Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Par soucis de précaution, de sécurité et aussi économique, je suis contre cette prise de risque pour les mêmes points précédemment cités :

- La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
- Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
- La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !

Par ailleurs, je pense que la France perd un terrain énorme sur les technologies de production d'énergie renouvelables et de stockage d'énergie. Hors des investissements dans ces nouvelles technologies sont importants pour que la France puisse rester un acteur important de l'énergie dans le monde. Il est très clair que notre retard s'accumule face au pays qui ont déjà réorienté leur R&D et leur système de production.

Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Jouer avec le feu :

Signification : Faire des tentatives imprudentes.

Origine : Expression française familière synonyme de l’expression tenter le diable où l’imprudence est caractérisée par le mal qui risque d’en découler. Dans les deux cas, le diable et le feu qui le représente ont toujours existé dans l’imagination humaine et on ne finit pas de leur attribuer tous les maux. De ce fait, jouer avec le feu c’est faire appel au démon dictant une conduite imprudente qui ne peut mener que vers le malheur et subir donc les conséquences de ses actes.

Exemple d’utilisation : Il avait voulu piquer Modeste en traitant le mariage de catastrophe et en s’en montrant éloigné ; mais ; comme tous ceux qui jouent avec le feu, ce fut lui qui se brûla. (H. de Balzac)

Expression française synonyme : Tenter le diable, se lancer dans une entreprise prométhéenne

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Comme beaucoup de commentaires avant moi, je suis contre cette prise de risque pour les mêmes points précédemment cités :

- La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
- Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
- La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !

Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Il est inacceptable que ce projet se poursuive!
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Le niveau de sécurité n'étant pas suffisant et Areva ayant déjà montré ses difficultés à maintenir un niveau de sécurité satisfaisant, La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel, le principe de précaution doit prévaloir. je n'accepte pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA. Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Au delà de ce message copié-collé depuis le site de Greenpeace (que je remercie pour nous tenir informés), il en va de l'avenir de l'énergie en France, on sait très bien qu'elle passe par les énergies renouvelables et qu'il y a là un énorme gisement d'emplois et d'économies. Arrêtez de vous entêter avec l'énergie nucléaire, coûteuse et dangereuse. EDF et Areva devrait réorienter leurs politiques de R&D.

Je suis un ancien inspecteur du travail et un ancien inspecteur général des affaires sociales : la "fausse" sécurité est plus dangereuse que l'absence de sécurité. C'est pourquoi l'ASN, en charge de la prévention du risque nucléaire, ne peut pas valider le niveau d'insécurité présenté par la cuve mal fabriquée dans la forge d'Areva. Il est idiot, pour ne pas dire d'une inconscience folle, de faire le pari qu'un dispositif qui ne répond pas aux exigences de sécurité et de sûreté va quand même assurer la protection des salariés et de la population. En dépit des précautions de style prises par l'ASN et l'IRSN, les salariés de l'ASN qui, sous la pression des autorités et des parrains du nucléaire, vont apposer leur signature sous un avis favorable donné à la cuve contestée, quelles que soient les réserves et les prudences exprimées, seront devant l'histoire, les familles des victimes et leurs descendants, responsables de la catastrophe en cas d'accident. Ils auront accompli le terme de la malédiction qui pèse depuis le départ sur le chantier d'aménagement de l'EPR

Vous n'êtes pas sans savoir que toute mécanique défectueuse entraine un mauvais fonctionnement , dans un moteur de voiture essence par exemple cela peut être une fuite d'huile à cause d'un joint de mauvaise qualité qui entraine une perte d'huile et cela peut causer la fin du moteur, avec une cuve pour un réacteur nucléaire c'est pareil sauf que cette fois là ce sont des éléments radioactifs qui fuitent et que le réacteur nucléaire risque de signer sa fin mais de façon plus spectaculaire on va dire .

Petits rappels : La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.