Modifications d’échéances réglementaires concernant le silo 130 (INB n° 38) exploité par AREVA NC dans son établissement de La Hague

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Au delà de du danger que génère la mise en place d'un pièce non conforme aux normes de sécurité, AREVA sème un climat d'angoisse auprès des populations voisines du centre de retraitement. Comment peut on à notre époque laisser adopter des mesures qui remettent sciemment en question la sécurité des populations locales pour des raisons économiques. L'intérêt écologique ne doit il pas primer sur l'intérêt écologique? Ma famille et moi vivons à 120 km au sud de la Hague. Je ne trouve pas cette situation acceptable et ai encore assez de confiance en ce gouvernement pour espérer que ma voix sera entendue..

J'habite la Manche, j'y élève 3 enfants, j'y enseigne... Il est aberrant d'hypothéquer l'avenir de nos enfants pour des raisons financières.
Je refuse la mise en service de l'EPR. La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Les intérêts privés doivent cesser de prendre le pas sur l'intérêt public, ce que nous faisons du nucléaire engage toute l'humanité et les générations futures. Nous n'avons visiblement tiré aucune leçon des catastrophes nucléaires précédentes, des entreprises privées n'ont pas le droit de prendre des décisions d'une telle ampleur simplement pour des motifs financiers. La recherche doit se tourner vers les énergies renouvelables et non cacher la vérité et jouer avec les normes de sûreté. Les pièces utilisées pour le réacteur doivent être d'une qualité irréprochable et même ainsi, d'autres facteurs (attentats, séismes, erreurs ...) ne sont pas contrôlables. Nous devrions faire preuve de plus de modestie, d'éthique et de prudence dans l'utilisation des technologies et de la science et devant l'immensité des choses que nous ne maitrisons pas. Ne sacrifiez pas l'intérêt de l'humanité à des intérêts privés.

Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

AREVA NC affirme aujourd’hui ne pas être en mesure de tenir les engagements pris en 2010 en indiquant que « AREVA NC a indiqué avoir rencontré divers aléas depuis l’adoption de la décision du 29 juin 2010. Les principaux concernent d’une part, la modification de la conception des bâtiments de reprise et de conditionnement des déchets et, d’autre part, l’abandon du projet de conditionnement en ligne des déchets. »
Les solutions techniques proposées dans la décision 2010-DC-190 sont totalement remises en question sans que l’on sache à la lecture des documents présentés par l’ASN s’il s’agit de difficultés techniques qu’il était impossible de prévoir, d’un manque de sérieux d’AREVA NC dans ses études préliminaires, d’un volonté délibérée d’occulter la réalité des difficultés techniques ou d’incompétence.
Dans le cas du silo 130, il est question de « boues UNGG » contenant du graphite, déchets issus du fonctionnement d’installations nucléaires de première génération ne fonctionnant plus depuis plusieurs dizaines d’années. AREVA NC avait le temps de se préparer. Quelque que soit la raison pour laquelle AREVA NC demande une modification du planning, la légèreté avec laquelle est traitée ce dossier par cette entreprise est inacceptable et il est indispensable que l’ASN fasse respecter les engagements pris en 2010 par AREVA NC.
De façon plus générale, il est indispensable que la question des déchets et du démantèlement des installations nucléaires existantes soit traitée avec diligence : le dossier en objet et la report du démantèlement des réacteurs nucléaires de première génération par EDF indiquent que cet aspect n’est pas maîtrisé par les industriels du nucléaires, ce qui est très inquiétant.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir .
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.