Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

N'oublions jamais ce que provoque un accident dans une centrale nucléaire.
La cuve est la pièce maîtresse de la sûreté. Cessons de jouer avec des substances aussi dangereuses.
Les pollutions à Tchernobyl, c'est 100 000 ans... Ici comme à Fukushima, la catastrophe n'est pas finie.

Le problème est détecté avant que la catastrophe n'ait lieu, merci à l'ASN pour son travail, il faut aller au bout de la logique
et ne pas laisser ce réacteur entrer en fonctionnement.

Merci pour cette consultation auprès des citoyens.

Il semble que les récentes réserve émises par l'ASN et les expertises mettent en doute les qualités techniques de la cuve de l'EPR de Flamanville, dont la durée de mise en service prévue pourrait créer les conditions d'un incident majeur voire une catastrophe.
La cuve du nouveau réacteur de l'EPR de Flamanville a t'elle toutes les qualités requises pour fonctionner sans risque dans la durée?

L'appareil et les équipes de production de l’usine Creusot Forge d’AREVA ont montré leurs limites et leur incapacité à livrer des pièces conformes aux normes de sûreté. Le recours à des pièces de fonderie Japonaises n'en est qu'un aveux cinglant.

Notre histoire industrielle montre que de nombreux projets ont été des échecs en raison de l'aveuglement des dirigeants, de la culture de la peur muselant les voix "internes" remettant en cause la pertinence des choix effectués, de l'irrationalité (paradoxale) des équipes techniques ayant une foi aveugle en leur technologie, de l'inertie des mécanismes de décisions qui n'ont pas permis d'infléchir certains choix à temps, de l'entêtement à suivre des stratégies caduques.... la liste est longue.

Si ces nombreux fiascos industriels se sont traduits par des pertes économiques, l'EPR de Flamanville, s'il en est un, pourrait se traduire par des pertes environnementales désastreuses sur le très long terme, à la fois sur notre territoire mais aussi sur celui des nations voisines.

Le projet de l'EPR de Flamanville, comme celui d'Olkiluoto, ne sont que les prémices d'un naufrage. Celui d'une stratégie industrielle qui a certes donné à la France un avantage compétitif un temps (mais à quel prix si l'on intègre le coût du démantèlement et du stockage qui font partie intégrante du cycle de vie) mais qui n'a plus de raison d'être. Le navire a percuté l'iceberg et le capitaine rêve encore que son bateau continuera à flotter.

Prenons cette consultation et les réserves faites sur le projet de Flamanville comme LE signal de l'arrêt définitif de ce projet.

La prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies ne peut être un risque acceptable pour notre pays mais aussi pour la planète.

Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour, dans des industries bien moins sensibles que le nucléaire, si on détecte en amont un défaut dans un élément essentiel du produit on décale la sortie pour prendre le temps de résoudre le problème. On évite autant que possible de sortir un produit avec un défaut connu à l'avance. C'est du bon sens.

S'agissant en plus d'un domaine pouvant transformer une zone du territoire en no-mans land, le principe de précaution doit prévaloir sur la logique économique. Merci aux différents intervenants qui ont permis d'identifier cette faiblesse avant la mise en service. Je compte sur l'ASN pour prendre la bonne décision ( comprendre en toute indépendance et sans influence des lobbies) et finalement assurer la mission revendiquée sur le site : "assure, au nom de l'État, la réglementation, le contrôle du nucléaire et de la radioprotection pour protéger le public, les patients, les travailleurs et l'environnement. Elle informe les citoyens"

Cordialement

Mette en route l’EPR c’est mettre en danger toute une région de la France.
La cuve du réacteur est la pièce essentielle de la centrale. Sa qualité doit être impeccable ! Or, ce n’est pas le cas : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

je n’accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Moi citoyens français, je n’aie pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.