Avis de consultation du public sur la demande d’autorisation de mise en service du réacteur EPR de Flamanville (INB 167)

Un réacteur nucléaire en service de plus, ce sont des rejets chimiques et radiologiques dans l’environnement en plus et ça c’est NON ! Il faut arrêter tout rejet de substances dans l’air, dans l’eau et dans les sols.



L’EPR génère déjà des rejets de gaz à effet de serre plus puissants que le CO2 et le méthane par les fuites de liquides de refroidissement : c’est NON ! Tout rejet de gaz à effet de serre est de trop pour le climat.



L’EPR n’est pas encore en service que déjà il dépasse les limites autorisées ! C’est arrivé en 2019, 2021 et 2023 (voir notre rubrique Accidents).



L’EPR va pomper l’eau de la mer. Il massacre la faune et la flore marine qui se fait happer dans les prises d’eau : c’est NON ! Protégeons toute la biodiversité !



L’EPR va rejeter de l’eau très chaude dans la mer : c’est NON ! Il faut préserver la ressource en eau et sa biodiversité !



L’EPR rejette de la radioactivité en mer qui est absorbée par les êtres vivants et devient une part de leur organisme. C’est une forme de pollution pernicieuse et définitive du vivant (voir l’exemple des plantes aquatiques à Golfech).



Les êtres aquatiques qui sont contaminés par la radioactivité rejetée en mer par l’EPR peuvent ensuite être consommés par l’homme et on ne connaît pas assez les conséquences de cette contamination de la chaîne anthropique.



Ce réacteur nucléaire n’est pas adapté aux changements climatiques et il ne pourra jamais l’être.



Les études faites pour mesurer les impacts sur l’environnement de ce réacteur sont trop anciennes et obsolètes.



Il n’y a pas l’avis de l’Autorité environnementale dans le dossier. Or, cet avis est obligatoire. Cette pièce a été rajoutée au dossier soumis à consultation du public début 2024



EDF doit réduire davantage les prélèvements d’eau et les rejets dans l’environnement de son réacteur EPR.



Il y a eu des les fuites radioactives sur l’EPR de Taishan (Chine) qui n’avaient pas été anticipées. Ce n’est pas possible d’affirmer à 100% qu’il n’y en aura pas sur cet EPR-là.



L’EPR va induire plus de transports de matières dangereuses et de pollutions : c’est NON !

La situation entourant le réacteur EPR de Flamanville suscite des inquiétudes majeures en raison de problèmes de fabrication, de retards significatifs, de coûts explosifs et de lacunes en matière de sécurité. Le manque de sérieux apparent du fabricant souligne l'urgence d'une vigilance accrue et de mesures de protection renforcées. Les anomalies dans la cuve nécessitent des inspections minutieuses et des normes de sécurité plus strictes, tandis que les surcoûts financiers remettent en question la gestion des ressources. Il est essentiel d'adopter une approche transparente, de restaurer la confiance du public et de prendre des mesures pour assurer la sécurité et la viabilité du projet.



Dans ce contexte, la nécessité impérative de construire une nouvelle cuve conforme avant toute activation est incontestable pour garantir la sécurité à long terme de ce réacteur nucléaire. Face aux multiples problèmes, coûts exponentiels et lacunes de sécurité, une vigilance maximale et des mesures de protection renforcées sont nécessaires pour remédier aux lacunes identifiées et garantir la sûreté du projet.

Rappelons que le constructeur a tenté de dissimuler des risques à l'ASN, face à cela, l'on ne peut en rien faire confiance au gestionnaire de la centrale.



En conclusion, la dissimulation de risques par le fabricant souligne la nécessité de mesures de protection renforcées, notamment des inspections approfondies, ainsi que des inspections surprises et l'établissement de normes rigoureuses. Le démarrage temporaire de l'EPR sans une nouvelle cuve conforme semble risqué, mais pas indépassable. La priorité doit être donnée à des actions visant à remédier aux déficiences identifiées et à garantir la sécurité à long terme de ce projet nucléaire. La vigilance et les mesures de protection renforcées sont indispensables, car l'ASN a la capacité de bloquer le démarrage du réacteur si les conditions requises ne sont pas remplies, incitant ainsi le constructeur à agir avec responsabilité vis-à-vis de l'ASN.

Un réacteur nucléaire en service de plus, ce sont des rejets chimiques et radiologiques dans l’environnement en plus et ça c’est NON ! Il faut arrêter tout rejet de substances dans l’air, dans l’eau et dans les sols.



L’EPR génère déjà des rejets de gaz à effet de serre plus puissants que le CO2 et le méthane par les fuites de liquides de refroidissement : c’est NON ! Tout rejet de gaz à effet de serre est de trop pour le climat.



L’EPR n’est pas encore en service que déjà il dépasse les limites autorisées ! C’est arrivé en 2019, 2021 et 2023 (voir notre rubrique Accidents).



L’EPR va pomper l’eau de la mer. Il massacre la faune et la flore marine qui se fait happer dans les prises d’eau : c’est NON ! Protégeons toute la biodiversité !



L’EPR va rejeter de l’eau très chaude dans la mer : c’est NON ! Il faut préserver la ressource en eau et sa biodiversité !



L’EPR rejette de la radioactivité en mer qui est absorbée par les êtres vivants et devient une part de leur organisme. C’est une forme de pollution pernicieuse et définitive du vivant (voir l’exemple des plantes aquatiques à Golfech).



Les êtres aquatiques qui sont contaminés par la radioactivité rejetée en mer par l’EPR peuvent ensuite être consommés par l’homme et on ne connaît pas assez les conséquences de cette contamination de la chaîne anthropique.



Ce réacteur nucléaire n’est pas adapté aux changements climatiques et il ne pourra jamais l’être.



Les études faites pour mesurer les impacts sur l’environnement de ce réacteur sont trop anciennes et obsolètes.



Il n’y a pas l’avis de l’Autorité environnementale dans le dossier. Or, cet avis est obligatoire. Cette pièce a été rajoutée au dossier soumis à consultation du public début 2024



EDF doit réduire davantage les prélèvements d’eau et les rejets dans l’environnement de son réacteur EPR.



Il y a eu des les fuites radioactives sur l’EPR de Taishan (Chine) qui n’avaient pas été anticipées. Ce n’est pas possible d’affirmer à 100% qu’il n’y en aura pas sur cet EPR-là.



L’EPR va induire plus de transports de matières dangereuses et de pollutions : c’est NON !

Vous voulez parler d’argent ?



Le réacteur a déjà coûté trop cher (près de 19 milliards selon la Cour des comptes) pour que l’électricité produite puisse être un jour rentable, autant arrêter les frais maintenant plutôt que de dépenser encore plus sur ce projet !



Tout ce qui est investi dans ce réacteur ne le sera pas dans les énergies renouvelables.



Tout l’argent investi dans ce réacteur nucléaire aurait été plus utile investi dans l’isolement des logements. Il faut arrêter de dépenser pour lui et mettre les sous ailleurs !



Le réacteur EPR n’est pas dimensionné pour faire face aux aléas climatiques (inondations, sécheresse, températures extrêmes, orages, tornades, neige etc.) à venir et ça coûtera beaucoup trop cher de le modifier sans que ce soit possible rapidement ni efficace durablement.



Le chantier a tellement de retard que plusieurs pièces et composants ont déjà vieilli avant même d’avoir servi. Il va falloir les remplacer ce qui va rallonger encore la facture déjà bien trop salée de cette machine.



La cuve a été mal faite et devra être suivie de près pendant son fonctionnement ce qui va générer des doses de radiations et des frais supplémentaires.



Le couvercle de la cuve devra être remplacé après seulement un cycle de fonctionnement (12 à 18 mois), ce qui va coûter très cher en argent, en dose de rayonnement pour les travailleurs et va créer un déchet radioactif supplémentaire à gérer.



Les fissures apparues sur l’EPR finlandais peuvent apparaître sur l’EPR de Flamanville, il va falloir plus de contrôles et plus d’arrêts, ce qui va coûter trop cher.



La corrosion sous contrainte est encore mal comprise, les causes profondes restent à identifier, c’est l’IRSN qui le dit. L’apparition de corrosion sous contrainte ne peut pas être écartée sur ce réacteur. Les contrôles vont coûter trop cher.



L’ASN dit elle-même qu’elle n’a pas assez de moyens financiers et ne peut pas tout contrôler. Elle est obligée de croire EDF sur parole. L’ASN ne peut pas garantir qu’il n’y aura pas de problèmes passés inaperçus.



EDF et ses fournisseurs ont déjà fraudé sur plusieurs équipements de ce réacteur nucléaire et sur d’autres. On ne peut pas leur faire confiance et l’ASN n’a pas assez de moyen pour tout contrôler.



L’IRSN le dit dans son rapport 2022 : les soupapes du pressuriseur vont nécessiter un suivi en service qui va être couteux en temps, en argent et en dose de rayonnement !

Vous voulez parler du mix énergétique français ?



Il faut produire de l’électricité autrement que par des réacteurs nucléaires. Il faut de petites installations de renouvelables qui soient locales et plus résilientes.



Comme le montrent de nombreux scenarios, y compris du gouvernement (ADEME), les renouvelables peuvent suffire, la mise en service de ce réacteur nucléaire n’est pas nécessaire.



La Manche n’a pas besoin de l’électricité de ce réacteur nucléaire.

Vous voulez parler du dossier en lui-même ?



Le dossier est trop volumineux et technique pour qu’on puisse se faire un avis.



Si on veut que le public donne son avis sur le dossier, il faut qu’il puisse comprendre les enjeux du projet : on veut une présentation détaillée, orale et visuelle de chaque pièce.



On veut des avis d’experts indépendants, pas uniquement des études faites par EDF : il y a conflit d’intérêt !



Même l’ASN trouve le dossier particulièrement complexe et a été obligée de prolonger la durée de son instruction.



Le dossier est caviardé, trop d’informations sont masquées, il est impossible de l’analyser et d’en saisir le contenu.



Sachant que la construction des EPR2 est conditionnée à la mise en service de l’EPR, on ne peut pas avoir confiance dans l’objectivité du dossier d’EDF, même relu par l’ASN.

Vous voulez parler des risques ?



La filière nucléaire a perdu en compétences, le niveau de qualité de la construction et des études est insuffisant. Comment faire tourner une machine nucléaire qu’on n’a pas su construire ?



Il n’y a toujours pas de solution pour les déchets nucléaires alors aucun nouveau réacteur ne doit être mis en service (les enfouir sous le tapis de la Terre n’est pas ce qu’on appelle une solution mais un cache-misère) !



Le contrôle des réacteurs nucléaires repose sur un système déclaratif. Qui peut encore faire confiance à EDF et à ses fournisseurs pour tout dire et tout déclarer après tous les scandales de fraudes et de malfaçons qu’il y a eu ces dernières années ?



Il y a eu beaucoup de fraudes sur des pièces, qui dit que tout ait été vérifié et qu’il n’y a pas d’autres défauts non découverts ?



Les innombrables défauts et fragilités cumulés sur ce réacteur ne devraient-ils pas remettre en question sa mise en service ?



Le réacteur n’est pas fait pour résister à une chute d’avion de ligne ni à une attaque armée, c’est trop risqué.



EDF a tout prévu à Flamanville sauf les innombrables déboires de ce chantier et des autres EPR dans le monde... Comment croire aujourd’hui que cet exploitant est prêt à affronter les problèmes de demain ?



Les soudures tiendront-elles au vu des nombreux problèmes déjà rencontrés ?



Certaines soudures ne seront pas accessibles alors qu’elles devront être vérifiées durant l’exploitation.



Le principe de l’exclusion de rupture peut-il encore être appliqué au vu des fragilités constatées (colliers de maintien sur les piquages, soudures reprises etc.) ?



Le principe d’exclusion de rupture doit être écarté et EDF doit apporter toutes les justifications de sûreté qu’il n’a pas voulu réaliser jusque-là. Pas de mise en service sans démonstration de sûreté béton !



Tous les essais d’ensemble n’ont pas encore tous été fait. Ils peuvent générer des modifications des équipements, des systèmes et des règles générales d’exploitation. Leurs résultats doivent être inclus dans le dossier soumis à consultation.



La conservation des équipements sur l’EPR pose problème, plusieurs inspections de l’ASN l’ont montré.



Est-ce opportun de démarrer une machine dont certaines pièces rouillent depuis 10 ans ?



L’ASN dit elle-même dans son appréciation 2022 qu’il reste un travail important à mener en vue de la mise en service, le dossier n’est donc pas au point.



L’ASN le dit dans son appréciation 2022 : le dossier de mise en service est encore en cours d’instruction. Il peut donc encore changer et n’est pas finalisé.

Le dossier est trop volumineux et technique pour qu’on puisse le comprendre, néanmoins je tiens à manifester mon opinion.



Le réacteur a déjà coûté trop cher pour que l’électricité produite puisse être un jour rentable, la surveillance qu'impliqueront les diverses pièces défectueuses ne fera qu'augmenter les couts de fonctionnement, c'est un gouffre financier;



Cet argent aurait été mieux employé dans les énergies renouvelables ou l'isolation des logements, qui méritent que tut argent disponible leur soient dédié au lieu d'aller à l'EPR.



L’EPR génère des rejets de gaz à effet de serre, rejeter en mer de l’eau très chaude et de la radioactivité; il faut protéger le climat, la ressource en eau et la biodiversité, au lieu de continuer à les dégrader.



Le niveau de qualité de la construction et des études est insuffisant; comment faire fonctionner une usine nucléaire dont la construction a été si problématique?

Il n’y a toujours pas de solution pour les déchets nucléaires alors aucun nouveau réacteur ne doit être mis en service



Le contrôle des réacteurs nucléaires repose sur un système déclaratif. Or on ne peut faire confiance à EDF et à ses fournisseurs après tous les scandales de fraudes et de malfaçons de ce chantier. Il faut des avis d’experts indépendants, actuellement il y a conflit d’intérêt .



Les innombrables défauts et fragilités cumulés sur ce réacteur (cuve, couvercle, soudures...) doivent remettre en question sa mise en service.

La cuve nécessite un avis spécifique.



Le réacteur EPR de Flamanville est confronté à des problèmes graves dus à la fabrication défectueuse de sa cuve. Les anomalies dans l'acier compromettent la sûreté nucléaire.



Avant toute activation, des précautions renforcées, telles que des inspections approfondies et des mesures de sécurité améliorées, sont nécessaires.



La construction d'une nouvelle cuve, conforme aux normes, est incontournable pour garantir une stabilité opérationnelle à long terme.



Cette situation a sapé la confiance du public, nécessitant une approche transparente et des mesures concrètes.



En résumé, l'EPR de Flamanville nécessite des actions immédiates et forte pour assurer la sécurité et rétablir la confiance.



Pour une activation limitée dans le temps avec cette cuve (pas plus de 10 ans) donc si les conditions sont réunies et avec des mesures de sécurité renforcée !

Mais contre s'il n'y a pas les débuts de fabrication d'une cuve conforme.

Ce réacteur, comme tous les autres EPR a un défaut structurel qui ne peut pas être corrigé. De plus, c'est une technologie que ne maitrise pas (ou plus) EDF, il ressort donc de cet état de fait un gros danger de perte de maitrise si ce réacteur est mis en service.

Les EPR chinois ont mis en évidence un défaut de circulation de l'eau dans la cuve qui crée des surchauffe et des dégâts sur le crayons.

Le finlandais a eu bien du mal à démarrer et il n'y a aucune information qu'il fonctionne normalement.

Le EPR anglais ont de gros défauts de conception (ou de réalisation) créant un premier surcoût estimé à 9 milliards d'Euros. Sachant qu'EDF a fait des prix non révisables, le contribuable français sera, encore une fois mis à contribution pour éponger la dette.

10 à 12 milliards perdus sur l'EPR finlandais .

15 milliards perdus à Flamanville.

Déjà une première tranche de 9 milliards perdus sur les EPR anglais.

Il serait temps que ça cesse, d'autant que, fort des expériences chinoises, l'EPR de Flamanville a de très forts risques d'avoir les mêmes problèmes.



Démolir cet EPR avant toute contamination radioactive sera beaucoup plus facile à réaliser, donc moins coûteuse.



J'ai développé le contexte de cette aberration nucléaire dans mon livre IMPASSE NUCLÉAIRE.

Voici mes raisons:

- On connait les effets létaux des radiations nucléaires sur les organismes vivants notamment à travers les diverses catastrophes qui lui sont liées (bombardements sur le Japon au cours de la seconde guerre mondiale, graves accidents nucléaires survenus notamment en Russie et au Japon, etc.)

- Le contexte de tensions internationales est source de risques majeurs de conflits, impliquant notamment les armes nucléaires existant, dans lesquels les centrales nucléaires constituent des cibles stratégiques qui ne peuvent être que très aléatoirement protégés.

- Le fonctionnement des centrales actuellement en service contribue significativement au réchauffement planétaire et notamment à celui des eaux utilisées pour le refroidissement du cœur des installations. Les écosystèmes s'en trouvent d'autant plus impactés que d'autres rejets de toute nature polluent déjà les milieux aquatiques.

- le problème du recyclage et du stockage des déchets est très loin d'être résolu et source à retardement de graves pollutions

- Je refuse de léguer ce cadeau empoisonné aux générations futures.

- Je plaide pour une meilleure gestion de l'énergie, à tous les niveaux et pour le développement d'énergies renouvelables et sans danger.



Jean-Marc Jugand

Non, pour des raisons écologiques (rejets chimico-radiologiques, fuites de liquide de refroidissement, pompages d'eau de mer, rejets radioactifs dans la mer et chaîne alimentaire néfaste aux humains, absence d'avis de l'autorité environnementale, augmentation,ntation des transports de matières dangereuses, etc …)



Non, pour des raisons financières (surcoût avéré, coûts à venir préoccupants, se rajoutant à l'endettement d'EDF et aux contributions des citoyens par l'impôt, etc …)



De plus, il faut produire de l’électricité autrement que par des réacteurs nucléaires. Il faut de petites installations de renouvelables qui soient locales et plus résilientes.



Non, pour des raisons liées au dossier (trop volumineux et technique, absence d'experts indépendants sollicités, passages caviardés, etc …) - ce que l'ASN a elle-même reconnu !



Non, pour des raisons liées aux risques (trop de malfaçons, absence de solution raisonnée pour les déchets nucléaires, crash aérien - volontaire ou non -, fragilités - observées ou non - des soudures, etc …)

Cette folie de relance du nucléaire on en voit les conséquences à Flamanville. EDF pas prête, incompétence, défaut des installations à beaucoup de niveau, coût inadmissible et insupportable, délai jamais respecté ...c'est la fuite en avant. Se rajoute à ça des incertitude suite aux pannes des epr chinois ou finlandais, aux problèmes de construction et financiers en Angleterre. Vous ne pouvez pas autoriser le démarrage malgré toutes les incertitudes sécuritaires, les défauts de la cuve qui devrait être auscultée avant la mise en place des matériaux fissibles. EDF ne maîtrise pas toutes les conséquences de la mise en service qunad on voit comment elle gère les vieilles centrales toujours en activité malheureusement. Le nucléaire est une énergie du passé qui produit des déchets pour plusieurs génération sans savoir où les mettre, voyez La Hague qui déborde et ce n'est pas une énergie décarbonée.

Il est temps de passer à autre chose moins dangereux pour les générations futures

L’EPR de Flamanville est un outils le plus aboutit dans le domaine de la sureté au niveau mondial, de part la durée du projet et de l’évolution sans cesse grandissante des exigences, suite notamment aux accidents mondiaux dans le domaine.

Le retour d’expérience est largement pris en compte tant dans la conception et les modifications qui en ont découlées que dans la prise en compte des centaines de demandes formulées par les autorités de contrôle. La réalisation des essais à chaud démontre enfin que le chargement peut se faire dans les meilleures conditions d’exploitation future.

Les documents fourni sont truffés de manquements :

> Dans le chapitre 6 sur la sûreté, on peut lire en page 10 :



"En outre, l’enceinte est conçue pour supporter sans conséquence fonctionnelle sur son étanchéité une pression de [] et une température de [] pendant une durée de []"



->> comment on fait pour vérifier ???? il n'y a pas de données !!



> Dans l'ensemble du chapitre 10 de la section 2, il manque également des dizaines de données !



Les documents ne sont pas complets et sont très mal rédigés : il n'y a aucunes garanties suffisantes sur la sûreté des installations, en particulier sur celles non-démontables à ce stade pour garantir un fonctionnement perenne de cet équipement.

NON-CONFORMITE #1 :

FIABILITE INSUFFISANTE OU NULLE DES SYSTEMES DE SURETE RIS ET EVU/ENCEINTE DE CONFINEMENT

NON-CONFORMITE #2

L’ETAT A CONFIÉ LE CONTRÔLE DE LA SÛRETÉ DE L’EPR FA3 À UNE AUTORITÉ QUI NE SE DONNE PAS LES MOYENS DE PRENDRE SES RESPONSABILITÉS

NON-CONFORMITE #3

L’ETAT A CONFIÉ LE CONTRÔLE DE LA SÛRETÉ DE L’EPR FA3 À UNE AUTORITÉ QUI N’ASSUME PAS SES RESPONSABILITÉS



ARGUMENTATION , VOIR PJ :

2024 JANVIER EPR FA3 3 NONCONFORMITES