Mise à participation du public pour le projet de mise en service du réacteur EPR de Flamanville (INB 167)

Un budget multiplié par 5, des délais multipliés par 4 (dixit le Monde) : n'importe quel autre projet industriel aurait été abandonné depuis longtemps devant ces preuves qu'il n'est pas maitrisé. Mais s'agissant d'une centrale nucléaire, alors même que le risque est démesurément plus grand, l'autorisation de mise en fonctionnement est tout de même demandée.

En plus de couvrir la France de ridicule, ce projet présente un risque énorme. Il faut avoir le courage de l'abandonner.

La construction des 6 EPR (Olkiluoto 3, Taishan 1 & 2, Flamanville 3, Hinkley-Point 1 & 2) a systématiquement et à des degrés divers subit de trop nombreux aléas techniques, financiers et de retard. Cette filière aurait-elle la "scoumoune" en matière de fiabilité ? A la lumière de tous les ennuis répertoriés sur ces EPR en service, je le pense fortement.

Trois EPR ont été mis en service, Taishan 1 & 2 en Chine et Olkiluoto 3 en Finlande. Taishan 1 a déjà été arrêté pendant 13 mois en 2020/21pour des problèmes d tenue des assemblages combustible. Il est à nouveau arrêté depuis 5 mois pour de nouveaux problèmes liés à la tenue des gaines des crayons combustible et sur lesquels EDF ne communique pas. Sur Olkiluoto 3 on a détecté et réparé des défauts et des lacunes dans les joints des connecteurs en mai 2023.

Quant à Flamanville 3, mettre en service ce réacteur avec un couvercle comportant des défauts métallurgiques sans le changer est irresponsable. Il serait prévu de la changer après avoir mis le réacteur en service, et qu’il serait arrêté ultérieurement pour permettre de déposer le couvercle défectueux et d’installer un nouveau couvercle. Quid du couvercle défectueux qui est ainsi devenu un gros déchet contaminé qui aurait pu être évité si on avait attendu la pose d’un nouveau couvercle conforme ? Bien entendu cela aurait encore augmenté le retard de mise en service de cet EPR, mais au point où en est actuellement avec cet EPR en matière de délai, on pourrait se permettre aisément d’attendre ce nouveau couvercle.

L'opérateur n'a prouvé à ce jour aucune maitrise de ce chantier, des malfaçons en nombres telles que problème de béton, malfaçons de la Cuve ainsi que du Couvercle !

Reprise d'un nombre conséquent de soudures non conformes découvertes par l'ASN (non déclarées par l'opérateur !?)

Et suite aux divers incidents de l'EPR chinois, à ce jour apparait un problème récurent des gaines métalliques contenant les pastilles d'uranium qui ont toutes tendance à détérioration par oxydation. (Centrale en non production depuis le début d'année) Par ailleurs EDF devra vérifier ce pb dans l'ensemble des centrales afin d'avoir un diagnostic exhaustif lié à ce pb.

L'EPR ne prouve pas à ce jour un niveau de maitrise et de sureté, donc avis négatif; et souhait d'abandon de ce projet malgré le cout faramineux connu à ce jour.

Je suis tout à fait favorable à la mise en service de l'EPR de Flamanville car il va permettre de fournir une électricité pilotable et décarbonée dont le pays a grand besoin.

Sa situation en bord de mer ne pose pas de problème de refroidissement même en cas de sécheresse et de canicule.

L 'exploitation d'un tel réacteur qui fonctionne déjà en Chine et en Finlande génére de nombreux emplois directs et indirects pour la région.

En résumé un projet qui, malgré ses retards et ses difficultés, doit avoir une issue très positive.

Je donne mon avis plus que favorable au démarrage du réacteur EPR de Fla3.

Nous sommes aujourd'hui face à la seule production électronucléaire permettant de disposer d'énergie électrique décarbonée en quantité suffisante et de manière continue pour répondre à la transition énergétique qui fait face.

Indispensable pour notre souveraineté énergétique l'EPR est l'un des moyens les plus sûrs d'avoir une production d'électricité pilotable offrant les meilleures garanties en terme de sureté/sécurité.

A ce jour et à moyen terme, seule la production électronucléaire permet de disposer d'énergie électrique décarbonée en quantité suffisante et de manière continue pour répondre à la transition énergétique.

L'EPR de Flamanville répond à ce besoin.

Son retard de mise en service est un signe que tout est fait pour garantir un niveau de sureté jamais encore atteint. Cela est plutôt rassurant même si les coûts s'en ressentent.

1) Retour d'expérience des EPR de Taishan



Suite à une consultation publique précédente, il a été demandé à l'ASN de fournir des informations complémentaires concenant le retour d'expérience des EPR dans le monde. Les réacteurs 1 & 2 de Taishan ont été mis en service en décembre 2018 et septembre 2019 respectivement. Ils ont depuis rencontrés quelques problèmes dont certains ont été rapportés par l'ASN/IRSN, à savoir:

- une dose collective élevée (non mentionnée par l'ASN) lors du 1er rechargement de Taishan-1 en 2020 (~1 Personne.Sv), sans opération de maintenance particulière, du même ordre de grandeur que pour un "vieux" réacteur français, après seulement un cycle. C'est trop pour un réacteur qui, par conception, était censé être plus économe en dose. A ce sujet, il serait intéressant de connaître les valeurs (plus précises que "inférieures à la limite prescrite") de contamination du fluide primaire, ainsi que les débits de fuite non comptabilisées et les fuites primaires/secondaires (GV).

- Des ruptures de gaine de "quelques" crayons de combustible. Au départ il s'agissait d'environ 5 crayons, qui sont devenus "nombreux" par la suite. Il a été fait mention de 70 (je ne sais plus où). 70 crayons ou assemblages? S'il s'agit d'assemblages, c'est plus du quart du coeur.

- Une carte des flux neutroniques (distribution de puissance) significativement différente de celle attendue par calcul.

- Des oscillations de réactivité ("fluctuations neutroniques"), de l'ordre du Hertz, et défaillance des collectrons (mesure de puissance in-situ).

- Endommagement des assemblages par choc/frottement contre le réflecteur lourd. Il est difficile de croire qu'un assemblage d'une demi-tonne, encastré à chaque extrémité, puisse se déformer ainsi, simplement par la circulation de l'eau primaire. Si c'est vraiment le cas, ce problème seul est rédibitoire.

- Rupture des ressorts des grilles de maintien des assemblages. L'ASN/IRSN fait état de corrosion sous contrainte, mais ne précise pas que les lames de ressort en question ont été retrouvées au fond de la cuve. Combien, 10, 100, 1000...? Quelles sont les conséquences sur le refroidissement du coeur en cas d'obstruction?

- Corrosion anormale des assemblages (et du réflecteur je suppose?) en partie haute. En fait, ils sont tout noir, ce qui n'est pas normal pour des structures en Zirconium et Inox après 1 an dans de l'eau déminéralisée, même à 300 C.



Apparemment, ces réacteurs fonctionnent en écoulement diphasique et quasi accidentel, ce qui explique les oscillations de réactivité, l'oxydation, les ruptures de gaines, les ruptures de ressorts et la dosimétrie (eau primaire plus contaminée).

Pour palier temporairement à ces problèmes, l'exploitant a du réduire la puissance des 2 réacteurs de 100 à 90% depuis février 2022, ce qui affecte notablement le rendement de l'EPR. Serait-il possible de savoir pourquoi Taishan-1 est à l'arrêt depuis le mois de janvier, après seulement 4 mois de fonctionnement continu?

Les explications et solutions proposées aux problèmes précédents ne sont pour l'instant pas satisfaisantes. Exemples:

- L'excuse du "déjà vu". Si des problèmes ont été (trop) souvent rencontrés sur des réacteurs existants en France et à l'étranger (fuite de crayons, ruptures de ressorts,...), ils n'en sont pas pour autant normaux, ni acceptables. Un assemblage combustible n'est pas fait pour perdre des morceaux ni pour fuir.

- Traitement thermique pour détensionner les ressorts. Un ressort "détensionné" n'est plus un ressort. Autant l'enlever.

- Un flux neutronique "trop faible" augmente la sensibilité à la corrosion...sans commentaire.

- Des essais sur maquette réduite. Si ROMEO et JULIETTE (boucles d'essais FRAMATOME) ont bien une dimension de 1/5 de l'EPR, ils fonctionnent à température ambiante (viscosité X 10) et vitesse d'écoulement réduite (vitesse/2?). Ce qui ramène l'échelle hydrodynamique (nombre de Reynolds) à moins de 1/100, largement insuffisant pour valider une simulation numérique.

EDF, CEA et autres institutions ont des moyens expérimentaux et de calcul très puissants, parmi les meilleurs ingénieurs, scientifiques et techniciens du monde (ce n'est pas ironique, je le pense vraiment). Mais le chemin est encore long avant de disposer de codes de calcul qui permettent d'apréhender simultanément et avec une précision suffisante les problèmes d'hydrodynamique, d'écoulements diphasiques non stationnaires, de transferts thermiques, de neutronique, de couplage fluide/structure.



En conclusion de cette partie, un réacteur pour lequel on ne maitrise ni la réaction en chaine, ni le refroidissement, ni le confinement des matières radioactives ne peut pas être mis en service. Sinon, au mieux, on se retrouve avec une dosimétrie ingérable, et un réacteur qui s'arrête au bout de 3 à 5 ans, soit l'espérance de vie d'une souris de laboratoire, +20 milliards € pour le démantèlement.



2) Accident de perte de réfrigérant primaire



Les fissures sur les circuits RIS/RRA, détectées par EDF depuis 2021 sur de nombreuses tranches du parc N4 (et ayant affecté d'autres réacteurs étrangers avant ça) ont montré, s'il était besoin, que la rupture d'une tuyauterie primaire était beaucoup plus probable que ce qui était auparavant admis. bref, "on a eu de la chance¨.

Tout d'abord, il faut clarifier le fait qu'en l'absence d'organe d'isolement (vanne) entre la fissure et la cuve réacteur, il ne s'agit pas d'un risque affectant uniquement un circuit auxilliaire en cas rare d'accident, mais bien d'un risque élevé de perte de réfrigérant primaire en fonctionnement normal, à pleine puissance, c'est-à-dire la majeure partie du temps.

Ce scénario d'accident grave a, semble-t-il, été pris en compte dans le rapport de sûreté, mais en l'absence de plans/schémas (la plupart omis) et de valeurs numériques (masquées), il est difficile d'être convaincu de la solidité du raisonnement, lui-même peu détaillé et plus assertif que démonstratif. Une tuyauterie RIS sur l'EPR a un diamètre de 300 mm, et est chargée en service à 155 bars d'eau primaire à 300 C. J'estime le débit de fuite à 6 t/s (non majoré), qui s'échappent de la brèche en se vaporisant, détruisant tout ou partie des équipements dans le voisinage (circuits de commande, actuateurs, instrumentation,...), le système de ventilation (soufflage et extraction) et même probablement les structures de génie civil (surpression, cf Fukushima). La dépressurisation à saturation du RCP (85 bars) est atteinte en 15 secondes, en supposant que le "scram" (chute des barres) soit effectif immédiatement au moment de la rupture, ce qui n'est pas sûr. A partir de ce moment (+15 s) les pompes primaires cessent de fonctionner (cf. TMI-2), et la pression est toujours trop élevée pour que les bâches à 45 bars puissent injecter de l'eau froide. Les circuits RIS des autres boucles n'ont pas, et de loin, la capacité de refroidir le coeur si rapidement, et de plus, si les redondances sont construites de la même façon que sur les REP (pas clair sans le rapport de sûreté), l'injection de secours se fera dans la boucle rompue (moindre pression) si elle n'a pas pu être isolée (probable).

Pour comprendre et visualiser la suite des évenements, il faut ré-étudier en détail l'accident de TMI-2, survenu en 1979 sur un REP, et qui était entre autres la conséquence d'une perte de réfrigérant primaire, ainsi que l'accident de Fukushima dai-ichi (unités 1, 2 et 3), où on trouve des débris en grande quantité sous les réacteurs alors que les fonds de cuve sont intacts. Ce serait trop long à expliquer ici, mais la conclusion est qu'une grande quantité de combustible et de produits de fission sera entrainée dans la brèche du RCP de l'EPR, puis dans l'enceinte réacteur et/ou l'extérieur du bâtiment, en quelques dizaines de secondes, et sans qu'il soit nécéssaire que le combustible ne fonde à 2750 C.

En conclusion, et compte tenu des informations disponibles aujourd'hui, l'EPR ne peut être mis en service. Sinon, et au pire bien plus probable que ne veulent l'admettre EDF et l'ASN/IRSN, on prend le risque d'un accident encore plus grave que celui de Fukushima.



on se rend compte aujourd'hui que la technologie REP, qui date des années 1950, n'était peut-être pas si bonne que ça au départ, qu'elle n'a pas évolué depuis, qu'on n'a pas résolu les problèmes qui se posaient dès le début (fuites GV, fissures diverses, débits de dose, pénétrations de couvercle,..) et que l'EPR accumule les déboires en nombre proportionnel à sa taille comparée aux réacteurs précédents 500, 900, 1300, 1450 MWe.



Ceci dit, les industriels nucléaires francais (et leurs associés étrangers) diposent de moyens, de talents et d'expérience que peu de pays peuvent se vanter d'avoir. Je suis convaincu qu'en prenant un peu de recul pour mieux observer et analyser les faits, des solutions simples sont à portée de main.

Bon courage (sans ironie ni condescendance).

J'ai confiance dans l'ASN qui est extrêmement rigoureuse et qui ne donnerait pas son aval à la mise en service de l'EPR s'il y avait le moindre risque.

Il n'y a que le nucléaire actuellement qui peut permettre de faire face à l'augmentation future de la consommation d'électricité. Ce n'est pas les énergies intermittentes sur lesquelles, comme leur nom l'indique, on ne peut pas compter qui peuvent assurer ce service. Et ne parlons pas de l'hydrogène qui est là pour endormir les gens et qui sera vite abandonné devant les problèmes techniques que son utilisation soulèvera.

Vraiment dommage qu'on est arrêté Fessenheim pour des raisons politiques et non de sécurité.

Beaucoup de nos précédents gouvernements ont cédé pour des raisons électorales à l'idéologie des partis écologiques comme quoi la solution au changement climatique pouvait se passer du nucléaire.



La guerre en Ukraine a démontré l'irresponsabilité de cette idéologie qui a conduit à une très forte augmentation de l'utilisation des énergies fossiles en Europe.



Il est temps de redonner à la France une politique énergétique basée sur une énergie durable, sûre et surtout bas carbone en démarrant Flamanville 3 et aussi les futurs EPR2.

Vérités et contrevérités, tout a été dit sur l’EPR de Flamanville, durant ce long laps qui conduit désormais au seuil de sa mise en service, difficile donc d’ajouter aux débats (souvent de faux débats d’ailleurs), sauf à tenter de prendre un peu de hauteur (exercice toujours difficile, la force de rappel gravitaire étant implacable) et de s’en tenir à un constat schématique (1), ce qui n’empêche pas de choisir.



Pour les partisans :



Dans un contexte post-Tchernobyl, L’EPR a été pensé pour obtenir un niveau de sûreté jamais envisagé jusque-là, ce réacteur ne pouvant être : « ni agresseur, ni agressé », un cahier des charges simple, mais terriblement difficile à réifier en des structures et des protections forcément inédites, à vocation à servir de normes.

L’histoire du projet et du chantier a montré que ces dispositions se sont révélées délicates à mettre en œuvre. D’abord par leur exigences intrinsèques, mais aussi parce que l’appareil industriel qui avait excellé à construire efficacement le flotte nucléaire nationale, s’était terriblement affaibli dans la longue léthargie -une vingtaine d’années que le politique, gauche et droite confondues, lui a infligée.



Reste qu’à la fin de ce qui ressemble plus à une course d’obstacles qu’à un challenge industriel, on y est enfin parvenu !!



D’autres avait franchi la ligne avant nous, les Chinois à Taishan, partis après, mais arrivés avant, grâce à un outil industriel délié et en plein exercice, et plus récemment les Finlandais à Olkiluoto, partis avant, qui subissaient les mêmes affres réglementaires et industriels que les Français.

Au RU, l’immense chantier des deux EPR d’Hinkley-Point progresse, non sans difficultés, mais nul doute qu’il sera mené à bon terme, plus riche de l’expérience acquise ailleurs, Sizewell devrait suivre, avec deux réacteurs EPR.



On peut donc construire et exploiter des EPR, contrairement à l’avis de tant de cassandre, ayant affirmé le contraire « une folie inutile dans laquelle on s’entête » avait asséné un Nicolas Hulot sur le départ, surtout quand le projet, ou le chantier, butaient sur une nouvelle difficulté.

Mais l’exercice a été difficile, dispendieux, périlleux même, il faut bien le reconnaître.



Pour les opposants :



Certains ont critiqué les options techniques choisie, trop gros, trop complexe, trop cher, on a même entendu, trop sûr !!... On restait alors sur un terrain technico-industriel.



Mais l’essentiel des oppositions étaient foncières : pas question de réveiller un nucléaire assommé par le désastre de Tchernobyl, fût-ce par une machine qui entendait posséder les parades idoines.

Les difficultés du chantier et les lourdes péripéties réglementaires, bien mises en scène et en ondes, ont généreusement alimenté leur carquois, et des bordées de flèches ont été décochées. A plusieurs reprises, les contempteurs ont pu croire qu’ils avaient gagné. Le politique ne soutenait plus le projet, s’il l’avait jamais soutenu, ayant, de plus, saboté son substrat industriel.



Au final :



Il y a d’un côté ceux qui ont cru qu’on pouvait relancer le nucléaire en construisant une nouvelle machine superlative, même si parfois ils se sont fourvoyés dans des organisations inadaptées, des non-qualités répétées, pêchant par optimisme, voire minorant volontairement les difficultés.



Il y a de l’autre ceux qui resteront, par idéologie ou par convictions, toujours incrédules, au mieux défiants, devant la technologie nucléaire.



Ces points de vue sont irréconciliables et l’EPR de Flamanville a fourni l’arène idéale pour qu’ils s’affrontent, durablement, une nouvelle fois.

Il est notable que les qualités intrinsèques du nucléaire, sur-valorisées par le contexte géopolitique (outil d’indépendance énergétique et vecteur d’électricité sans carbone), n’y ont rien changé, un signe en soi qui suffirait à faire basculer, côté EPR, un honnête homme demeuré perplexe.



Un hésitant que pour ma part, je ne suis pas, et qui souhaite bon vent et plein succès à ce premier EPR national, à vocation de paver la voie de la relance nucléaire programmée, laquelle passe par un renouveau industriel de la filière.



Bon vent donc à Flamanville 3, qui doit encore réussir sa dernière ligne droite, sous la vigilance acérée de l’ASN, le succès sur la ligne n’ayant que plus de prix.



(1) : une des nombreuses variantes aux propos de Valéry : « ce qui est simple est toujours faux, mais ce qui ne l’est pas est inutilisable » à mettre en parallèle à ceux de Bachelard « le simple est toujours le simplifié »…