l'avant !

Cordialement

Tchernobyl et Fukushima n'ont pas suffit aux yeux de certains. et on continue à nous bassiner avec l'électricité, donc pour la France, le nucléaire, comme énergie propre. Rigolade et surtout inquiétude, car on ne nous parle jamais du reconditionnement des déchets et autres qui sont une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Quand la France se mettra-t-elle vraiment à produire de l'énergie à partir du solaire, de l'éolien ou autre ? Les gros groupes sont trop puissants pour nos politiques qui ont été financés et le sont toujours par eux. Inadmissible. Nos dirigeants s'occupent-ils plus de leurs intérêts personnels plutôt que de ceux par qui ils ont été mis en place ? prouvez-nous que vous avez été par le peuple et pour le peuple. Il est grand temps que vous agissiez envers les groupes que sont Areva et consorts pour le bien de l'humanité.

Quels risques est-on prêt à prendre, risques qui engagent la vie quotidienne des générations à venir. Qui assumera ses responsabilités en cas d'incident ou même d'accident? On se doute que personne n'osera affronter la justice lorsqu'on saura que les risques étaient identifiés et connus, qu'ils ont fait l'objet de discussion et que contre l'avis de certains citoyens, les risques ont été encourus.
Et d'ailleurs, cette consultation n'est-elle pas que poudre aux yeux? Combien de citoyens devront dire leur refus pour que l'ASN retire son projet d'avis positif. Est-ce qu'on nous dira que 10 000, 100 000 ou même 1 000 000 commentaires défavorables ne font pas une majorité? Et que faute de majorité, l'avis restera positif. Si UN SEUL DOUTE subsiste, l'ASN devrait interdire l'utilisation de ce matériel défectueux, quitte à ce que le projet prenne encore 7 ans de retard, 7 ANS DE REFLEXION supplémentaire ?

Je ne peux pas cautionner ces décisions de pour suivre dans le nucléaire. Tout cela est pour moi "d'un autre temps !"
J'étais ingénieur en construction mécanique, j'enseigne maintenant, et je sais que le risque, malgré tout les cellules que l'on peut faire existe forcément. On ne peut plus prendre ce genre de risque, l'histoire nous montre très régulièrement que les incidents ou accidents arrivent et là, malheureusement, les conséquences seraient majeures.
Il est temps de voir le futur sereinement. .. il faut sortir du nucléaire.

3) ETAPE 3 : vous pouvez ENFIN participer. Rendez-vous tout en bas de la page de consultation et laissez votre commentaire ! Nous devons rappeler à l’ASN les points suivants :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Je me pose une question : La position de l'ASN est d'autoriser le démarrage de l'EPR sachant que la cuve, organe essentiel, comporte des malfaçons qui sont de nature à compromettre la sureté de l'installation. En témoigne le rapport et la décision limitée dans le temps à une poignée d'années. Si l'ASN considère que le terme de la sureté échoue au bout de 5 ans et connaissant les contraintes physiques que la cuve doit supporter, n'est-ce pas la poire que l'on coupe en deux pour éviter le choc politique de l'abandon de la réalisation EPR ? Cette décision ne vaut pas assurance de la fiabilité.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Bonjour, je vous demande instamment l'Arrêt de l'EPR de Flammanville. Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
Merci aussi de facilité l'accès de votre site pour une vraie consultation populaire. Jusqu'ici je vous ai fait confiance, mais depuis juillet je doute de votre indépendance en acceptant la mise en marche de l'Epr avec le risque de la cuve pendant 4 ans c'est déjà inacceptable.
Merci de tenir compte de nos messages pour éviter un accident qui se perpétuerait pour toutes les générations à venir. Soyez responsables !!!
Merci.
Antoine Ehrhard

De nombreux pays se tournent vers des énergies plus renouvelables que le nucléaire, seule la France poursuit sa fuite en avant vers une énergie dangereuse et hautement polluante car personne n'a trouvé le moyen de traiter les déchets et les centrales en fin de vie. Quand bien même on ne pourrait pas se passer de Flamanville, la cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

STOP AU NUCLEAIRE qui est une dépassée énergie du passé.