Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Nos enfants meritent mieux qu'un pays arriéré refusant de lacher une technologie qui a depuis longtemps montré ses limites et les ravages qu'elle engendre. Si de surcroît, nos hautes autorités de sécurité ne prennent pas les mesures qui s'imposent devant un risque tel
que celui que nous fait courir la cuve en question alors autant se rendre à l'evidence, seul l'enrichissement des élites importe désormais.
Ne nous trahissez pas. Condamnez ce reacteur, fermez cette centrale et sortons du nucléaire.

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies car le jour ou cela va céder, vous ferez quoi? un nouveau Tchernobyl? Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA, c'est a ses dirigeants de payer pour leurs incompétences comme cela se fait dans une petite entreprise normale, si le salarié fait une erreur, il doit la corriger

Comment peut-on encore croire à l'utopie du nucléaire de nos jours ? Je ne vais pas surdévelopper mon commentaire, car tout cela a déjà très bien été abordé par de nombreuses personnes, en détail, et qui certainement s'y connaissent bien mieux que moi sur le sujet. Je vais essayer d'être simple et pas trop long dans mes propos. Je tiens simplement à résumer les points essentiels sur les dangers du nucléaire qui aujourd'hui sont bien connus, notamment par les entreprises du secteur (comme Areva pour n'en citer qu'une) qui connaissent très bien ces risques mais qui continuent malgré cela à investir en masse dans le nucléaire, n'ayant que faire de sa dangerosité, en espérant encore par je ne sais quel irréel utopique qu'il y a encore un avenir à jouer avec notre sécurité. Car les points négatifs sont abondants : entre les coûts de plus en plus importants pour entretenir nos centrales vieillissantes, l'entassement des déchets radioactifs dont on ne sait toujours pas quoi faire, et le risque auquel les populations sont exposées quotidiennement de voir un jour un évènement tragique se déclarer en France à l'instar de ceux de Tchernobyl ou de Fukushima, chacun, et peu importe son rapport au monde ou sa mouvance politique, peut trouver au moins un défaut majeur au maintien du nucléaire dans notre pays. Et de plus les avantages tant financiers qu'écologiques sont nombreux au remplacement de ces centrales par des énergies nouvelles, renouvelables et plus propres. L'environnement ne s'en porterait que mieux, et pour ceux qui voudraient voir du profit absolument partout, qu'ils sachent qu'investir dans ces énergies qui représentent l'avenir est bien plus judicieux que d'investir dans le nucléaire vétuste. De plus, le long démantèlement des centrales et la construction de champs de panneaux solaires ou d'éoliennes par exemple créeront de nombreux emplois et dynamiseront l'économie des régions concernées. Et il faut se rendre à l'évidence, les premières centrales françaises approchant de leur 40 ans, soit la date maximale pour les remplacer (au risque de dégrader gravement la sécurité et d'augmenter les coûts d'entretien), la transition énergétique et écologique n'est qu'une question de temps. Alors autant anticiper et propulser la France dans le haut du classement des pays utilisant des énergies renouvelables, dont la part est beaucoup trop faible dans la production énergétique française, et celle du nucléaire beaucoup trop importante, surtout comparée aux statistiques de nos voisins européens. Alors qu'attendons-nous pour arrêter le nucléaire ? Que nous ayons un incident grave avec l'une de nos centrales ? Ou bien que nous soyons en retard par rapport au reste du monde en ce qui concerne les énergies propres ? Ou bien les deux ? Je n'ai beau n'avoir que 16 ans, je parle au nom de la jeunesse qui veut d'un avenir heureux, meilleur, brillant et surtout sécurisant. Merci d'avoir lu ce commentaire finalement plus long que prévu.

En tant qu'habitante de la région, je suis extrèmement inquiète de la sécurité de cette installation ! Le principe de précaution doit être appliqué au vue des nombreuses erreurs et problèmes qui ont émaillés ce chantier. De plus, les promoteurs du projets (EDF et Areva) ont tenté de cacher, ou bien n'ont pas informé, des failles pendant la construction, ce qui laisse penser qu'il pourrait y en avoir d'autres inconnues à ce jour.
La gestion désastreuse de ce chantier (retards, gouffre financier) ne laisse rien présager de bon pour la gestion après la mise en exploitation de l'installation. C'est la santé des habitants de la région qui est mise en jeu directement en cas de problème. Au nom du principe de précaution, vous devez suspendre ce projet.
La cuve a été fabriquée dans des ateliers non adaptés, les matériaux utilisés ne sont pas 100% fiables, enfin sa réalisation n'a pas obtenue une entière satisfaction.
En tant qu'habitante de la région, je ne dors pas tranquille.
J'espère que vous saurez prendre la bonne décision pour protéger les citoyens, et que vous aurez la conscience tranquille aussi.

Non, bien sur !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.
Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations. Le niveau de sûreté n'étant pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir ! N'acceptons pas la prise de risque. Le chantier doit être arrêté !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Elle doit être parfaite.
Or, rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale.
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit être appliqué !

Il est inimaginable d'utiliser des pièces comportant des anomalies sur une centrale nucléaire. Le chantier doit être arrêté.
Moi, citoyens français, je ne veux pas faire payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA aux générations futures.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.