Projet de décision de l’ASN relative au réexamen périodique de l’installation nucléaire de base no 80 (Atelier « Haute activité oxyde ») exploitée par AREVA NC sur le site de La Hague (Manche)

combien de conflits d'intérêt faudra-t-il dénoncer? Combien d'enfants malformés et malades doivent encore naitre pour que nous reconnaissions le risque immense pour ne pas dire la promesse de catastrophe que nous leur réservons... il y aurait tant à faire avec des énergies propres ET sans risque! il y aurait tant de bénéfices à simplement respecter les règles de sûreté déjà établies : la cuve est défectueuse = le chantier est abandonné pour la sécurité et le bien être (santé, moral, financier, etc) de tous!!
Mais il faut des "couilles" pour prendre cette décision, une grande honnêteté, une sacrée indépendance intellectuelle... qui aura le courage??? Qui???

combien de conflits d'intérêt faudra-t-il dénoncer? Combien d'enfants malformés et malades doivent encore naitre pour que nous reconnaissions le risque immense pour ne pas dire la promesse de catastrophe que nous leur réservons... il y aurait tant à faire avec des énergies propres ET sans risque! il y aurait tant de bénéfices à simplement respecter les règles de sûreté déjà établies : la cuve est défectueuse = le chantier est abandonné pour la sécurité et le bien être (santé, moral, financier, etc) de tous!!
Mais il faut des "couilles" pour prendre cette décision, une grande honnêteté, une sacrée indépendance intellectuelle... qui aura le courage??? Qui???

Quand Tchernobyl a été accidenté, on nous a dit : "c'est dans un pays peu développé".
Quand Fukushima a été accidenté, on a fait quelques images, puis passé à autre chose. Le Japon, c'est loin... (mais développé !!)
Quand, en France, on aura un accident nucléaire, soit par défectuosité des cuves, soit par une bombe bien placée au bon endroit (il a été prouvé que les drones pouvaient survoler les centrales), que nous diront les autorités, à part : "prenez vos capsules d'iode"?
A quand la production énergétique décentralisée?
Laisser la responsabilité de la production à un gros lobby, unique, c'est continuer à s'enfoncer vers des choix que ne veut plus la population

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Aréva et EDF; deux entreprises qui croulent sous les dettes — Areva a perdu 665 million d'euros en 2016 et la dette d'EDF est abyssale, jusqu'à 75 milliards d'euros. Elles ont besoin d'en finir avec le chantier finlandais et celui de La Hague, et pour cela elles sont prêtes à utiliser une cuve défectueuse. On sait que cette cuve, pièce maîtresse d'un réacteur nucléaire n'est pas fiable. Les États-Unis, la Chine et le Royaume Uni lancent des enquêtes sur les malversations constatées au Creusot, 'fabricant' de ces cuves: documents truqués, mensonges, manque de transparence sur les défauts de fabrication. Le diesel-gate à côté, c'est du travail d'amateurs. Pour n'importe qui de sensé, laisser faire EDF/AREVA en les laissant installer cette cuve serait faire preuve d'une négligence criminelle. En cas d'accident, qui sera amené à régler la note? Le contribuable, évidemment, alors que notre gouvernement nous somme de nous serrer la ceinture, n'ayant qu'un mot à la bouche, "réduction des dépenses".
On nous dit et on nous répète ad nauseam que nous n'avons pas le droit de laisser le problème de la dette publique, les dépenses de l'État, le régime des retraites etc, etc, à nos enfants, nous petits enfants et nos arrières petits enfants. Or, les problèmes liés au nucléaire, notamment celui des déchets, seront légués à l'humanité pour des milliers d'années, sans que cela trouble les esprits chez AREVA/EDF. Il faut savoir arrêter cette absurdité. Pour cela, il faut du courage. Le courage de dire non au puissant lobby nucléaire, de tenir tête à ces gens suffisants, arrogants et peu enclins à la transparence et la démocratie, pour qui l'idée qu'ils puissent se tromper leur est totalement étrangère. L'avez-vous, ce courage? J'en doute, hélas. A vous de prouver le contraire, pour le bien de la France, l'Europe, et l'humanité.

La cuve est imparfaite. Tous les responsables d'EDF et AREVA le savent. Ils ne sont pas les seuls, une grande partie de nos concitoyens aussi sait. La surveillance à laquelle il est fait référence est impossible à réaliser. Tout le monde le sait. Les risques sont énormes et personne ne peut les assumer. Les recommandations de précautions à prendre ne servent à rien. Il faut arrêter cette activité nucléaire qui ruine la confiance des français et vide les poches de l'État donc les nôtres. Ne pas aller plus loin!

Ce projet a couté déjà beaucoup trop cher au contribuable français. Il convient d'arrêter cette gabegie, d'autant que la sécurité du dispositif reste défaillante. Les français le savent et cela est su au niveau international: l'image de l'industrie nucléaire française devient déplorable. Il serait beaucoup plus adroit de porter l'effort financier sur des énergies sûres, renouvelables et d'arrêter ainsi la production de déchets. Les efforts entrepris pour coûte que coûte pour aboutir ce projet ne sont pas mis dans la construction d'un fleuron d'avenir de l'industrie française. AREVA et EDF doivent cesser de prendre en otage la sécurité et les deniers des français pour un projet voué à l'échec.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.