Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

L'EPR est aujourd'hui dépassé, et le coût de cette centrale est surréaliste. Alors, pour finaliser la construction de cette centrale, qui est parait t-il, un des fleurons de l'industrie française, il faudrait passer outre la sécurité, par souci d'économie!!!! Arrêtons d'investir dans cette énergie dangereuse et sans avenir; Le seule avenir, c'est la gestion des déchets.
Vous ne pouvez pas autoriser l'utilisation de ce couvercle, et ce, même pour 5 ans;
Arrêtons ces dépenses inutiles, investissons plutôt dans la recherche et la fabrication d'énergies renouvelables.
Restez indépendants, et ne vous laissez pas influencer par ce lobby nucléaire,

Consultation ASN sur la cuve de l'EPR
Habitant à quelques dizaines de kilomètres de Flamanville, je ne peux être qu'inquiet sur l'avenir et la santé des habitants de la Manche et au-delà, pour mes enfants, mes petits enfants et les générations futures.
Après Tchernobyl, Fukushima, Flamanville risque de faire partie de la liste des catastrophes dans la mesure où l'on part sur un démarage de l'EPR avec des pièces maîtresses défectueuses.
On ne peut pas faire confiance aux responsables d'AREVA et d'EDF qui ont déjà apporté la preuve de leur incompétence à gérer la construction de l'EPR dont le coût a plus que triplé avant même la fin de la construction.
On ne peut que constater une gestion dans le mensonge.
Il est faux d'affirmer que le nucléaire, c'est l'indépendance énergétique, dans la mesure où l'on va chercher l'uranium chez les autres ; que le nucléaire ne pollue pas , comme si ce type de construction n'impacterait pas l’environnement. Que dire de l'impact de l'extraction, du transport de l'uranium, et de sa mise en sécurité ( des policiers à tous les carrefours), du retraitement des déchets et du stockage de déchets pour des millénaires.
Il ne faut pas jouer les apprentis sorciers, reconnaître que le risque est trop important et appliquer le principe de précaution en stoppant la construction de l'EPR et en recyclant les bâtiments vers la production d'énergie durable.
Pierre

• La cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable. Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale.
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté, c’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées. Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations.
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir.
• Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté.

La sûreté de la population doit être le but principal. On ne doit pas accepter un équipement qui ne répond pas aux normes de sécurité.
Les intérêts économiques ne doivent pas entrer en ligne de compte dans ce projet.
La cuve doit répondre aux critères de sécurité maximum. Il est inacceptable de prendre un risque aussi élevé avec des pièces présentant des anomalies qui sont connues des décideurs.
EDF et AREVA doivent assumer les conséquences de leurs erreurs et ce chantier doit être arrêté jusqu'à ce qu'une pièce répondant aux critères de sécurité soit livrée.

Et si on faisait plutôt un plaidoyer pour une cuve plus épaisse qui résisterait aux attaques terroristes?!?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Le risque nucléaire n'est pas anodin. Que les bonnes décisions soient prises dès maintenant, de façon raisonnable.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

L'histoire récente nous a montré le danger du nucléaire.... quant au "savoir faire" du démantèlement des anciennes centrales et le l'enfouissement des déchets radioactifs (par manque de connaissance) ils révèlent des prises de risques inadmissibles.... comment peux-t-on jouer avec la sécurité ?
Faute de volonté politique (et d'argent ?) Fukushima ne devait pas être construite sur le site choisi (!?) on connait la suite....
Alors le matériau défectueux utilisé, malgré le risque que cela impose, pour le couvercle de la construction de l'EPR de Flamenville est un pari vraiment beaucoup trop risqué pour le bien-être de la planète, de l'humanité sur du long terme
Les politiques, à la botte des lobbys mais qui nous assurent savoir ce qui est bon pour nous sont-ils à ce point irresponsables pour ne pas développer des énergies alternatives. Il y a urgence !!
L'argent ne doit dicter Vos conduites au détriment de la sécurité ?
J'attends une décision digne des politiques en responsabilité pour monter leur Sagesse.
Mais le pessimisme me gagne

Comment pourrait-on autoriser l’utilisation d'une telle pièce alors que le cahier des charges n'a pas été respecté?
Depuis le début de cette histoire, il est clair que les moyens de production, de sécurité et de gestion ont été négligé et qu'il a été préféré une fabrication à moindre coût plutôt que de respecter les règles de l'art.
Il est totalement impensable, en milieu industriel, d’utiliser des éléments hors normes.
Il est évident qu'il faut repartir à zéro.
L'idée même de faire fonctionner cette installation en dessous de ses capacités pour ne pas la sur-contraindre est une folie: qui accepterait de monter dans un avion (par-exemple) qui présente des fragilités ?
Messieurs, revoyez votre copie, s.v.p.