Consultation du public sur les conditions de la poursuite de fonctionnement des réacteurs de 900 MWe au-delà de 40 ans
19/01/2021 10:01
Exploitation réacteurs 900MW après 40 ans
OUI très fort à la prolongation.
L'énergie nucléaire est la seule capable de satisfaire les besoins actuels et futurs en énergie électrique, besoins qui grandiront obligatoirement avec l'augmentation de la population et l'abandon progressif des énergies fossiles, nonobstant tous les efforts d'optimisation des utilisations.
Depuis leur existence en France, preuve a été faite de la fiabilité des centrales nucléaires, grâce à l'organisation et à ma vigilance de l'autorité de sûreté nucléaire française, du professionnalisme des concepteurs et exploitants, malgré les dénigrements infondés de minorités.
Enfin, c'est la seule énergie abondante décarbonée et renouvelable.
19/01/2021 09:01
Oui à la poursuite du fonctionnement après 40 ans
Je suis favorable à la poursuite du fonctionnement des réacteurs 900 MW après leur 40ème anniversaire.
L'ASN et l'IRSN, qu'on ne saurait taxer de partial, ont travaillé avec EDF sur la poursuite du fonctionnement durant les années qui viennent de s'écouler pour aboutir au programme de mise à niveau proposé.
Le domaine nucléaire de par le danger (et non pas le risque) mais surtout à cause des peurs et fantasmes qu'il génère est l'Industrie qui subit le plus de contrôle en France. Des contrôles rigoureux, totalement indépendants et qui s'imposent à l'exploitant plus que partout ailleurs.
Les travaux proposés seront suivis avec le même savoir-faire qui fait de l'ASN, l'une des autorités de sûreté les plus précautionneuses et exigeantes du monde. Ces mises à niveau permettront de continuer à disposer de cette énergie si vitale à notre mode de vie, si nécessaire à notre confort.
Notre parc nucléaire est une chance pour notre pays, la peur qu'il inspire peut être diminué en se documentant. Il est facile pour notre confort intellectuel de ne chercher que l'information qui corrobore notre avis initial.
Mais au-delà des ONG qui militent avec des arguments partiellement fallacieux car ne gardant que les faits les intéressants, il existe des sites pro-nucléaires ou neutres fournissant les compléments indispensables pour retrouver une vision d'ensemble et se faire une opinion qui dépasse l'argumentation de comptoir.
19/01/2021 08:01
Avis défavorable
Avis défavorable : la raison : nous n’avons plus les moyens de prendre des risques d’une telle ampleur, et on doit accepter que majoritairement, nul n’a envie d’hypothéquer l’avenir de la sorte. L’argument avancé de la production d’électricité décarbonnée est faible, nos impacts franco-français sur la diminution des émissions de carbone à l’échelle mondiale grâce à notre production électronucléaire est en réalité anecdotique. Certes, on pourra rappeler la métaphore de l’effort du colibri qui apporte sa goutte d’eau sur l’incendie, mais c’est bien l’intelligence du volatile qui est à l’œuvre pour ne pas s’approcher du feu jusqu’à s’en brûler les ailes.
On se félicitera de la manière dont l'Etat s'y prend avec des gants pour mener sa politique énergétique à l'aide de cette « consultation » qui a effectivement le mérite d'exister, de donner de l'information et donc d’offrir un pass-démocratique au processus de décision. A cet égard malgré tout, si l’on doit mettre dans la balance le fait qu’il s’agit aussi de notre contribution à des problématiques énergétique et carbo-émissive mondiales, ne devrait-on pas inviter à cette consultation nos voisins géographiques immédiats, voire plus lointains, maintenant que le retour d’expérience est admis : les radiations accidentelles ne s’arrêtent pas aux frontières de l’émetteur et encore moins à celles d’un pays qui voudrait bien dire le contraire.
Cependant, on ne peut que s’inquiéter au vu du résultat de décisions antérieures issues des mêmes cercles de polis techniciens, d’écoliers mineurs, qui conduisent, à ce jour, au constat d’une filière désarmée, à la peine pour les actions de maintenance, à la rue pour les constructions nouvelles d’EPR. L’industrie du nucléaire en France n’a plus les appuis qu’elle s’était constitués pour une réussite somme toute plutôt remarquable jusqu’à maintenant. Mais les gestionnaires et les juristes ont remplacé la réalité technique par des escomptes scripturaux, rappelant cruellement que le mieux (ici, pour les actionnaires) est souvent l’ennemi du bien (ici public). Si les bancs des prochains promus de l’Institut de Recherche sur la Sureté Nucléaire fourniront bien des outils de blindage, ce sera pour la rédaction des contrats de sous-traitance et d’engagement de responsabilité d’acteurs incertains ou peu fiables. Ils n’assureront pas, c’est certain, la solidité des aciers ni la reprise en main des savoir-faire de construction. Si la décision aboutissait à l’arrêt des réacteurs, on pourrait s’enorgueillir d’avoir créé cette cohorte de juristes et d’experts en études pour compenser la perte de nos savoir-faire. Mais las, et dans ce contexte de fragilité matérielle, nous ne pouvons qu’espérer qu’EDF, suivant les recommandations éclairées de l'agence de sureté, trouvera les ressources de terrain.
D’ailleurs, faut-il espérer remonter une filière franco-nucléaire ? N’y a-t-il pas là un coup à s’enfoncer dans un trou technologique quand les à peu près partout ailleurs d’autres acteurs optent massivement sur les technologies des énergies renouvelables ? Le fait est que le contexte mondial évolue majoritairement sans envisager le recours à l’énergie de l’atome. On peut reconnaitre à ces pays-là qu’ils intègrent sans forcément le dire la prise en compte de problèmes de prolifération et de pollution des matières nucléaires à long terme. La négligence de nos décideurs concernant les aspects géopolitiques n’est pas le moindre des points négatifs liés à la poursuite de l’obsession nucléaire dans notre petit périmètre national.
Cette histoire de prolongation de l'usage des réacteurs de centrales nucléaires avec une maîtrise annoncée de leur usure se fait dans la foi planétaire en la technoscience, plus matérielle mais aussi hasardeuse que toutes les fois dans des Dieux qui ont existé ou qui tentent de subsister encore. Pour les porteurs de la bonne parole, la technoscience offre un matériel pédagogique contre les « peurs infondées » ! Les habitants des environs de Tchernobyl et de Fukushima ont-ils eu droit à des cours gratuits ? Et le crédo est : Si l’on doit parier sur les risques, on ne s’en sort pas. C’est vrai, les croyances ont toutes leur St Barthélémy, leurs exactions, leurs massacres des innocents et autres dj….. . Sur ce plan-là, il faut constater comme la présentation de cette obligation à choisir la prolongation de la durée de vie des réacteurs ressemble à une abdication diabolique, la poursuite du mal nous apportant, c’est promis, le salut.
Le repli contraint par l’argumentaire du court terme, c’est-à-dire « on ne peut pas se passer de nos centrales à l’heure actuelle sauf à augmenter nos émissions de CO2 … bla bla » corrélé à l’imposition économique (ce serait trop cher que de faire autrement) doit être relativisé depuis que l’on a la preuve très récente (cf COVID) qu’il est possible de pulvériser les dettes dès lors qu’un enjeu supra national est mondialement ressenti. Certes, la perspective d’une fin de pandémie mortelle à courte échéance peut laisser penser qu’un retour à la normale va s’opérer avec plus de rigueur économique durant une période indéterminée de remboursement par l‘impôts ou, à dire vrai, on ne sait quel modus operandi. Mais l’effort d’imagination n’est plus très important à faire pour continuer d’ouvrir les crédits pour un motif beaucoup plus impérieux, celui de sauver l’environnement et le genre humain qui s’y trouve.
Dans l’immédiat, la décision étant prise et laissant penser qu’il n’y a pas d’alternative®, il n’y a donc rien à attendre de cette consultation. Je suggère que les commentaires pourront peut-être un jour présenter de l'intérêt dans la perspective de recherches historiques, dans quelques siècles... ou avant, si ça pète et qu'on s'en sort!
Car à titre individuel, même expert en matériaux, en soudage, en sécurité, en rayonnements, peut-on espérer peser dans la décision ? Certes non. Pourtant à ce jour, tant de commentaires démontrent que la position des décideurs est difficile à tenir quant au choix déraisonnable qu’ils s’apprêtent à opérer. La mise en place de consultations publiques n’a pas encore eu l’effet d’accepter que l’avis populaire à tendance majoritaire l’emporte en dehors de son expression par la force ou le déploiement de manifestations grandioses.
Alors je fais le choix de rester dans l’idée de tracer dans les registres pour la postérité !
C’est la caractéristique de cet anthropocène-là que de s’en remettre à la foi dans les technosciences, de parier gagnant quoi qu’il advienne. Et pourtant parmi les décideurs, lequel pourrait prétendre qu’il est insensible à la tournure que prennent les évènements climatiques et le devenir de la bio-diversité ? Qu’il ne pense pas à l’avenir de ses enfants, lequel apparait maintenant si peu désirable ? Qu’en réalité, il n’a rien moins d’ambition que de rentrer dans « l’ère de l’Humain » ? Mais le décideur rallié à ses pairs continue de pousser les manettes pour satisfaire à l’objectif insensé de croissance de la demande énergétique. Comme le conducteur d’un véhicule qui ne respecte pas la mécanique et qui fait hurler son moteur en surrégime pour voir son compte-tour continuer d’augmenter au lieu de changer de vitesse afin de reposer le mécanisme, nous voilà à décider de pousser le régime énergivore au lieu de passer de manière volontariste et sans retenue à l’usage tranquillisant des énergies renouvelables. Certes pour un régime moins flatteur pour notre compte-PIB, mais autrement plus rassurant pour notre longévité. On peut ne pas remettre en question la compétence des décideurs, mais l’urgence à changer de direction pose plus fondamentalement la question de leur légitimité à engager le pronostic d’avenir d’une grande part des populations. La solennité d’un référendum très large devrait être recherchée en lieu et place d’une consultation esthétique publiquement discrète, disons-le.
Bien qu’il faille absolument s’extraire des contraintes de l’économie punitive qui sert de dénominateur commun à toute décision de politique, ici énergétique et environnementale, même dans le raisonnement qui s’apprend encore sur les bancs des meilleures universités selon le classement de Shanghai, s’il est un euro à investir (non pas à dépenser) dans les énergies du futur, est-ce qu’il ne vaudrait-il pas mieux orienter le choix vers des solutions qui exposent à moindre frais de sécurité, de maintenance, de démantèlement, d’assurances et par la même occasion à moindre risque humain ?
Ne sommes-nous pas rendus à un âge où, de par nos connaissances de l’univers, de notre terre, de nos sociétés et de nos corps, de nos comportements, nous réalisons les limites infranchissables au-delà desquelles l’inconnu du bouleversement anthropologique engagé est la règle. Et que pourtant fort de notre intelligence croissante, nous n’acceptons plus les risques que nous savons ainsi apprécier, mesurer, car nous avons acquis combien le bonheur des relations apaisées nous fait grandir et comment il résonne avec nos fondements biologiques. Nous savons que nous avons la capacité nécessaire et suffisante à satisfaire nos besoins existentiels mais malgré cela, nous décidons d’hypothéquer l’acquis afin d’avancer avec une évolution incertaine mais surtout pas vraiment désirable. Car l’Homme augmenté avec toutes ses prothèses en osmose avec les robots, ce n’est pas vraiment d’un onirisme réjouissant.
Puisque l’on peine à trouver les voies de la dis-rupture malgré les incantations de nos décideurs du moment, puissions-nous convaincre ceux-ci de changer de référentiel de valeurs en intégrant leur intime conviction, en se respectant, plutôt qu’en faisant preuve d’un suivisme facile, très conservateur au sens politique sous un air de progressisme énucléé mais assurément sans avenir désirable.
La question qui demeurera : Jusqu’à quel seuil d’intolérance des peuples à la dictature technoscientifique les décideurs sont-ils capables de résister en regardant droit dans les yeux leur progéniture, les glaciers fondre et le niveau des océans monté ?
Et que retiendra la postérité du combat épistolaire, mais vain, que se livrent Emmanuel et Spätzle depuis des semaines sur l’espace de consultation à l’en polluer véritablement par exemple ? suggestion : il n’y avait pas de modérateur à cette consultation, c’est certainement qu’il s’agit d’une consultation non pas sans intérêt, mais très vraisemblablement sans enjeu.
19/01/2021 00:01
Oui, il faut prolonger l'exploitation des centrales nucléaires au-delà de 40 ans.
Les centrales ont été amorties après 30 ans de fonctionnement. Nous disposons d'installations indispensables vu l'état actuel des moyens de production et de la demande du réseau. Les normes carbones sont respectées bien en-deçà des limites. Pourquoi vouloir détruire ce joyau pour des considération partisane d'une écologie purement politique.
Le travail effectué par EDF et les différents acteurs de haut niveau vont relever la sûreté de ces centrales au niveau de nouvelles centrales EPR.
J'ai entièrement confiance à cette ingénierie de haut niveau validée par l'ASN.
Par contre, certains points me paraissent encore fragiles et s'apparentent plus à de la négligence qu'à de la technicité. En effet, il me paraît intolérable que certaines parties des installations hautement importantes pour la sûreté aient été négligées au cours des années malgré les remarques suite aux inspections de l'ASN. Ainsi les refroidissements des diésels ne rouillent pas le jour du 30 ème anniversaire de la centrale.... c'est un processus qui a été observé depuis des années et soigné par des rustines dans l'urgence. Pourtant, un pot de peinture, un coup de pinceau et un peu de culture "hors procédures" aurait permis d'enrayer la dégradation. Il en va de même pour les circuits d'eau brut, les stations de pompage, des fuites d'eau jamais réparées définitivement, des fuites d'huiles etc.... Le manque de propreté et la négligence sapent tous les efforts investis pour augmenter la confiance indispensable à la démonstration d'un haut niveau de sûreté.
D'autre part des écarts au référentiel de conception sont détectés après le deuxième, puis le troisième examen de conformité. Ces écarts auraient dû être détectés dès le premier examen, voir un reliquat justifié au deuxième examen, mais des écarts au troisième examen de conformité permettent de s'interroger sur l'exhaustivité des contrôles ou de leur réalisation effective.
Pour conclure, un changement de mentalité à tout niveau serait nécessaire pour ne pas laisser pourrir les installations. Cet état de fait commence par une politique visant à réduire les frais de maintenance secondaire, ce qui induit un certain découragement en chaîne à s'investir dans une démarche de propreté. Un référentiel sur ce sujet n'existe pas, le référentiel étant l'habitude d'un état de laxisme ambiant. Ce n'est peut-être pas que le lampiste qui en est responsable.
18/01/2021 22:01
Oui, faute de mieux , à la prolongation des reacteurs 900MW au dela de 40 ans
Oui, car il faut garder des compétences opérationnelles , et tant qu'on a des centrales nucléaires actives, il faut avoir les ressources et compétences pour les maintenir. Ce n'est pas en arrêtant qu'on progresse...
Faute de mieux, car on devrait déjà avoir des nouvelles centrales ou réacteurs en ordre de marche pour reprendre les flux des anciennes.
Les nouvelles normes sont beaucoup plus sécuritaires que les anciennes, et le dossier de Flamanville montre que les compétences associées ne sont pas ou plus là. Il faut poursuivre et les renforcer par d'autres projets.
Nous devons apprendre à démonter proprement les centrales, Fessenheim est un pilote, il faut aussi acquérir ces compétences de démantellement .
On ne peut pas compter à court terme, même moyen terme sur les energies renouvelables.... on ne peut pas reduire à l'infini la consommation sans mettre en jeu la survie..imaginons une semaine de coupure de secteur.. toute la société s'écroule...
Je crois à la filière hydrogène, à la fusion froide ou LENR , pas trop à la fusion chaude ( Iter ) , à une échéance de plusieurs années .. en attendant, on fait quoi ?
Climat, CO2 comment alimenter là , maintenant, les voitures et les pompes à chaleur .. l'exemple de l'Allemagne est catastrophique en terme d'émission CO2.
je vois le discours actuel comme très contradictoire... pour essayer de faire plaisir à tout le monde.
En résumé, je dirais qu'arreter nos centrales dans les conditions actuelles serait catastrophique... L'avenir de l'humanité sera assuré par l'énergie de la matière( Surtout ne pas prononcer le mot de nucléaire..)
Je vois dans le futur un nucléaire beaucoup plus subtil que de violemment casser de l'uranium ou du plutonium: il y a dans la matière une quantité d'énergie infinie à notre échelle.. apprenons à l'exploiter.
C'est dommage que l'Europe ait déjà pris tellement de retard sur ces projets..(Fusion ou LENR , plasmas..) . les solutions vont venir des US, du Japon, de la Chine..mais il n'est jamais trop tard...
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
18/01/2021 20:01
encore trop de zones d'ombre
Merci pour cette consultation publique. La question nucléaire dépasse la compétence technique et il s’agit d’un sujet de société déterminant qui nécessite l’implication de tous. J’apporte ici ma contribution sur les risques techniques qui me semble t il posent question et ne sont pas ou insuffisamment traité par le projet de décision. Dans la même continuité j’attends que vous rendiez compte des résultats de cette consultation et de quelle manière vous les avez pris en compte.
Risque lié au vieillissement des centrales
La cuve (initialement prévu pour 30 ans ?) qui est au cœur des réactions nucléaires fait l’objet d’un vieillissement lié au radiations. Quelles mesures sont prises pour évaluer aujourd’hui la tenue des matériaux en conditions sévères ? Comment peut on être rassuré sur ce point alors que certaines cuves présentent déjà des défauts connu que l’on se contente de surveiller tous les 10 ans ? Le projet de mise à niveau ne parle pas d’attention particulière sur ce point crucial
Evolution des risques nucléaires
Dérèglement climatique
Les situations climatiques sont plus sévères que 30 ans en arrière. Sécheresses, canicules, tempêtes, crus etc. Les centrales nucléaires sont intrinsèquement sensibles aux conditions environnementales. Quelles études permettent d’envisager de nouveaux scénario ? Par exemple la centrale du Bugey n’est pas prévue pour résister aux conséquences d’une rupture de barrage. Il est donc important d’imposer les travaux en rapport. Que fait on en cas de sécheresse pour refroidir un réacteur quand la ressource en eau vient à manquer ? Idem pour le risque sismique etc.
Terrorisme
L’actualité nous montre que le risque terroriste est de plus en plus présent. Les centrales sont des cibles privilégiées mais elles ne sont toujours pas protégés d’une attaque aérienne (avion de ligne, pas un petit avion de tourisme) au Bugey en particulier qui est proche de l’aéroport international Saint-Exupéry. Il est important de considérer tous les modes d’attaque terroristes possibles et d’imposer des mesures de protections face à cette menace.
Processus conduisant à l’autorisation d’exploitation
Le planning des interventions s’étale sur toute la durée de la nouvelle période d’exploitation de 10 ans. Même si on peut supposer que les mesures les plus urgentes sont imposées en priorité, cela signifie que d’autres mesures de mise à niveau sont considérées inutiles vis à vis du risque lié à la période. Dans ce cas pourquoi les prescrire ? Il est souhaitable d’imposer un calendrier de mise à niveau sur une période bien plus contrainte. Le bon sens voudrait une reprise de l’activité après mise à niveau.
Capacité de l’exploitant à effectuer les mises à niveau
EDF a montré sont incapacité à effectuer les mises à niveau dans les délais avec de multiples rappels à l’ordre. Les travaux de mise à niveau doivent être budgétisés et un audit technique et financier de l’exploitant doit être effectué pour s’assurer de la faisabilité.
Le recours à la sous traitance sur ces points stratégiques doit être proscrit car l’expérience montre que c’est une cause importante d’augmentation du risque (dilution de la chaîne de responsabilité, personnel sous qualifié...)
Protection des populations
Quelles mesures sont prises pour protéger la population en cas de catastrophe lorsque la centrale est aux portes d’une ville de 500000 habitants ? Les plans de préventions des villes alentours excluent d’office le risque nucléaire, à l’évidence car il est trop lourd à assumer. Il est donc nécessaire de prévoir cette éventualité en se donnant les moyens d’y faire face, d’un point de vue logistique d’abord et financier ensuite
Sommaire de la consultation
- Introduction
- Modalités de la consultation
- Documents à consulter
- Les contributions des internautes
- Que permet le module de participation du public ?
- Quelles sont ses fonctionnalités ?
- Pourquoi créer un compte sur le site de l'ASNR ?
- Confidentialité
Date de la dernière mise à jour : 25/02/2021