Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Il est indispensable d'arrêter les dérives dangereuses d'EDF et AREVA visant à protéger leurs investissement dans une énergie dont les dangers sont sans cesse minimisés au mépris de notre sécurité. De plus le gouvernement prévoyant à terme une sortie du nucléaire, il est absurde de construire une nouvelle central dont le démantèlement future représentant un coup colossale, alors qu'EDF et AREVA ne savent toujours pas comment ils financeront le démontage et comment gérer les déchets radioactifs des central arrivant en fin de vie, à l'instar de la centrale de Brennilis arrêtée depuis 1985. Je m'oppose donc farouchement à ce projet.

"En cas de doute, abstiens-toi"
La production d'énergie nucléaire est vulnérable et fait courir un risque considérable aux populations et aux générations futures qui devront vivre avec avec nos déchets et gérer leur pollution dans la durée.
il est plus que temps de passer aux énergies renouvelables, qui de toutes façons seront bientôt incontournables.
Autant ne pas aggraver notre retard et sortir au plus tôt de l'impasse nucléaire, de son gouffre financier qui n'est probablement pas encore correctement évalué.
Je demande l'arrêt de ce chantier et de façon plus large la sortie du nucléaire, sans délai, sans appel.

EPR de Flamanville : des anomalies de la cuve et du couvercle alarmantes
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

On a bien vu qu'un accident nucléaire est ingérable, on sait que c'est irréversible, destructeur pour les habitants proches et lointains (eau, air et aliments contaminés, maladies) , pour les richesses patrimoniales (fini le tourisme, la gastronomie: lait, fromage, cidre), pour l'économie (l'argent ne peut remplacer la vie).
Un accident nucléaire, c'est la MORT.
Alors, on joue à la roulette russe (ou japonaise) ?
Il est encore temps de montrer son intelligence en arrêtant la construction de l'EPR. Pas de cuve défectueuse, pièce essentielle qu'on ne peut changer pour une centrale nucléaire.
Rouleriez-vous à 130km/h avec une voiture sans frein ?
Soyez digne ! On sort grandi en reconnaissant ses erreurs.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La règle de base du nucléaire c'est la prévention du risque afin qu'un incident ne puisse pas devenir un accident !
Ici à la lecture de tous les comptes rendu il est clair que le processus industriel a été mal maitrisé et que pour des raisons financières et/ou politiques, les règles de base de la sécurité nucléaire sont mises à bas...
Si les autorités "compétentes" acceptent la mise en service de ce couvercle qui ne répond pas aux exigences de sureté cela équivaut à jouer à la roulette russe avec la tête de son voisin...
Pas folle la guêpe, et si par malheur un jour un accident survient sur cette future centrale, et bien les responsables de cette tragédie auront un age qui leur permettra de se dédouaner de leur responsabilités !
Peut importe si de simples citoyens sont irradiés, ces irresponsables n'auront pas la mauvaise idée d'habiter à coté de cette centrale !
Mais bien sur avec beaucoup de chance il n'y auras pas d'accident, alors pourquoi pour faire des économies ne pas supprimer toutes ces instances, ces commissions d'experts, ces institutions qui en fin de compte n'ont pas autorité pour empêcher un accident prévisible ?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

il est urgent d'arrêter le chantier de l'EPR pour 3 raisons :
- financière, gabegie sur le dos du contribuable,
- technique, un couvercle de cocotte-minute non conforme est un vrai danger et n'est pas accepté à la commercialisation. EDF voudrait nous faire croire que le couvercle de la cuve de l'EPR peut être mis en service alors qu'il est notoirement défectueux. il enest de même pour la cuve.
- de sécurité enfin et surtout. Ces technologies nucléaires ont démontré leur manque de fiabilité autant que leur dangerosité. Mettre en service l'EPR revient à rayer de la carte, à plus ou moins brève échéance, un quart de la France, et ce pour quelques milliers d'années.
NON au nucléaire de l'EPR, NON au nucléaire dans sa globalité.
Pagan187

La part d'aléatoire n'a pas sa place quand on parle de nucléaire, on ne peut pas jouer l'approximation ...
En cas de problèmes il y aura trop de conséquences irréversibles, désastreuses et monstrueuses en cascade ...
Passons à une autre ère, celle des énergies renouvelables avec une utilisation raisonnée et modérée.
arrêtons de jouer au savant fou...

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Si, comme le précisait Areva, fin 2014, "une anomalie de la composition chimique de l’acier de la cuve du réacteur EPR de Flamanville, pourrait conduire à dégrader sa capacité à résister à la propagation d’une fissure" et que de plus rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, l'idée même de sa mise en fonction en l'état relègue le "principe de précaution" au rang d'un discours cosmétique.
Ce qui n'est pas conforme aux nécessaires règles de sécurité établies et validées par l'ensemble des acteurs du système n'a pas lieu d'être. L'idée même de faire semblant d'en débattre ou "d'appeler aux avis" est surréaliste !
Dans le même esprit, la SNCF pourrait également nous demander notre avis sur le fait de faire circuler à grande vitesse des trains qui n'ont plus de freins !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.