Consultation du public sur les conditions de la poursuite de fonctionnement des réacteurs de 900 MWe au-delà de 40 ans
23/12/2020 15:12
reexamen des reacteurs au delà de 35 ans de fonctionnement
Réexamen des réacteurs électronucléaires au-delà de leur 35e année de fonctionnement
Une consultation publique dans ce domaine entraîne une réflexion qui va s’orienter sur plusieurs plans :
• D’abord au plan technique : peut-on réellement solliciter un avis essentiellement technologique en s’adressant à une population minoritaire en matière de connaissances scientifiques ?
• Ensuite au plan sociétal : car il convient d’être personnellement au fait de l’évolution du fonctionnement de ces réacteurs c’est-à-dire de leur production d’électricité et de la consommation de celle-ci au plan national
J’avais 11 ans à la sortie du deuxième conflit mondial c’est-à-dire en 1945 et je me rappelle parfaitement de l’évolution sociale à partir de cette date c’est-à-dire du confort quotidien résultant à plusieurs niveaux de cette renaissance « électrique ».
Quelques rappels :De 1945 à 2020 la population a été multipliée par 1,46 soit une augmentation de 46 %
mais la puissance électrique installée en France sur la même période a évolué et a été multipliée par un facteur 14 c’est-à-dire 1400 %
L’annonce de ce résultat ne correspond pas au souhait de faire une annonce tonitruante au titre de cette « science » d’aujourd’hui à savoir « la communication ».
Cette annonce sous-tend l’immense confort apporté dans notre vie quotidienne grâce à la « fée électricité » comme la nouvelle terminologie commerciale la désignait.
Cette évolution a conduit à la très grande amélioration des conditions de vie de toute la population, pas seulement dans le confort quotidien mais également dans des domaines corollaires tels que l’évasion vers les congés payés (création de la SNCF au plan national–développement fulgurant de l’usage de l’automobile…), et cela grâce à une énergie toujours présente abondante et abordable par tous les foyers. C’est-à-dire d’abord l’énergie primaire puis l’énergie électrique fournie de façon exponentielle (hydraulique des barrages puis électronucléaire qui, en même temps nous a libéré grandement de la dépendance extérieure à la France–n’oubliez pas la guerre de Suez et la crise du pétrole de 1976)
Peut-on envisager aujourd’hui un retour en arrière, quels que soient les exhortations des chantres de la régression ? Je peux répondre non, c’est-à-dire certainement pas.
Pourtant, aujourd’hui une loi inepte conduit à :
–arrêter 2 réacteurs électronucléaires sur un total de 58 qui fournissent 73 % de l’électricité produite et consommée au plan national.
–à prévoir l’arrêt de 15 réacteurs de plus dans les 15 ans à venir soit un par an
Y aurait-il un autre vecteur de production d’électricité capable des performances citées ci-dessus à propos de l’électronucléaire ? Car si le verbe et la communication sont en mesure aujourd’hui d’anesthésier la population, qu’en sera-t-il lorsque malgré les annonces faramineuses concernant la production d’électricité à partir des énergies renouvelables (ENR), on subira des coupures, des blackout et des restrictions de consommation d’électricité. Car il n’existe pas aujourd’hui de moyens de production d’électricité à la hauteur de la demande de consommation de la population Française et les résultats statistiques actuels et officiels le montrent à l’évidence.
Les chantres de la régression envisagent alors une réduction drastique de la consommation électrique tout en écartant l’utilisation des combustibles fossiles. Or les prémices de ce malthusianisme demandé à la population de France, comme les exemples de la situation en Allemagne et dans d’autres pays, le démontrent, commencent à se ressentir et mettent en exergue l’ampleur du mensonge.
Donc, si l’on veut maintenir le niveau de vie de la population de France qui s’est traduit d’ailleurs par l’augmentation de l’espérance de vie (depuis 74 ans augmentation de l’espérance de vie de 17 ans environ), que faut-il envisager ?
–et bien, soit de relancer massivement des réacteurs électronucléaires pour remplacer les machines actuelles (voir l’alinéa dans le chapitre de fin du présent texte).
–soit de maintenir en état de fonctionnement les appareils électronucléaires existants. C’est-à-dire de prolonger leur « existence industrielle ».
Et cela en attendant la maturité de systèmes de production d’électricité ENR à l’échelle de la consommation de la France. C’est-à-dire essentiellement pour obvier à l’intermittence de production, grâce à des capacités de stockage d’électricité à l’échelle nationale. Nous en sommes très loin au plan technique aujourd’hui.
Donc la question est très simple : Veut-on maintenir ou améliorer l’espérance de vie de notre population ? Si la réponse est oui, ce que j’espère, il n’existe pas d’autre solution que la prolongation du fonctionnement des réacteurs électronucléaires actuels, problème exclusivement technique.
D’où la conséquence directe : qui est capable d’en juger ?
Et bien, n’ayons pas peur de l’affirmer : seul les techniciens peuvent analyser le fonctionnement technologique de l’appareil électronucléaire à l’exclusion des affirmations dogmatiques actuelles de la part des lobbys antinucléaires dont le verbe n’a d’égal que l’évanescence de leurs conclusions.
Donc parlons un peu de technique « populiste… ». Tout les appareillages du système assurant le fonctionnement des réacteurs électronucléaires sont démontables donc remplaçables avec plus ou moins de difficultés (générateurs de vapeur– pompes principales du système primaire– système de contrôle commande–etc.…) : seule la cuve du circuit primaire du réacteur n’est pas, ou très difficilement remplaçable, compte-tenu des apparaux qui l’entourent. Donc, actuellement, la question qui se pose repose exclusivement sur la longévité de cette cuve.
Si un système technique est prolongé, nous devons être capables d’étudier son évolution durant le temps d’exploitation : car c’est son évolution qu’il convient d’apprécier. Or les données actuelles permettent de « suivre » son mode d’existence dans le détail, de prévenir l’apparition de défauts, et d’estimer de façon précise sa situation technique donc sa longévité.
Précisément nous bénéficions de valeurs statistiques et déterministes sur cet appareil autant sur le suivi du matériau (cette nature d’acier a toujours été utilisée sur la majorité des 437 réacteurs existants de par le monde dans 30 pays) que par le nombre d’années–réacteurs cumulées depuis le premier réacteur raccordé au réseau en 1954 ; Soit environ 12 500 années-réacteurs de fonctionnement vécues sans incident. L’aboutissement de cette expérience mondiale conduit actuellement à envisager la longévité de ces cuves jusqu’à 80 ans et par des organismes de sûreté aussi rigoureux que la NRC aux USA.
Donc, la conclusion s’impose d’elle-même : un système industriel aussi fondamental pour une nation que la production d’électricité, peut et doit évoluer, mais ne doit pas conduire à un système révolutionnaire laquelle révolution engendre toujours des incidents ou des accidents en termes qui ont échappé à l’étude, quelque soit la compétence de chacun. Et nous commençons d’ailleurs à en connaître les prémices avec le système ENR.
Car on peut ne pas imaginer tous les incidents ou accidents potentiels dans un système résolument novateur. Et l’exemple des accidents dramatiques actuels dont ont été l’objet les modèles d’avion Boeing-737 Max … ou encore dans le temps passé avec le modèle du premier avion commercial à réaction De Havilland Comet), nous le rappellent cruellement
L’alternative la plus plausible évoquée brièvement ci-dessus, serait de lancer un programme de réacteurs neufs électronucléaires Français mais encore conviendrait-il de reconstruire une industrie capable de mener à bien un tel programme, au plan national. Cette donnée ne semble pas aujourd’hui probante en regard de certains projets particulièrement contestés tels que (Olkiluoto en Finlande–Flamanville 3 en France -réacteur Jules Horowitz à Cadarache…).
Donc il convient, en conclusion, d’envisager la seule solution possible au plan national Français, c’est-à-dire la prolongation des réacteurs électronucléaires existants et cela sous l’autorité indiscutable de l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) en France. Car, il faut le rappeler, la consommation d’électricité ne faiblit pas si ce n’est marginalement et occasionnellement.
22 novembre 2020 MARTIN Jean-Paul–ingénieur retraité du Commissariat à l’Energie Atomique
23/12/2020 15:12
Oui
Le nucléaire est l'une des énergies avec le plus faible taux de mortalité et les plus faibles émissions de carbone, autrement dit ce dont nous manquons aujourd'hui. De plus, poursuivre avec les installations existantes diminue l'intensité carbone du kWh et son coût (les infrastructures sont ce qui pèse le plus dans l'empreinte carbone et financière). Non à l'obsolescence programmé : tant que l'ASN déclare les centrales sûres, elles doivent continuer à produire !
23/12/2020 12:12
Distinction entre danger et risque = propagande, Nicolas Hulot sponsorisé par EDF : on le sait déjà, pronucléaire, antinucléaire = propagande, religion = religion d'État pro-industrie de la fission de l'uranium-235 = liberticide = anti-démocratique = mafia
Un danger ou un risque, lorsqu'il est inutile ne doit pas être encouru, par principe de précaution.
En effet, on peut et on doit faire autrement.
Miser sur le sale (diesel et uranium) mérite le goudron et les plumes car c'est de la triche.
La triche nous entraîne dans un cercle vicieux.
Croire qu'on rajeunira d'un coup de baguette magique les vieilles cuves est un mensonge.
Dépenser des milliards d'argent public, sans garantie de non contamination généralisée de la France et sans pouvoir l'investir ailleurs et mieux est une erreur.
Le cycle de vie du nucléaire est de la propagande car il n'y a ni cycle, ni vie.
Comparer une centrale nucléaire à une usine est absurde et parler de rentabilité encore plus. L'interaction forte responsable de la radioactivité et de la chaleur émise pour faire bouillir de l'eau et émise pendant des milliers d'année par les combustibles usés (c'est la méthode la plus dangereuse qui existe pour faire bouillir de l'eau) est incomparable avec une "usine" normale. Quant à la rentabilité, est-ce que fabriquer des poisons indestructibles pendant 100000 ans est rentable ? Est-ce que faire un Fukushima ou un Tchernobyl en France est rentable ? Bien sûr que non. Est-ce qu'on a le droit de dire qu'on ne peut pas faire autrement ? Bien sûr que non puisque quand on veut on peut. Et non seulement on peut mais on doit (on n'a ni uranium, ni pétrole, ni charbon mais on a des énergies renouvelables inexploitées).
Il n'y a aucune richesse gigantesque apportée à la France et aux Français par les centrales nucléaires. C'est tout l'inverse et ça nous fait passer à côté de ce qui pourrait être plus avantageux pour nous et surtout, beaucoup moins dangereux et beaucoup moins risqué (dangereux et risqué, ça revient au même in-fine quand il faut ramasser la merde qu'on nous impose de force).
Dire que le nucléaire est propre est de la propagande. C'est sale, bel et bien sale et prouvé scientifiquement (la taxonomie européenne verte refuse d'inclure le nucléaire au grand dam du lobby nucléaire français qui met tout son poids pour passer en force en prenant tout le monde pour des cons et c'est honteux et criminel d'être aussi con et aussi borné pour refuser une évidence aussi énorme ce qui prouve bien que la France est complètement pourrie de l'intérieur).
Dire que le nucléaire est écologique est de la propagande. C'est anti-écologique car ça pollue et ça provoque la pollution et le dégagement intensif de CO2 par toute la machine économique et financière basée sur l'énergie sale a un prix du kWh extrêmement bas (2 centimes d'euro le kWh de pétrole au cours mondial), 1000 fois inférieur au kWh de beefsteak.
Tant que le sale ne sera pas interdit et subventionné par l'argent public, on ne pourra pas sortir de la spirale infernale du quadruple dumping énergétique, environnemental, social et fiscal, générateur de gaspillage et de pollution effrénés, d'inégalités et de chômage, de destruction du biosystème pillé et détruit conduisant à la destruction de notre civilisation.
On peut ne pas tricher avec le cancer.
On ne peut pas tricher avec l'alcool, conduisant à la mort en cas d'addiction.
On ne peut pas tricher avec le tabac, conduisant au cancer en cas d'addiction.
On ne peut pas tricher avec l'uranium, conduisant à l'accident nucléaire en cas d'addiction.
On ne peut pas tricher avec le pétrole, le charbon, le gaz, conduisant au réchauffement climatique en cas d'addiction.
On ne peut pas tricher avec les énergies sales et bradées, conduisant au report des coûts externes sur les générations futures, à la destruction du biotope qui ne nous appartient pas conduisant à la destruction de la civilisation en cas d'addiction.
On ne peut pas tricher avec l'avenir de l'humanité.
Pour sortir d'une addiction morbide, c'est abstinence absolue.
La vie, la civilisation, la science, l'intelligence, le partage, la Terre, l'eau, l'air, la terre, l'amour, c'est ce que l'on a de plus précieux.
Faisons en sorte de préserver toute cette richesse qui vaut bien plus que l'argent puisque l'homme en est esclave.
Ne soyons plus esclaves d'une industrie polluante et de l'argent sale. Soyons libres.
23/12/2020 10:12
Écologie
Une décision telle que les choix technologiques de notre approvisionnement en énergie ne peux pas se prendre avec les sentiments, les émotions, la colère et la peur. Analysons avec rationalité et sang froid quelles technologies sont les meilleures pour l'environnement, le social, et notre porte feuille. Dans tout les calculs de cycle de vie proposés le nucléaire sort gagnant de tout les point de vue. Nombre de mort, pollution CO2, quantité de déchets, pilotage, utilisation de matériaux, emprise au sol, coûts, le nucléaire sors comme la meilleure technologie sur tous les points de vue, devant le solaire et l'éolien qui coûtent des sommes astronomique et qui ne produisent rien en polluant plus. Le stockage des déchets n'est pas un problème, il n'y a rien à -500m sous terre. Les français n'ont aucune notion des échelles de risque et des des ordres de grandeur. Tout les anti nucléaire se battent pour fermer les centrales, mais ils prennent régulièrement leur voiture qui fait 3000 morts par ans, ils ont chez eux des escaliers qui font 9000 morts par ans dans les accidents domestiques en France (oui oui, en France) les armes a feu et le tabac ainsi que le CO2 sont des fléaux bien pire que l'industrie nucléaire. Restons lucide, le nucléaire apporte une richesse gigantesque aux français qu'ils sont absolument incapable de mesurer. Alors ne cédons pas à la peur, aux dogmes religieux, faisons ensemble des calculs éclairé et gardons le plus longtemps possible ces centrales sans limites de temps, tant qu'elle respectent la loi.
23/12/2020 10:12
Avis favorable
La consultation portant sur les conditions de la poursuite de fonctionnement des réacteurs de 900 MWe au-delà de 40 ans, je souhaite apporter un avis favorable.
Je ne m’attarderai pas sur un débat philosophique sur le nucléaire, le renouvelable et toute autre source d’énergie mais bien sur le projet de décision de l’ASN.
En effet, dans la mesure où l’exploitant, EDF, respect les préconisations de l’annexe I de l’avis de l’ASN et le planning imposé par l’annexe II, l’exploitation de ces centrales reste sûre.
Ces demandes prennent en compte les facteurs liés aux agressions externes, internes mais également le vieillissement des composants et semblent donc complètes.
La prise en compte des spécificités de chaque centrale et l’ajout d’exigences pour les piscines sont également à souligner.
23/12/2020 10:12
Un grand OUI
Le nucléaire est dangereux mais n'est pas risqué. La preuve, il ne fait pas de morts en France. Le nucléaire ne pollue pas plus que n'importe quelle usine chimique. Le nucléaire ne détruit pas l'environnement en France. Aucun homme ou animal ou flore n'a subit l'impact des déchets nucléaire en France. Il est temps que les gens cessent de confondre danger et risque, ainsi que déchets et pollution. La prolongation des réacteurs dans les exigences de sûreté raisonnable est la meilleure chose à faire pour l'écologie et pour l'économie. Merci de continuer vos contrôles et de prolonger ces usines sans limites de temps tant que la sûreté est au rendez-vous. Comme n'importe quelle usine en France qui doit respecter la réglementation, on ne ferme pas de force une usine parce qu'elle à passé une limite d'âge. Soit l'exploitant la ferme pour une question de choix ou de rentabilité, soit l'usine de respecte pas la réglementation. La fermeture de fessenheim est un scandale.
23/12/2020 08:12
Reconduire Faire durer
Dans son livre en Janvier 2007 Pour un pacte écologique , Nicolas Hulot proposait
"un contrat entre les Français et leur nouveau président de la République pour changer de cap"
avec "Cinq propositions concrètes"
sur lesquelles les candidats étaient appelés à s'engager :
Et surtout "Dix objectifs"
On retiendra simplement le premier
Economie. Une logique de la durabilité ; concevoir les produits pour qu'ils durent et soient réparables.
On se rappelle qu'EDF est membre fondateur de la FNH
On pouvait lire sur la page d'accueil du site :
EDF est l'un des partenaires de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'Homme
depuis sa création, en décembre 1990, sous le nom de Fondation Ushuaïa. La protection
de l'environnement et l'éducation des jeunes constituent des préoccupations prioritaires
pour EDF. .
22/12/2020 23:12
JJ sera compté dans les pro-sortie de corium en France (il est fou JJ)
Prolongation des vieux réacteurs = acceptation du risque de contamination = mise en danger des français = fuite en avant.
Nous valons mieux que cela : "l’étalement et le refroidissement du corium sont d’importantes avancées pour la sûreté, qui réduisent très fortement le risque de conséquences radiologiques importantes dans cette situation." = des foutaises (une fois le corium sorti, on ne sera pas sorti de l'auberge, pas plus qu'à Fukushima ou Tchernobyl). Ce n'est même pas envisageable. C'est bien pour cela qu'il faut absolument arrêter de persévérer dans l'erreur car on peut faire beaucoup mieux en nous y prenant autrement que comme des manches. Rien à perdre. Tout à gagner. Tel est mon message : ce n'est pas un filtre ou un appoint d'eau douce ou d'eau de mer pour refroidir comma à Fukushima, ou une quelconque rustine sur des cuves fatiguées et fissurées qui y changera quelque chose. De plus EDF est en incapacité de réussir à faire faire correctement les travaux comme à l'EPR de Flamanville où c'est incompétence généralisée et malfaçon sur malfaçon, le tout financé par les Français (c'est un mort-né que même les pro-industrie de la fission de l'uranium-235 encaissent mal et ça me fait mal même si je suis anti-industrie de la fission de l'uranium-235, pour l'industrie de l'énergie renouvelable aux français et pas aux étrangers chinois et autres et contre l'EPR aux chinois).
22/12/2020 20:12
Commentaire portant sur la question posée, à savoir le contenu du projet de décision ASN sur le prolongement des réacteurs de 900MWe au-delà de 40 ans
A la différence de la grande majorité des commentaires que j’ai pu consulter, ce commentaire concerne la question posée, à savoir le contenu du projet de décision ASN, du point de vue de la sûreté des réacteurs de 900 MWe au-delà de leur quatrième visite décennale.
Tout d’abord, je tiens à féliciter l’ASN d’avoir enfin inclus dans l’analyse des considérations concernant la sûreté des piscines et par exemple le risque d’échauffement d’un assemblage dans une cellule de ressuage. Les risques lorsque le combustible est dans le bâtiment combustible étant des grands oubliés depuis trop longtemps des démonstrations de sûreté. Il faut désormais veiller à ce que ces initiateurs aient le même niveau de sûreté (au sens diagramme de Farmer) que le réacteur.
La suppression des calorifuges MicroTherm et Protect 1000S sont une vraie avancée pour la sûreté, et il semble en effet utile de continuer de réaliser des essais sur cette question cruciale de la recirculation.
Il est également très appréciable que l’ASN ait le courage d’imposer un renforcement sismique du filtre U5 au niveau SMS et de demander l’amélioration de ses capacités de filtration des iodes gazeux. C’est un dispositif crucial pour la gestion d’un accident grave. Il faut éviter qu’il puisse être endommagé par un séisme important.
Sinon, le fait de pouvoir évacuer la puissance résiduelle hors de l’enceinte sans ouverture U5 en accident grave grâce à l’intervention de la FARN, l’étalement et le refroidissement du corium sont d’importantes avancées pour la sûreté, qui réduisent très fortement le risque de conséquences radiologiques importantes dans cette situation. Il s’agit d’avancées majeures pour la sûreté. Néanmoins, la pompe EASu n’étant pas redondée, il est effectivement nécessaire que l’ASN demande un moyen de substitution (appoint d’eau mobile associé à une ouverture U5 tardive).
Le fait de détailler, réacteur par réacteur, les dates limites d’application de chaque prescription est probablement lourd et rébarbatif, mais me semble une excellente idée pour l’applicabilité et le suivi de ce grand chantier industriel.
En revanche, je suis très surpris des prescriptions concernant les capacités des pompes RIS et EAS de Bugey. Le fait que l’on puisse avoir un doute sur leur capacité à fonctionner, en 2020, me semble totalement anormal. Des essais semblent bien requis si un tel doute existe. Les délais imposés (31 décembre 2021 et 31 décembre 2022), s’ils sont courts du point de vue industriel, semblent presque longs par rapport à l’enjeu et le niveau de fiabilité qui est normalement requis pour ces situations du dimensionnement. J’invite l’ASN à être particulièrement attentif sur cette question.
Sinon, pour vos stats sur la motivation numérique des militants pro ou anti-nucléaires (car je ne vois pas ce que vous pouvez faire d’autre des centaines de commentaires qui vous sont laissés), veuillez me compter dans les pronucléaires.
22/12/2020 19:12
consultation sur la prolongation de fonctionnement des réacteurs
pourquoi investir encore dans cette industrie dangereuse et coûteuse ?
Il vaudrait mieux investir dans les économies d'énergie, l'efficacité énergétique et les énergies renouvelables. Le nucléaire ne sauvera pas le climat. Par contre, il de notre devoir de protéger les générations futures.
Arrêtons les centrales : cela se fera progressivement mais il faut prendre la décision maintenant et prévoir l'avenir.
Merci
Christine
22/12/2020 19:12
arrêtons les frais
Arrêtons les frais une bonne fois pour toute. Sachant l’état de la situation financière d’EDF, je ne veux pas que mes petits enfants payent pour les choix de cette industrie polluante et dangereuse. En effet, la gestion et le devenir des déchets nucléaires (dangereux pendant combien de temps ?) n’est toujours pas résolue. Et ne parlons pas du devenir de ces tonnes de béton et de ferrailles contaminées. A ce propos, la « petite » centrale de Brénilis en Bretagne sera-t-elle déconstruite un jour ?
L’indépendance énergétique de la France n’est qu’un mythe car l’uranium provient de certains pays africains avec des conséquences environnementales locales sujettes à interrogation.
Il est grand temps en matière d’électricité d’appliquer les recommandations de l’association « négawat » qui a parfaitement démontré qu’une division par deux de notre boulimie électrique est parfaitement envisageable. Ceci en abandonnant la promotion du chauffage électrique telle qu’elle est toujours appliquée et en relevant le prix de l’électricité. Car actuellement le bas prix du Kw/h favorise le gaspillage actuel.
De toutes façons, je suis circonspect sur l’utilité d’un tel débat puisqu’en matière de nucléaire (qu’il soit civil ou militaire) les décisions prises par le lobby de l’industrie nucléaire ne souffrent d’aucune remise en question. Tout récemment, le président de la république vient d’en administrer la preuve en claironnant une relance du nucléaire sans ouvrir de débat parlementaire. Alors l’avis d’un simple citoyen comme moi sera-t-il pris en compte ? J’en doute.
22/12/2020 16:12
antinucléaire est du jargon du lobby de l'industrie de la fission de l'uranium-235, de la connerie, comme tout le reste du jargon de propagande ça ne veut strictement rien dire car il y a du mauvais nucléaire (industrie de la fission de l'uranium-235) et du bon nucléaire (énergie solaire due à la fusion des noyaux d'hydrogène en noyaux d'hélium)
Membres de la secte, vous n'avez pas le monopole du nucléaire.
Vous n'êtes que de petits apprentis sorciers de la fission de l'uranium-235 qui n'est qu'une technique de merde pour faire de l'électricité aux gens.
C'est ringard. Bien trop dangereux. Laissez les gens qui savent mieux faire que vous faire.
Anti-industrie de la fission de l'uranium-235, anti-Fukushima en France, anti-contamination radioactive généralisée de la France, anti-prolongation des vieilles guimbardes, anti-persistance dans l'erreur, anti-politique énergétique française, anti-crime contre l'humanité, anti-écomafa si vous voulez.
Par contre, si vous parlez de fusion de l'hydrogène en hélium dans le soleil, avec l'énergie solaire, la physique du globe, la photosynthèse, la biomasse, l'écosystème ou nucléosynthèse stellaire pour fabriquer les noyaux des atomes de carbone qui nous constituent, alors là merci à la nature pour sa physique nucléaire (là c'est la classe, rien à voir avec nos conneries d'apprentis sorciers d'ingénieur X-mine de mes deux au pouvoir).
Ce n'est pas un problème pronucléaire ou antinucléaire, c'est un problème d'échec très lourd et très ancien, à la fois industriel (industrie de la fission de l'uranium-235), moral, politique, financier de nature criminelle, qui plus est en bande organisée et organisée par l'État, menant la France tout droit à la catastrophe économique et sanitaire avec le risque d'accident ou d'attentat aggravé par la prolongation des vieilles centrales à cuve fatiguée (scandale d'État).
Mes pauvres gars, vous êtes complètement à côté de la plaque.
Errare humanum est perseverae diabolicum.
22/12/2020 15:12
Le bon sens paysan, on ne jette rien, on analyse et on décide.
Depuis quand, le bon sens doit-il être abandonné ? depuis quand le gâchis financier doit-il être la règle alors que notre pays se voit imposer une perte d’indépendance énergétique, ? depuis quand doit-on se voir imposer, par la commission européenne, un modèle qui nous conduit droit dans le mur.
La fermeture de Fessenheim, enjeu électoraliste, est un énorme gâchis industriel, social et financier qui fragilise notre réseau de distribution énergétique.
Bien sûr il faut être réaliste, seule, l’autorité de sûreté nucléaire dispose des compétences et des études techniques indispensables pour se prononcer sur la poursuite de l’exploitation des réacteurs de 900 MW au-delà de 40 ans en toute sûreté.
En accord avec le dernier rapport de l’Agence Internationale de l’énergie, nous devons poursuivre l’exploitation des réacteurs après intégration des modifications qui permettront d’optimiser le niveau de sûreté dont la France a toujours bénéficié.
22/12/2020 15:12
C'est vous le simpliste Spätzle, vous prêchez pour votre religion en mentant car elle est mauvaise et vous n'êtes pas libre : les prix de l'industrie de la fission de l'uranium-235 n'ont aucun sens car on ne compte pas les externalités négatives (payées par les générations futures). C'est du dumping énergétique (prix bas du kWh) qui entraîne le dumping environnemental, social et fiscal immoraux car conduisant à la destruction de l'écosystème donc de l'homme. Il faut redéfinir le progrès.
On ne rajeunit pas une cuve de 40 ans d'un coup de baguette magique.
Pas de bunkérisation pour les bazookas dans les piscines ni en cas de crash comme le 11 septembre 2001.
Donc prolonger est trop dangereux. Il y a bien mieux à faire.
On nous ne dit pas dit pas "Eolien", on dit juste : "30 ans de retard par rapport au renouvelable en Allemagne à cause de l'entêtement de la France dans l'industrie de l'uranium-235 qui est une impasse".
Vous critiquez le renouvelable, alors qu'on n'en sait rien de vos conneries puisqu'on n'a même pas commencé (vous êtes comme un gamin qui ne veut pas goûter aux épinards et qui finalement aime bien ça une fois qu'il a essayé). Ce ne sont que des paroles en l'air (des prières pour que ça ne se fasse jamais pour protéger son sacrosaint pré carré). Par contre vous ne dites pas la vérité, à savoir le coût écologique monstrueux de l'industrie de la fission de l'uranium-235 ni qui paie ce coût exorbitant, ni l'aléatoire de sa productivité pourtant bien connus (puisque ça fait plus de 40 ans qu'on pratique ça et le diesel, sachant qu'on n'a ni pétrole, ni uranium, ni charbon chez nous, mais que du renouvelable inexploité).
On affirme que la gestion des déchets nucléaires n'est pas maîtrisée puisque c'est une équation sans solution. Tout ce que le lobby nucléaire raconte là dessus est de la connerie intégrale et intégriste (cycle du combustible inexistant puisqu'on ne revient pas au point de départ, matières valorisables qui n'en sont pas comme le plutonium, et le mot déchet est usurpé puisqu'un déchet est ce qu'on est en droit d'abandonner dans la nature et l'on ne peut pas abandonner dans la nature des poisons dangereux pendant 100000 ans). Je déteste tout le jargon mensonger de votre lobby dans son intégralité, de A à Z, construit pendant 40 ans de mensonges de cette industrie mortifère. Ce n'est que de la propagande intégrale pour nous entuber (en escamotant le plutonium du stock de "déchets", au passage) et en nous prenant pour des gros cons (y-compris les scientifiques). C'est désagréable à la fin.
En Allemagne les centrales nucléaires sales ne sont pas remplacées par des centrales à charbon ou au lignite hyper polluantes pour compenser mais par des énergies renouvelables qui ne cessent de croitre dans tous les domaines : éolien off-shore et in-shore, solaire, biomasse, biogaz , intermittent et non intermittent, certes encore insuffisant. Et puis, la pollution au charbon, comme la pollution à l'uranium n'est pas encore interdite (il faudrait les interdire par la loi pour protéger l'écosystème donc l'humanité, sous-système de l'écosystème). Et les Allemands ont du charbon chez eux alors que nous n'avons pas d'uranium chez nous. Nous ne sommes donc pas les mieux placés pour critiquer. Nous nous entêtons dans l'industrie de la fission de l'uranium-235 hyper chère, hyper dangereuse et hyper sale, en cas d'accident ou d'attentat non assuré. Autrement dit, nous ne faisons que des conneries au lieu de faire des choses intelligentes. Interdire le sale et exploiter ce qu'on a chez nous en nous entraidant et pas en nous tirant dans les pattes. Raconter des conneries sur les allemands est la connerie préféré des intégristes pro-industrie de la fission de l'uranium-235, spécialité française (bravo les mecs, vous pouvez être fiers).
Quoiqu'on fasse, dites-vous, la demande d'énergie ira croissante, si on continue le dumping sur l'énergie (le kWh de pétrole brut est mille fois moins cher que le kWh de nourriture et le kWh électrique est basé sur le kWh de pétrole au cours mondial). C'est un cercle vicieux. En continuant le dumping sur l'énergie sale, on continuera le dumping environnemental, social et fiscal, autrement dit on continuera à s'enfermer dans notre cercle vicieux (et on y est depuis 1974 et toujours pas sortis et ça s'accélère). Il nous faut 3 déjà planètes terre et il en faudra 5 et bientôt 10. Ce n'est pas désirable, tout comme une catastrophe nucléaire en France.
La seule façon de faire, c'est d'augmenter le prix de la drogue (pas de raison que le kWh de pétrole soit 1000 fois moins cher que le kWh de nourriture puisque ça ne mène à rien. On l'a bien compris maintenant (il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis).
Le renouvelable n'est pas une technologie du futur, c'est une technologie ancienne et remise au goût du jour en France dans les années 1970 (Font-Romeu, Thémis, invention de la première centrale solaire thermodynamique, reprise par les espagnols, les américains mais abandonnée par les Français).
On est complètement plombés par une politique énergétique de merde avec notre putain de nucléaire qui repousse toujours plus le développement indispensable du renouvelable en France, mais il se développe vite et bien, beaucoup mieux l'industrie de la fission de l'uranium-235 qui est de la daube comme le diesel, en bien pire.
On court beaucoup plus de risques à prolonger nos vieille guimbardes qu'à les remplacer par du renouvelable piloté par du renouvelable.
Le coût de l'inaction est incommensurable (quand on ne se soigne pas du cancer quand il est encore temps, alors, après, c'est trop tard).
22/12/2020 14:12
Oui à la prolongation des réacteurs de 900 MW au delà de 40 ans
Pourquoi une nouvelle consultation du public ?
Cette consultation intervient alors que le dispositif de concertation a commencé en 2014 et que la première consultation du public a eu lieu en 2016 ! Sept ans de concertation/consultation, avant cinq ans de travaux pour chaque réacteur (étalés jusqu’en 2034, en fonction de l’âge des réacteurs), cela commence à faire bien trop !! Après une telle opération j’ose espérer qu’on ne recommencera pas à l’identique pour le passage à 50 ans !
Et comme souvent en pareil cas les antinucléaires sont les premiers consultés, voire invités à ces dispositifs. Heureusement que l’ANCCLI a rééquilibré un peu le dialogue en demandant que lors des réunions tous les points de vue puissent s’exprimer ! Une consultation directe par voie informatique a au moins le mérite de faire justement s’exprimer tous les points de vue. Et cela a été le cas lors de la première consultation de 2016. Et ce n’est pas fini puisque le cas de chaque réacteur fera encore l’objet d’une consultation du public ! Je crois qu’on touche là les limites de la transparence et mon avis est qu’il suffirait bien que le public soit simplement informé (au stade où nous sommes, c’est-à-dire après l’enquête publique initiales sur l’expression des principales attentes) de l’avis de l’ASN et des éléments sur lesquels elle s’appuie pour formuler cet avis final. Le vrai dialogue est d’un tel niveau de technicité que beaucoup se résument à rappeler (car ils se sont maintes fois exprimés !) qu’ils veulent ou non du nucléaire.
La difficulté de l’exercice (à ce stade encore une fois) est telle que nous devons faire confiance en l’ASN, en son appui technique l’IRSN, et en l’exploitant EDF qui a construit et fait des propositions.
Le comportement injurieux de certains antinucléaires sur ce site devrait pousser les organisateurs à exercer une vraie régulation. C’est complètement anormal de se faire injurier de la sorte.
Pourquoi une prolongation des réacteurs au-delà de 40 ans ?
Si elle était mal ou pas du tout justifiée, si elle avait des alternatives sérieuses, on pourrait légitimement se poser la question. Mais la réalité est là : appuyé sur des bases scientifiques sérieuses, sur les lois de la physique et de l’économie, l’argument du caractère indispensable du nucléaire pour faire face au problème climatique est de plus en plus partagé par de nombreuses instances nationales et internationales. Et la prolongation du fonctionnement des réacteurs existants, en toute sûreté donc en consentant des investissements importants, est la première des solutions la plus économique. Nous entendons souvent les antinucléaires crier publiquement devant le coût de ces investissements… sans les rapporter au nombre de kilowattheures qui seront produits et en oubliant que l’investissement initial est déjà amorti à 40 ans. Histoire de faire peur… Mais les mêmes se gardent bien de dire combien coûte le programme éolien et solaire (investissements pour les opérateurs plus les subventions et aides publiques) ramené au kWh produit… Il n’y a pas photo et ce n’est pas pour rien qu’EDF propose ce programme. Il ne faut pas oublier de dire que la valeur du kWh produit se mesure aussi en fonction des services qu’il procure : le kWh nucléaire est modulable (il sait s’adapter à la demande d’électricité, cela arrive couramment) alors que le kWh éolien ou solaire est intermittent et doit donc être complété par des moyens complémentaires eux-mêmes modulables (nucléaires, hydrauliques, stockage) et décarbonés (pas question de relancer les centrales au gaz au passage).
Pour moi la réponse à la question rappelée en début de paragraphe est donc : oui la prolongation des centrales existantes est une bonne solution sur le plan environnemental (électricité décarbonée) et économique. Elle repose toutefois sur une condition : assurer a minima le même niveau de sûreté que pendant les 40 premières années, voire un niveau de sûreté renforcé pour tenir compte de l’expérience acquise et s’inspirer des exigences retenues pour l’EPR. D’ailleurs d’autres pays à forte compétence nucléaire (dont les USA) ne s’y sont pas trompé et ont donné l’autorisation pour 20 ans de plus à des centrales quasi identiques aux nôtres (sans leur demander autant de modifications).
Sur le fond
L’ASN considère que les propositions d’EDF répondent bien aux exigences fixées en début de processus ; elle a formulé des demandes complémentaires qui seront satisfaites par EDF. Il en résulte une amélioration significative de la sûreté qui se rapproche de celle retenue pour l’EPR. Que dire de plus ?
J’espère que l’ASN et EDF communiqueront largement auprès du grand public pour répondre à la formule désormais largement répandue (et même utilisée par des ministres…) de centrales plus risquées car vieillissantes.
Cette amélioration de la sûreté m’inspire trois commentaires :
- Les améliorations visent en partie à diminuer les rejets en cas d’accident, donc le risque de devoir prendre des mesures de protection des populations. Pourquoi alors augmenter maintenant le périmètre des PPI ?! C’est totalement incohérent et incompréhensible pour le grand public.
- Le volume de travaux à réaliser devient considérable (5 fois plus qu’en troisième visite décennale selon EDF), les modifications sont nombreuses. Un tel programme engendre par nature un risque. Je trouve que la balance bénéfice-risque devrait être faite avant de prescrire un tel programme. La sureté en exploitation repose sur les hommes, et les hommes agissent de façon plus efficace dans un environnement stable.
- Parmi les démonstrations attendues par l’ASN il y a des essais d’ensemble. Je pense qu’il faudrait un peu de prudence car l’organisation d’essais complexes sur une installation en exploitation n’est pas dénuée de risques.
Parmi les thématiques de ce dossier, il y a le renforcement de la réponse aux dérèglements climatiques déjà observés, en particulier les températures élevées en été. Ceci me semble justifié pour les centrales nucléaires et je serais rassuré de savoir qu’il en est de même pour toutes les installations industrielles à risque et pour les grandes infrastructures. J’ai de sérieux doutes… En tout cas il n’y a pas la même obligation de concertation et de transparence !!
Sommaire de la consultation
- Introduction
- Modalités de la consultation
- Documents à consulter
- Les contributions des internautes
- Que permet le module de participation du public ?
- Quelles sont ses fonctionnalités ?
- Pourquoi créer un compte sur le site de l'ASNR ?
- Confidentialité
Date de la dernière mise à jour : 25/02/2021