Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Je n'ai pas le niveau de connaissances-compétences des spécialistes de l'ASN sur cette cuve-couvercle de l'EPR.
Cependant, une lecture attentive des documents proposés, croisée avec un article du journal Le Monde http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2017/06/26/un-feu-vert-sous-condition-attendu-pour-l-epr-de-flamanville_5151256_3234.html me laisse très inquiet :
la cuve est faite d'un acier qui n'a pas la densité en carbone nécessaire (0,32 % pour un maximum acceptable de 0,22 % ) et présente donc des éléments de fragilité : propagation d'une fissure possible, dans le cadre d'une prise de risque 2 à 3 fois plus importante que recommandée dans le cahier des charges
La ségrégation et l’hétérogénéité au sein de l'acier fourni va au-delà de la mi-épaisseur de la structure (p 18-19-20 du Rapport ASN CODEP-DEP-2017)
Le couvercle, de manière similaire, n'offre pas garantie de la fiabilité requise : il est encore plus fragile structurellement et l'ASN n'autoriserait d'ailleurs son utilisation que jusqu'à 2024, ce qui me semble singulièrement bref pour un matériel neuf de cette importance.

L'ASN dont j'ai apprécié ces dernières années l'évolution vers davantage d'indépendance et de vigilance est visiblement amenée à border a minima ses consignes de sécurité devant les enjeux financiers et économiques d'un report éventuel du démarrage de l'EPR.
Cet exercice d'équilibrisme me laisse d'autant plus soucieux que la vérification de la sécurité dépend des informations données par EDF et AREVA. Or les négligences dans les exigences de qualité et le suivi des composants sont avérées. Elles auraient dues être détectées avant l'installation sur place dans l'enceinte de Flamanville.

- Avant : « Le rapporteur du rapport constate qu’Areva NP n’a pas tenu compte de l’état d’avancement de la technique et de la pratique au moment de la conception et de la fabrication et n’a pas utilisé la meilleure technique disponible. » (p 126 rapport cité)
- Après : AREVA n'avait pas vu la mauvaise qualité de l'acier de la cuve : l'anomalie n'a été découverte que suite aux démarches de l'ASN

Les tests sur les pièces sacrificielles proposées par AREVA suite à l'interrogation sur la fiabilité de l'acier amènent l'ASN a donné un feu vert au démarrage de l'EPR alors que l'Autorité dans son avis en est parfois réduite à exprimer un souhait qui me paraît singulièrement inutile voire même dramatique : « que ces paramètres restent dans le cadre de la justification, et notamment de garantir l’absence d’apparition de défaut ; » (p 4 du « Projet d'Avis »)

Certes, le nucléaire m'a toujours préoccupé, mais la culture d'excellence portée par les entreprises et les hommes de ce métier ont permis jusqu'ici un haut niveau de sécurité en France. Dans le cas de l'EPR, au contraire, négligence et laxisme ont conduit à réduire les marges de sûreté.

Nettement, il s'agit d'une rupture dans cette culture et les pratiques de l'ensemble de la filière.
L'ASN a -t-elle les moyens de nous garantir un fonctionnement sécure à 100% ?

Face au moindre doute sur les composants du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville, ne donnez pas votre feu vert à son utilisation. En cas de problèmes, les conséquences peuvent être irréversibles. Tout est "près" en France, tous nos enfants seront en danger peu importe la région ou le département dans lesquels on habite, sans parler des conséquences pour les autres pays également. Ne cédez pas à des pressions qui vont à l'encontre du principe de précaution.

Malgré l'avis favorable de sa mise en service avec un couvercle pas aux normes, nous citoyens français sommes contre une telle action. Investissez dans d'autres énergies propres et respectueuses de l'environnement. C'est notre argent via les impôts que l'Etat utilise pour vos réparations... nous avons donc notre mot à dire et nous vous remercions d'ailleurs pour cette consultation citoyenne. NOUS NE VOULONS PLUS DU NUCLÉAIRE, C'EST BEAUCOUP TROP DANGEREUX ET TROP CHER. PRENEZ EXEMPLE CHEZ NOS VOISINS NORDIQUES QUI FONT BIEN MIEUX QUE NOUS!!! Ici en France nous avons le soleil, le vent et la mer, ne le voyez vous pas? Ouvrez vos yeux, l'énergie est là autour de vous partout!! Réveillez-vous, nous ne voulons plus du nucléaire et nos enfants en voudront encore moins. Devenons plus intelligent, propre en énergie et indépendant économiquement. Et montrez l'exemple, aidez les autres pays aussi, au lieu de leur vendre du nucléaire aidez les à en sortir. Ils vont remercierons plus tard... Sans uranium, nous pouvons être indépendant énergétiquement parlant et nous limiterons les guerres. De quel droit nous occidentaux nous prenons l'uranium d'un autre pays? Seriez-vous content si des pays africains viendraient à moindre coût nous acheter toute nos ressources? Non vous ne le seriez pas ... réfléchissez...vous êtes bien ingénieurs...non? Mais il ne faut pas sortir des grandes écoles pour savoir ce que nos enfants ont besoin...un monde plus propre et plus sûr... le nucléaire est loin de tout ça alors on dit non au lancement de cette cuve ni d'aucune autre... on peut faire autrement... nos enfants vous remercieront... merci!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Les irresponsables EDF et AREVA sont déjà en train de ruiner la France et en plus ils veulent mettre en service des matériels défectueux !

Rappel de l'avis de Mikhaïl Gorbatchev à propos de Tchnernobyl. Traduit de l'anglais par Patrice Horovitz Mis à jour le 15/10/2007 à 20:36 Publié le 26/04/2006 à 06:00
La catastrophe de Tchernobyl, dont c'est le vingtième anniversaire aujourd'hui, a peut-être été la véritable raison de l'effondrement de l'Union soviétique cinq ans plus tard, davantage même que la perestroïka que j'ai initiée. Elle a marqué un tournant historique.

Sortons du nucléaire dispendieux et dangereux le plus vite possible et investissons massivement dans les énergies renouvelables qui créeront des milliers d'emplois (Voir l'Allemagne, le Danemark.....)

Bonjour, votre décision d'autoriser la mise en service avec la cuve en l'état, sous des dehors de "neutralité" technicienne, est d'une grande lâcheté. Ça s'appelle "ouvrir le parapluie"... En cas de problème, votre position sera : "On vous l'avait bien dit". Il est évident qu'il faut imposer le remplacement de la cuve et de son couvercle AVANT la mise en service. Pas besoin d'être un grand scientifique pour comprendre que l'opération sera beaucoup plus complexe, longue, et onéreuse, voire impossible, APRÈS la mise en service. Par conséquent, EDF se réfugiera derrière toutes ces
"bonnes" raisons pour ne PAS y procéder. Si vous pensez qu'il n'est pas possible de garantir la sécurité de l'installation au-delà d'une durée de 6 ans, il faut soit interdire la mise en service, soit imposer le remplacement de la cuve AVANT la mise en service. Songez aux répercussions d'un accident majeur comme à Fukushima. A vos enfants, petits-enfants,
arrière-petits-enfants. Et si vous êtes insensibles aux aspects humains, alors pensez aux aspects économiques. Que pèsent les petits calculs d'EDF et d'AREVA par rapport à l'avenir économique de notre pays en cas d'accident majeur... Les vents dominants "arroseraient" une grosse partie du territoire. Que deviendraient l'agriculture, le tourisme ? Le PIB, et l'Energie, ne devraient être qu'un moyen au service des hommes, pas un but.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.