Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Les malheureuses expériences passées montrent que la sûreté nucléaire ne peut souffrir de compromis. Déjà pour Tchernobyl et pour Fukushima, les entreprises et professionnels impliqués dans le fonctionnement des sites vantaient leurs nombreux systèmes de sécurité, et les catastrophes soit disant impossibles ont pourtant bien eu lieu. L'Ukraine était un pays en déclin, le Japon était loin de l'être, tout comme la France aujourd'hui.

Dans le cas de l'EPR, un défaut est détecté avant mise en service du réacteur, et il est imaginable de passer outre ? Ce comportement est irresponsable ! Le risque ici n'est pas un simple arrêt de production, mais une contamination à grande échelle d'une partie non négligeable de la France : la cuve est en effet un élément central et prépondérant dans le bon fonctionnement d'un tel système !

Depuis des décennies la France vante le coût abordable de son électricité nucléaire : il est temps aujourd'hui de refaire les comptes et d'arrêter les frais. Un investissement dans la recherche et le développement de sources d'énergie durables est possible à la place, tout en permettant une production moins centralisée et moins risquée.

En tant que citoyen, je produis une partie de mon énergie et je ne me fournis qu'en électricité verte : il est hors de question pour moi de payer les erreurs d'entreprises (EDF, AREVA) qui bénéficient trop facilement d'argent public !

• S'il vous plait, soyez honnête avec vous même et vos enfants. Ne prenons pas de risques inutiles en jouant avec la vie humaines de millions de personnes. Resectons aussi la terre sur laquelle nous vivons et essayons de transmettre celle-ci dans état viable et sain à nos enfants.... MERCI
• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

C'est vraiment extrêmement grave ce qui est en train de se passer, comment pouvez vous cautionner une telle mascarade.
Le couvercle de la cuve est réputé techniquement non conforme et vous laisser faire, c'est purement scandaleux, comment osez vous jouer avec la vie de vos concitoyens, votre attitude irresponsable est totalement inadmissible.
Allez vous enfin jouer le rôle qui est sensé être le votre : Protéger la population sachant , de plus que le tandem EDF /AREVA sont complètement à la dérive financièrement, largement renfloués par les contribuables que nous sommes et surtout prêts à faire n'importe quoi pour ne pas creuser plus encore le déficit abyssal de ce projet.
Réagissez enfin et prenez toute vos responsabilités pour nous et les générations à venir ! MERCI

Bonjour et merci pour cette consultation.

Étant donnée l'importance de la cuve pour le fonctionnement du réacteur il est crucial que celle-ci soit irréprochable. L'ASN a mis en évidence que cette cuve n'a pas les caractéristiques requises pour un fonctionnement sécurisé !
Il est de notoriété publique que des 2005 AREVA et EDF étaient informées de l’incapacité de l’usine Creusot Forge d’AREVA de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. Il faut appliquer le principe de précaution. L'utilisation de pièces comportant des anomalies constitue une prise de risque inacceptable.

Ce chantier doit être arrêté de toute urgence,

Merci de nous écouter

Frédéric Ibersiene,

Français de l’étranger

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !

Vous déplacez la responsabilité de votre décision ,qui devrait être conforme à votre devise, sur nous pauvres individus à la merci d apprentis sorciers.
Ce n est pas courageux.
Zéro défaut pour cette technologie ruineuse et dangereuse.
Stop à tous les PER.

Canicules et vents suffisent à produire une énergie dont la consommation doit être réduite pour éliminer tout uranium dans notre vie.

L énergie est notre avenir economisons la!

Que des pièces défectueuses soient mises en place dans une centrale nucléaire de nouvelle génération en construction... Que la question de l'acceptation de ces pièces se posent... Que cette éventuelle acceptation passe par une telle consultation... Est-ce vraiment sérieux ?
Cela semble très révélateur du niveau de pression en place dans le domaine de la production électro-nucléaire.

Concrètement, accepter une pièce non conforme mais dont la capacité à assumer son rôle et dont la durabilité pourra être contrôlée très fréquemment me semble être acceptable tant que les risques restent absolument maîtrisé.
En revanche, accepter ce couvercle de cuve non conforme en sachant qu'il ne pourra faire l'objet de contrôles, dès la mise en service du réacteur et pendant plusieurs années, apparaît être très déraisonnable.

Merci pour l'attention que vous aurez porté à cette participation.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.