Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Messieurs les irresponsables d'EDF, d'AREVA, de l'IRSN, de l'ASN, de CREUSOT FORGE, du Corps des Mines et gouvernementaux, la Cour Pénale Internationale vous attend ! Vous y serez jugés pour Crime contre l'Humanité, lorsque l'accident nucléaire majeur, dont vous aurez largement favorisé l’occurrence, surviendra. N'espérez aucun répit, aucune échappatoire, pas même en Bolivie. Les citoyens européens n'oublieront pas votre implication dans ce prochain désastre. Les faits sont d'ores et déjà accablants. Vous serez tous jugés sans exception. Ne comptez pas trop sur vos amitiés et complicités franco-françaises actuelles, pour vous exonérer de vos responsabilités. Cela se tiendra au niveau international avec une rigueur à la hauteur du désastre annoncé. Le scandale financier est déjà là. Le scandale environnemental se prépare. L'Europe et ses enfants vous observent avec sévérité.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !!
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
• L'utilisation de l'énergie nucléaire ne nécessite jamais assez de précautions. On ne peut pas tout prévoir et une erreur est toujours possible, comme l'ont tragiquement montré les catastrophes de Tchernobyl, de Long Miles Island et de Fukushima.
La sécurité des installations, du personnel, de la population et de l'environnement doivent primer sur tout le reste.
Et le coût et les problèmes que posent le démantèlement des centrales ainsi que le devenir des déchets à vie longue ne devraient pas être minimisés, mais soumis à débats et à discussions, car ils concernent l'ensemble des citoyens, ainsi que les générations futures qui devront malheureusement en assumer la responsabilité et les éventuelles conséquences...

Compte tenu des conséquences majeures qu’un accident nucléaire aurait sur la santé de la population, l’environnement et même d’un point de vue économique, on ne doit pas transiger avec la qualité de pièces maîtresses de la centrale.

Si nous n’avons pas (encore !) eu d’accident nucléaire majeur en France, c’est certainement grâce au sérieux dont a fait preuve cette industrie critique par le passé. On aimerait pour notre futur qu’elle ait encore le même niveau d’exigence dans le présent !

Nous comptons sur vous pour refuser l’installation de pièces défectueuses et au contraire exiger que l’usine Creusot Forge retrouve le niveau de qualité qu’elle avait par le passé (il faudrait probablement commencer par mettre des gens responsables et compétents à sa tête)… ou qu’EDF utilise un autre fournisseur plus fiable.

Même d’un point de vue comptable, mettre en place la cuve défectueuse ne serait une économie qu’à court terme : la centrale sera probablement amenée, comme les centrales actuelles, à servir longtemps, et quand il faudra changer la cuve en condition de radioactivité, ça reviendra bien plus cher que de mettre une cuve sans défaut dès le départ.

Depuis que ce projet a été lancé, il ne cesse de connaître des problèmes :
- infractions au code du travail à répétition avec dissimulation d'accidents plus ou moins graves ;
- recours massif à la sous-traitance et aux travailleurs détachés. On nous avait promis que le chantier permettrait la création de nombreux emplois localement... ;
- retard de chantier irrationnel et dépassement de budget incommensurable ;
- anomalies multiples dont la cuve apparait comme étant la plus préoccupante. Maintenant, on s’apprête à mettre le couvercle, au propre comme au figuré, pour 7 ans au plus, le temps de réaliser de nouvelles pièces. Un temps interminable, supposé que la centrale poisse être mise en service avant ce délai...
Non contents d'avoir ruiner la filière nucléaire française, fierté nationale (comme le France, le Concorde, le Minitel ou le TGV...), aussi bien ses comptes que sa réputation, maîtres d'ouvrages et politiques persistent à mener à terme ce projet, au mépris des populations et de notre environnement.
Car face au risque d'accident, ce n'est pas quelques milliers de personnes qui se trouvent prises en otages, mais environ une centaine de milliers (Cherbourg et Nord Cotentin) si on retient le périmètre de 30 km retenu par le Japon pour la zone d’exclusion suite à la catastrophe de Fukushima.
Si on retenait les 80 km qu'avaient préconisaient les USA à ses ressortissants, plus du double de population serait concernée.
Et si on transposait à Flamanville la carte d’extension des dépôts radioactifs de Fukushima (jusqu'à 250 km, aux portes de Tokyo), on pourrait supposer que ce serait toute la Normandie qui serait impactée en cas de vent de secteur ouest (vents dominants dans ce secteur), voire les régions limitrophes y compris l'Ile de France, et la côte sud de l'Angleterre (Southampton est à moins de 150 km de l'EPR) !
(cf. http://www.luckynuke.net/ et http://www.irsn.fr/FR/connaissances/Environnement/expertises-incidents-accidents/comparaison-tchernobyl-fukushima/Pages/1-impact-environnemental-fukushima-tchernobyl.aspx)

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, selon vos propres rapports, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Accepteriez-vous qu'on vous livre une voiture neuve mais donc le système de freinage serait connu pour être défectueux, ou dont le moteur pourrait vous exploser à la figure à cause d'une "anomalie" ???
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !

Moi, citoyen français, je n'ai pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Et l'Autorité de Sureté Nucléaire ne doit pas se laisser influencer par les lobbies industriels ni par le gouvernement... il est temps d'arrêter ce chantier qui ne résoudra pas les problèmes énergétiques futurs et va certainement nous coûter encore plus cher s'il est maintenu, coûter cher au propre comme au figuré !

Après lecture du Projet d'avis relatif à l'anomalie de la composition de l'acier de la cuve du futur EPR de Flamanville, il me semble DANGEREUX de valider l'installation de cette cuve, même en demandant le remplacement du couvercle fin 2024.
En effet, l'on connait la puissance du lobby nucléaire en France et l'on peut imaginer qu'EDF/AREVA objecteront, fin 2024, que le taux de radioactivité de cette cuve ne permet pas de la remplacer (y compris le couvercle). Je suis donc à peu près sûr que le couvercle et la cuve resteront en place jusqu'à la fin de l'activité de l'EPR dans 60 ans.
Je ne suis donc pas particulièrement rassuré, sachant, comme pour Fukushima que des évènements, totalement imprévus et imprévisibles lors des tests, pourraient survenir. Moi qui suis technicien, je sais que régulièrement des incidents et accidents surviennent avec des causes totalement inenvisagées au préalable.
En validant la mise en place de cette cuve, vous, l'ASN, mettez en cause également votre crédibilité qui jusqu'à présent me paraissait estimable !
Je vous demande donc de ne pas valider la mise en place de la cuve, ainsi que le couvercle du futur réacteur nucléaire de l'EPR de Flamanville.

La cuve d'un réacteur est l'une des pièces essentielles du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, d'après de nombreuses sources, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Les entreprises leader du nucléaire en France ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! En tant que citoyens français, je n’ai pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Si la cuve ne répond pas aux exigences initiales demandées. Il n'y a pas a hésiter, il ne faut pas l'accepter. le défaut a été caché pendant de longues années par AREVA , jusqu'à ne plus pouvoir faire marche arrière, et contraindre l'ASN à valider cette maudite cuve. Comment peut on faire confiance aux expertises faites par AREVA pour faire valider cette cuve. Les intérêts de l'industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations. Nous ne voulons pas d'un autre Fukushima en Europe. Il faut stopper le chantier EPR.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Voilà un magnifique fiasco industriel que la tentative de réalisation de l'EPR !
Nous ne pouvons que constater que les donneurs d'ordre, dont AREVA, n'ont pas été en capacité de faire respecter le cahier des charges pour la construction du réacteur EPR à Flamanville.
La réalisation du bâtiment devant accueillir le réacteur et la fabrication du réacteur lui-même ont été émaillées d'anomalies, d'incidents, et de non-conformités, ce qui n'est pas rassurant pour la suite du chantier et la mise en fonctionnement !
La cuve du réacteur avec son fond et son couvercle, ont été calculés en résistance des matériaux, avec des coefficients de sécurité adaptés à l'utilisation normale et qui prennent aussi en compte un certain nombre d'incidents de fonctionnement durant la vie du réacteur. Ces calculs sont faits à partir des caractéristiques théoriques minimales de l'acier utilisé. Si les caractéristiques de l'acier ne sont pas suffisantes, même seulement de manière locale, nous sommes en présence d'une non-conformité pouvant provoquer les pires désordres.

Puisque la défaillance du fond et du couvercle sont connues, il serait inadmissible de qualifier les pièces défaillantes sans autre forme de procès.
Le chantier de l'EPR doit immédiatement être arrêté avant décision des experts et autres spécialistes (qui doivent engager leur responsabilité en cas de problème au lieu de "croiser les doigts"), voire avant décision des citoyens par consultation publique (ce sont les premiers exposés à une situation accidentelle) !

Il ne reste donc plus que 3 possibilités :
- arrêter le chantier de l'EPR de Flamanville puisqu'il va droit vers la catastrophe (réacteur non conforme donc ne devant pas être mis en service, délais à perte de vue, coûts devenus pharaoniques...) ;
- remplacer les pièces non-conformes par des pièces conformes (y compris démolition puis reconstruction du génie civil) aux frais du maître d'oeuvre et de ses actionnaires (pas des contribuables qui n'ont aucune responsabilité dans cette non-conformité) ;
- garder ce qui existe, avec tous ses défauts, et faire fonctionner (de manière obligatoire et surveillée par tous) le réacteur EPR à puissance suffisamment réduite pour que la pression et la température de ce mode de fonctionnement "dégradé" n'engendrent que des contraintes admissibles par l'acier non-conforme des cuve et couvercle.
Mais c'est la solution la plus lamentable pour ce qui devait être une vitrine de l'innovation et du savoir-faire français en matière d'électricité nucléaire !
Nous attendons aussi une prise de position constructive de l'Etat sur ce problème ! JCC

Depuis que ce projet a été lancé, il ne cesse de connaître des problèmes :
- • La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.