Projet de position de l’ASN relative aux orientations génériques du réexamen périodique de sûreté associé aux quatrièmes visites décennales des réacteurs de 900 MWe

Un gouvernement responsable doit tenir un discours de vérité et reconnaître qu'il n'est pas possible d'assurer une réelle radioprotection de sa population face aux accidents nucléaires quels qu'ils soient et face à une pollution et empoisonnement  éternels (au sens de la durée de la vie humaine) provoqués par les déchets nucléaires qu'on ne peut ni recycler ni détruire. Le risque sanitaire est avéré comme on  le montre ,30 ans après  l'accident de Tchernobyl , une population pourtant née après l'accident malade par une contamination quotidienne ingérée et la présence ,5 ans après Fukushima, d'iode radioactive dans les boues de décantation des eaux de consommation de Tokyo.

Ces catastrophes durent et il est irresponsable d'exposer les générations futures en prolongeant le fonctionnement des centrales nucléaires.

Le véritable courage serait d'abandonner cette énergie nucléaire pour des énergies renouvelables et d'avoir aussi le courage d'informer et de mettre en place une politique d'économie d'énergie à tous les niveaux.

Sortons du nucléaire alors que nous le pouvons. Nous avons cette chance, n'attendons pas l'accident pour agir.
Devons-nous nous inquiéter à chaque canicule, à chaque menace d'inondation, à chaque menace terroriste, pour la sécurité de nos centrales....?

Plûtot que prolonger la durée de vie des centrales, commençons par les remplacer une à une par des énergies propres, la plus propre étant celle que l'on ne consomme pas. Commençons par nous déconnecter du nucléaire et passons chez un fournisseur d'électricité 100% énergies renouvelables.

Débranchons tous les appareils électriques qui ne servent pas, changeons nos ampoules énergivores, baissons le chauffage, la clim, ne laissons pas les portes de magasins ouvertes, ne laissons pas recharger nos téléphones la nuit, éteignons les enseignes lumineuses des magasins, les ordinateurs et les imprimantes de bureau, équipons-nous de panneaux solaires, etc.

Des centaines, des milliers de gestes à échelle nationale pourraient permettre d'économiser une énorme quantité d'énergie. Ensuite, on verra si on besoin de toutes ces centrales nucléaires, et si les énergies renouvelables ne permettent pas de subvenir à nos besoins. Certains y arrivent !!

Merci de ne pas prolonger la durée de vie des centrales. Nous avons suffisamment stocké de déchets dangereux pour empoisonner notre génération et les générations futures.

Inutile de prendre le risque d'un nouvel accident dans une des centrales qui ne peuvent mourir de vieillesse(la radioactivité ne fait que diminuer). Mais le matériel vieillisant devient plus dangereux.

Arrêtons les centrales nucléaires, démantelons, cela demande beaucoup de temps et de travail. Justement, on en manque !

Economisons l'énergie, Remplaçons le presque  tout nucléaire par des énergies renouvables pour fabriquer l'électricité et cessons d'exporter à perte le savoir faire nucléaire français.

-       
en France et dans le monde à -52,03 % fin 2014, sortie du CAC 40, résultat de difficultés financières nées de gabegies et d'acquisitions-spéculations hasardeuses, de fiascos techniques à répétition (EPR Finlandais, EPR de Flamanville notamment), de la régression du marché de la destruction atomique avec aussi l'arrêt du "marché japonais" depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima.

Areva s'effondre financièrement

-       
: on en profite pour tourner la page, sortir du conservatisme, se tourner vers l'avenir, tenter d'assurer la protection sanitaire du pays et de sa population, lancer un grand plan de formation-reconversion des salariés et créer des milliers d'emplois ou bien on ponctionne encore les français pour renflouer la gabegie de quelques entêtés en col blanc et poursuivre le crime sanitaire ?

Un choix cornélien se pose alors

-       

Sortir du nucléaire ne coûtera pas plus cher que d’y rester :

-        Voir les conclusions de la commission du sénat sur la chaine parlementaire

-        70 % des français y sont favorables.

-        Les centrales arrivent en fin de vie ; en construire de nouvelles ou les restaurer coûtera aussi cher, surtout depuis Fukushima où l’on se doit de renforcer la sécurité.

-        Sortir du nucléaire coûterait 60 milliards d’euro de moins. (Global Chance)

-        SDN a évalué un scénario possible de sortie entre 5 et 10 ans.

-        Global Chance en 20 ans. Voir Laponche & Dessus

-        NégaWatt en 23 ans.

-        Plus l’on construira du renouvelable, moins cher il coûtera.

-        L’état ne soutient pas suffisamment le renouvelable et mise tj sur le nucléaire, décourageant la recherche dans ce domaine.

-        Au niveau mondial la production d’électricité renouvelable = 19,1 % (nucléaire = 13,6%

-       

Question sûreté :

-        Etait prévu un accident majeur toutes les 100 000 années réacteurs et une catastrophe toutes les 1000 000 années réacteurs.

-        Depuis 1979, 5 réacteurs dans le monde ont connu un accident grave.

-        L’occurrence réelle d’un accident majeur est donc 300 fois > à l’occurrence théorique calculée. Benjamin Dessus & Bernard Laponche « Accident nucléaire : une certitude statistique », Libération, 3/6/11.

-        Il y a 43 à 72 % de risques que sur 30 ans il arrive en Europe un accident majeur.

-        Beaucoup de facteurs de risque : vieillissement des réacteurs, impératifs de sûreté subordonnés à la logique de rentabilité économique, erreurs humaines, attentats, évènements climatiques, séismes, etc.

-        22 000 salariés précaires (« chair à neutrons ») pour la maintenance reçoivent 80 % des doses annuelles alors qu’ils ne représentent que 20 % du personnel.

-        Il existe 8 niveaux de sous-traitance ce qui conduit à une dilution extrême des responsabilités.

-        Les réacteurs sont la cible idéale à qui voudrait neutraliser notre production électrique (cf le survol par les drones de nos centrales).

-       
, en prenant compte de la menace terroriste, bien réelle et  qui risque de durer des années, il semble urgent aussi d’arrêter rapidement notre programme nucléaire pour ne pas risquer un drame nucléaire majeur, qui fragiliserait encore plus notre économie, et notre équilibre social et aurait des conséquences sanitaires incalculables et définitives.

A l’heure où la France vient de prolonger l’état d’urgence

-       
en France et dans le monde à -52,03 % fin 2014, sortie du CAC 40, résultat de difficultés financières nées de gabegies et d'acquisitions-spéculations hasardeuses, de fiascos techniques à répétition (EPR Finlandais, EPR de Flamanville notamment), de la régression du marché de la destruction atomique avec aussi l'arrêt du "marché japonais" depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima.

Areva s'effondre financièrement

-       
: on en profite pour tourner la page, sortir du conservatisme, se tourner vers l'avenir, tenter d'assurer la protection sanitaire du pays et de sa population, lancer un grand plan de formation-reconversion des salariés et créer des milliers d'emplois ou bien on ponctionne encore les français pour renflouer la gabegie de quelques entêtés en col blanc et poursuivre le crime sanitaire ?

Un choix cornélien se pose alors

-       

Sortir du nucléaire ne coûtera pas plus cher que d’y rester :

-        Voir les conclusions de la commission du sénat sur la chaine parlementaire

-        70 % des français y sont favorables.

-        Les centrales arrivent en fin de vie ; en construire de nouvelles ou les restaurer coûtera aussi cher, surtout depuis Fukushima où l’on se doit de renforcer la sécurité.

-        Sortir du nucléaire coûterait 60 milliards d’euro de moins. (Global Chance)

-        SDN a évalué un scénario possible de sortie entre 5 et 10 ans.

-        Global Chance en 20 ans. Voir Laponche & Dessus

-        NégaWatt en 23 ans.

-        Plus l’on construira du renouvelable, moins cher il coûtera.

-        L’état ne soutient pas suffisamment le renouvelable et mise tj sur le nucléaire, décourageant la recherche dans ce domaine.

-        Au niveau mondial la production d’électricité renouvelable = 19,1 % (nucléaire = 13,6%

-       

Question sûreté :

-        Etait prévu un accident majeur toutes les 100 000 années réacteurs et une catastrophe toutes les 1000 000 années réacteurs.

-        Depuis 1979, 5 réacteurs dans le monde ont connu un accident grave.

-        L’occurrence réelle d’un accident majeur est donc 300 fois > à l’occurrence théorique calculée. Benjamin Dessus & Bernard Laponche « Accident nucléaire : une certitude statistique », Libération, 3/6/11.

-        Il y a 43 à 72 % de risques que sur 30 ans il arrive en Europe un accident majeur.

-        Beaucoup de facteurs de risque : vieillissement des réacteurs, impératifs de sûreté subordonnés à la logique de rentabilité économique, erreurs humaines, attentats, évènements climatiques, séismes, etc.

-        22 000 salariés précaires (« chair à neutrons ») pour la maintenance reçoivent 80 % des doses annuelles alors qu’ils ne représentent que 20 % du personnel.

-        Il existe 8 niveaux de sous-traitance ce qui conduit à une dilution extrême des responsabilités.

-        Les réacteurs sont la cible idéale à qui voudrait neutraliser notre production électrique (cf le survol par les drones de nos centrales).

-       
, en prenant compte de la menace terroriste, bien réelle et  qui risque de durer des années, il semble urgent aussi d’arrêter rapidement notre programme nucléaire pour ne pas risquer un drame nucléaire majeur, qui fragiliserait encore plus notre économie, et notre équilibre social et aurait des conséquences sanitaires incalculables et définitives.

A l’heure où la France vient de prolonger l’état d’urgence

-       
en France et dans le monde à -52,03 % fin 2014, sortie du CAC 40, résultat de difficultés financières nées de gabegies et d'acquisitions-spéculations hasardeuses, de fiascos techniques à répétition (EPR Finlandais, EPR de Flamanville notamment), de la régression du marché de la destruction atomique avec aussi l'arrêt du "marché japonais" depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima.

Areva s'effondre financièrement

-       
: on en profite pour tourner la page, sortir du conservatisme, se tourner vers l'avenir, tenter d'assurer la protection sanitaire du pays et de sa population, lancer un grand plan de formation-reconversion des salariés et créer des milliers d'emplois ou bien on ponctionne encore les français pour renflouer la gabegie de quelques entêtés en col blanc et poursuivre le crime sanitaire ?

Un choix cornélien se pose alors

-       

Sortir du nucléaire ne coûtera pas plus cher que d’y rester :

-        Voir les conclusions de la commission du sénat sur la chaine parlementaire

-        70 % des français y sont favorables.

-        Les centrales arrivent en fin de vie ; en construire de nouvelles ou les restaurer coûtera aussi cher, surtout depuis Fukushima où l’on se doit de renforcer la sécurité.

-        Sortir du nucléaire coûterait 60 milliards d’euro de moins. (Global Chance)

-        SDN a évalué un scénario possible de sortie entre 5 et 10 ans.

-        Global Chance en 20 ans. Voir Laponche & Dessus

-        NégaWatt en 23 ans.

-        Plus l’on construira du renouvelable, moins cher il coûtera.

-        L’état ne soutient pas suffisamment le renouvelable et mise tj sur le nucléaire, décourageant la recherche dans ce domaine.

-        Au niveau mondial la production d’électricité renouvelable = 19,1 % (nucléaire = 13,6%

-       

Question sûreté :

-        Etait prévu un accident majeur toutes les 100 000 années réacteurs et une catastrophe toutes les 1000 000 années réacteurs.

-        Depuis 1979, 5 réacteurs dans le monde ont connu un accident grave.

-        L’occurrence réelle d’un accident majeur est donc 300 fois > à l’occurrence théorique calculée. Benjamin Dessus & Bernard Laponche « Accident nucléaire : une certitude statistique », Libération, 3/6/11.

-        Il y a 43 à 72 % de risques que sur 30 ans il arrive en Europe un accident majeur.

-        Beaucoup de facteurs de risque : vieillissement des réacteurs, impératifs de sûreté subordonnés à la logique de rentabilité économique, erreurs humaines, attentats, évènements climatiques, séismes, etc.

-        22 000 salariés précaires (« chair à neutrons ») pour la maintenance reçoivent 80 % des doses annuelles alors qu’ils ne représentent que 20 % du personnel.

-        Il existe 8 niveaux de sous-traitance ce qui conduit à une dilution extrême des responsabilités.

-        Les réacteurs sont la cible idéale à qui voudrait neutraliser notre production électrique (cf le survol par les drones de nos centrales).

-       
, en prenant compte de la menace terroriste, bien réelle et  qui risque de durer des années, il semble urgent aussi d’arrêter rapidement notre programme nucléaire pour ne pas risquer un drame nucléaire majeur, qui fragiliserait encore plus notre économie, et notre équilibre social et aurait des conséquences sanitaires incalculables et définitives.

A l’heure où la France vient de prolonger l’état d’urgence

Aucune prolongation et bien au contraire arrêt immédiat de toutes ces usines à mort !
Source d’énergie au prix d’un poison sans non et source de bombes menaçant la survie de l’humanité.
Le prochain accident nucléaire touchera sûrement la France, c’est une certitude ! La France n’échappera pas à la destruction totale de la folie nucléaire.
Quand on voit la faillite de ce système, même économiquement la prolongation ne se justifie pas !
Pour la vie, STOP AU NUCLEAIRE !

Après Tchernobyl et Fukushima, les instances dirigeantes ne peuvent ignorer les conséquences irréversibles  et irréparables d'un accident nucléaire; elle ne peuvent pas plus ignorer les conséquences de l'utilisation des centrales nucléaires: production de déchets toxiques pour des milliers d'années, contaminations atmosphérique, maritime, fluviales permanentes.

Chaque année de fonctionnement qui passe agrave le risque d'une catastrophe en France, renforcée par les phénomènes de dérèglements climatiques.

Je m'oppose avec la plus grande fermetée à la prolongation du fonctionnement des centrales nucléaires au delà de 40 ans comme au dela de 30 ans, et j'exige, au nom de l'humanité otage de la menace nucléaire, que soient fermées immédiatement toutes les centrales qui ont dépassées les 30 ans de fonctionnement pour lesquelle elles ont été conçues.

La production d'électricité nucléaire doit être arrêtée au plus vite, la menace qu'elle fait peser sur les populations est intolérable.

Je vous demande, plutôt que d'envisager de prolonger la durée de vie des centrales nucléaires, de mettre en place un projet ambitieux de développement des énergies renouvelables, d'efficacité énergétique, et surtout d'éducation des populations à la sobriété energétique.

Je compte sur le sens moral qui doit présider aux décisions de ceux qui ont en charge le bien être et l'avenir de leur population.

Je suis opposée à la prolongation au delà de 40 ans des réacteurs de 900 MW pour les raisons suivantes :

mauvaise gestion actuelle par les exploitants qui ne respectent pas toujours les préconisations de l'ASN

aucune solution actuelle pour les déchets nucléaires

risque accrus d'accidents

problématique des coûts que ce soit concernant l'entretien des réacteurs, le démantèlement...

Il y a 20 ans la même question c'est posée et on a prolongé.

Ce ne sera pas toujours possible de reculer face aux multiples et insolubles problèmes crés par la filière nucléaire. Il faut arrêter en urgence.