Dans
quelles conditions de sûreté les centrales de 900 MWe,
les plus anciennes du parc nucléaire français, peuvent-elles
continuer de fonctionner ? Comment garantir la maîtrise du
vieillissement des matériaux et des circuits après 40 ans d’exploitation
?
Comment
faire encore progresser la sûreté des installations, au regard
notamment des réacteurs les plus récents ?
L’ASN contribue aujourd’hui aux côtés d’autres acteurs à la
concertation sur ces questions, sous l’égide du Haut Comité pour la transparence
et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN).
Mesures
pour améliorer la sûreté, modalités de prise de décision, implication
du public, état des lieux dans d’autres pays en Europe et dans le
monde… autant de clés pour comprendre les enjeux des quatrièmes
réexamens périodiques des centrales nucléaires françaises de 900 MWe.
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