Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Sans la cuve de l'EPR, pas de centrale. Hors, la cuve de Flamanville n'est pas sans risque. Je ne peux pas accepter, en tant que citoyenne, que l'on puisse prendre autant de risque, risque contre l'humanité toute entière. Car la radioactivité n'a pas de frontière.

L’usine Creusot Forge d’AREVA :
L'ASN le sait, elle n'a pas les capacités et le matériel pour produire ce qui lui ait demandé. Comment pouvez-vous prendre de tels risques? Ceci est du non-professionnalisme.

Il y a trop d'anomalies de la part d'AREVA et d'EDF ces derniers temps.
Je souhaite que l'Autorité de Sûreté Nucléaire prenne la décision la plus sage, non pas au profit de l'industrie, mais pour la sécurité de nous tous, terriens.

STOP EPR.

Merci à l'ASN de permettre cette consultation. J'ai toute confiance en l'ASN pour prendre la bonne décision même si celle-ci est déjà partiellement tracée. Un élément qu'on ne prend pas forcément en compte c'est le fait que le nucléaire a sauvé et permettra encore de sauver de nombreuses vies en France. En effet n'oublions pas que si le choix du nucléaire n'avait pas été fait dans le années 70 nous aurions eu droit à la production nucléaire via les centrales à charbon pulvérisé (aucune autre technologie permettant une production en masse n'étant alors disponible). Ces centrales produisent des particules fines au même titre que les véhicules diesel. Or, nous savons depuis quelques années que ces particules causent la mort prématurée de plus de 40000 personnes en France. Au fait combien l'énergie nucléaire fait elle de victimes? Remplacer le nucléaire par l'énergie fossile aurait sans doute conduit à la mort prématurée de plusieurs milliers de personnes supplémentaires par an. Les écologistes ne doivent pas se tromper de cible. Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Votre rôle en tant que garant de la sûreté nucléaire est d'interdire l'utilisation de cette cuve qui présente des défauts selon les spécialistes. Les intérêts d'une société qui mise sur des moyens inappropriés , couteux et dangereux pour produire de l'électricité ne doivent pas primer sur la sécurité de tous.

Nous savons tous que le nucléaire en France n'a pas d'avenir sur le long terme , il sera de plus en plus couteux et la question des déchets n'est toujours pas correctement traitée. Il aurait fallut miser sur les réacteurs à sels fondus et le thorium plutôt que de s'entêter avec les EPR.

17 juin 2017, explosion d'un siphon à crême chantilly dû à un pièce defecteuse, 1 morte
En 2016, plusieurs airbags défectueux du constructeur Takata provoquent 16 morts
28 décembre 2014, crash du vol d’AirAsia dû à une pièce défectueuse, 162 morts
12 juillet 2013, accident de train à Brétigny sur Orge dû à une éclisse défectueuse, 6 morts
9 juillet 2011, garde-corps défectueux d'un immeuble, 1 morte
Depuis 2003, plusieurs accidents de meuble Ikea malconçus, au moins 6 enfants morts
Juillet 2000, une pièce defectueuse laissée sur le tarmac après le décollage d'un DC10 provoque le crash du Concorde, 113 morts. Les experts judiciaires avaient relevé une faiblesse structurelle des réservoirs du supersonique. Faiblesse connue du constructeur, Aérospatiale, et de la Direction générale de l'aviation civile, qui délivre les certificats de navigabilité des avions.

- Combien de morts faudra t-il à Areva et EDF pour qu'ils reconnaissent enfin qu'un couvercle et un fond de cuve défectueux ne sont pas anodins ?

C'est irresponsable de mettre en activité un équipement dont un des élément essentiel à sa sécurité est défectueux
Une fois mis en activité (si ça arrive) est-ce qu'il sera "possible" de l'arrêter (comment compenser la production non fournie, durée de l'arrêt) afin de changer le couvercle vu que cette centrale doit remplacer plusieurs centrale.
Ne serait-il pas plus souhaitable pour la sécurité de tous et toutes de remplacer le couvercle MAINTENANT avant d'envisager son démarrage, cela me semble du bon sens mais sans doute il y a t il d'autres intérêts et enjeux ... et vu le retard pris et les surcoûts déjà engagés... est-on à un élément prêt fusse-t-il de (très) haute importance voire critique .... Les précédents retards et surcoûts concernaient-ils des éléments aussi importants, si ce n'est pas le cas alors c'est incompréhensible de passer outre le changement de ce couvercle. Certes cela conditionne les autres EPR de part le monde mais cet EPR ne devrait-il pas servir de modèle, d'exemple....

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Après les nids de gravier dans l'enceinte béton (merci Bouygues), graves désordres de construction révélés par la Canard Enchaîné, voici les nids de carbone dans l'acier!!!
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté (réécouter l'émission sur France Inter sur ce sujet: https://www.franceinter.fr/sciences/cuve-de-l-epr-de-flamanville-l-incroyable-legerete-d-areva-et-edf) .
C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Si cette cuve devait être validée, nous serons nombreux et déterminés pour prendre acte du risque inacceptable IMPOSE aux populations par la chaîne d'irresponsabilité qui prévaut à la prise de décision dans la filière nucléaire française.
NOUS TRAÎNERONS DEVANT LES TRIBUNAUX LES RESPONSABLES DE CETTE GABEGIE TANT INDUSTRIELLE QUE SANITAIRE ET ENVIRONNEMENTALE.
Sortons de cette industrie de mort certaine!

Bruno SEVIN

Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La logique de l'investissement doit passer après la sécurité des populations. Le fournisseur de la pièce n'avait pas la capacité de fournir la pièce avec les spécialistes spécifications nécessaires. Seule la logique de l'investissement explique la mise en service de l'EPR dans ces conditions. On ne peut prendre les populations en otage pour cette seule logique d'investissement que l'on refuse de voir perdu. Il eut fallut arrêter le projet que de tenter de sauver un investissement qui était en pure perte dès le départ. C'est inadmissible.