Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

De ce qui ressort du (pré)rapport auquel nous pouvons avoir accès pour cette consultation, des mesures complémentaires visiblement nombreuses ont été effectuées par des experts de chez AREVA ainsi que par des entreprises extérieures mandatées par l'ASN.
Les défauts de la cuve du réacteur de l'EPR de Flamanville ainsi que du couvercle ont, par ces contre-expertises été jugés rentrant dans des nouvelles marges de sécurité, recalculées à la baisse.

Deux questions se posent cependant, et qui ne sont pas abordées dans le document qui est fourni au public pour cette consultation : Comment ces nouvelles marges de sécurité ont-elles été recalculées alors que d'après le cahier des charges initial, elles seraient insuffisantes ?
D'autre part, dans le cas où les mesures en révéleraient le besoin, quelle est la faisabilité d'un changement de ces deux pièces une fois la centrale en fonctionnement (rappelons que nous parlons de pièces hautement radioactives à long temps de demi-vie, n'étant pas experts de la question de la maintenance du matériel usagé de réacteurs nucléaires, il me semble que ces informations manquent au public pour pouvoir comprendre et aggréer l'avis donné dans ce prérapport) ?

D'un point de vue scientifique, nous ne sommes pas en possession d'éléments convaincants pour pouvoir faire confiance à ce revirement de l'ASN et à cette baisse des seuils de sécurité initiaux.

En conséquence, il me semble dangereux de ne pas appliquer le principe de précaution qui portait l'ASN à interpeller AREVA en 2005.
De plus, l'attitude désinvolte d'AREVA, qui avait connaissance des défaut de ces deux pièces et a néanmoins choisi de continuer le chantier, est pour le moins alarmante.

Je plaide donc en faveur de l'interdiction, par l'ASN, de la mise en fonctionnement de l'EPR de Flamanville, dans l'attente de pièces conformes aux normes de sécurités pré-établies (et non recalculées pour les besoins du chantier).

Dans ce contexte ultra-sensible d'une activité présentant de haut risque de santé, le principe de précaution doit prévaloir plus que jamais.
Les sommes engagées par le changement de cette cuve n'égaliseront jamais le prix à payer humainement et environnementalement par un accident dont la gravité peut être décuplée par la présence de ces anomalies.
A la lecture de ces rapports et de cette liste de constats, je ne comprends pas même pas que la question se pose.
Travaillant moi-même dans l'étude des microstructures, je vois tous les jours au combien une structure infime et invisible à l’œil nu peut avoir des conséquences importantes et visibles à grande échelle.
Je vous remercie, pour nos enfants, pour nous, de suivre le cahier des charges initial et de refuser l'utilisation de cette cuve. Franchement, on est pas à deux ans près.

Non, le niveau de sûreté concernant la cuve du réacteur EPR de Flamanville n'est pas satisfaisant ! Il ne doit présenter aucune anomalie —et surtout pas sur la résistance de l'acier ! De plus il n'y a pas vraiment moyen de surveiller son évolution pour prévenir les risques éventuels de rupture !
Je rappelle que la durée de fonctionnement d'une centrale nucléaire est très courte, qu'on ne sait toujours (même ) pas procéder à son démantèlement, qu'il y a toujours actuellement des fuites radioactives massives sur le site de Fukushima et que la France étant déjà surabondamment pourvue en technologies nucléaires, la santé des Français est déjà gravement compromise.
Mais il semble que "les décideurs" au XXIème siècle soient suicidaires !
(À moins qu'ils ne pensent que la mort est réservée aux autres.)

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Considérant les zones d'ombre qui subsistent dans le dossier de validation de la cuve de l'EPR,
l'urgence de traiter en priorité les anomalies des équipements en service
et de refonder le système de contrôle des installations nucléaires,
je me sens obligée de m'opposer, comme de nombreuses personnes, à l'autorisation de mise en service de la cuve de Flamanville 3 alors que ses composants ne respectent pas les exigences fondamentales de sûreté et présentent de vrais risques ainsi que des surcoûts considérables et déraisonnables quand il existe de réelles alternatives.

Je demande en outre, une réduction des délais de vérification des dossiers de fabrication des équipements en service,
une meilleure évaluation des risques
et l'instauration de mesures de sauvegarde pour toute la période d'incertitude et pour tous les équipements concernés.
Je souhaite que soient d'urgence identifiées les causes des dysfonctionnements, et que soient mises en place des actions à même de les corriger et de s'assurer de leur efficacité.
Il me semble urgent de ne plus chercher à satisfaire/protéger des entreprises qui n'ont pas donné toutes les preuves de leur bonne foi et sincérité.
Je demande instamment que l'on cesse de délivrer des dérogations qui permettent de passer outre les principes et exigences fondamentales de sûreté et de sécurité des populations.

A l'heure où un petit pays, plutôt pauvre, le Viet-Nam, vient de renoncer à construire une centrale nucléaire, en raison de son coût, et des alternatives possibles,
il me semble, en outre, astucieux, et même évident de suspendre l'activité des centrales obsolètes ou pour lesquelles les coûts de mise en conformité dépassent l'entendement, pour des personnes dont je suis, qui vivent avec 1200 € par mois et à qui on demande des efforts.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur, sa qualité doit donc être irréprochable. Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale.
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Moi, citoyenne française, n’ai pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il me semble absolument inacceptable de faire fonctionner un réacteur nucléaire de forte puissance avec des défauts connus!
Pour la mise en place d'un prototype (car c'est bien le premier du genre, qu'on le veuille ou non!) il me semble impossible de tolérer le moindre défaut...
Si dans 20 ans il est possible de constater que la tenue mécanique est suffisante suite à une utilisation continue, et seulement à ce moment-là, il sera acceptable de faire fonctionner sous réserves un autre EPR présentant les mêmes défauts en l'attente d'une solution viable.
Nous citoyens français n'avons pas à assumer l'incompétence des chaînes de commandement de Areva et EDF.
Il faut aussi peut être sérieusement considérer le coût de remise aux normes comparé au coût d'une catastrophe nucléaire de grande ampleur dans une zone densément peuplée et juste à côté d'une mer qui accueille chaque année 20% du transit mondial de marchandises par bateau... Et ce calcul est assez vite fait!
Areva/EDF ont clairement été négligeant (et sciemment!) pendant plus de 10 ans, il est grand temps que le rappel à la réalité se fasse! Les actionnaires d'EDF et Areva c'est aussi tout les citoyens français!

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, donner l'accord serait comme monter dans une voiture sans freins !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il est important de rappeler les points suivants :

1. La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

2. Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

3. La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

4. Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.