Avis de consultation du public sur la demande d’autorisation de mise en service du réacteur EPR de Flamanville (INB 167)

Il est plus que temps d'obtenir de l'electricité décarbonnée et pilotable de ce réacteur qui a du subir, entre autre, un invraisemblable rajout de sécurité après Fukushima; sans compter sans les attaques permanentes de trop de personnes incompétentes.J'espère que la filièreIV pour laquelle nous avons 2000ans d'indépendance energétique et avions une grande avance, massacrée par les socialistes pour avoir 5% des voix de la population (les verts) va repartir enfin.Je ne fait pas parti d'un lobby mais je pense avec mon cerveau et pas mes tripes, et je crois que c'est....mieux.

Enfin rappelons nous que nous avons l'electricité la plus décarbonnée et pilotable ce qui est indispensable.

Consultation publique après consultation publique, la machine infernale avance, à grand renforts de lobbying nucléaire payé par nos factures.

Les rares citoyens avisés peuvent s'exprimer, sans illusion, mais le referendum serait à mon avis un minimum pour un problème aussi impactant à très long terme.

A l'occasion de la dernière consultation sur la relance de l'atome, le gouvernement est allé jusqu'à prendre des décisions sans attendre la fin du débat public, chapeau l'artiste!

Je ne vois pas comment faire mieux pour saper l'espoir d’être écouté, à l'image de la ratification du traité européen refusée en 2005 et passée en force sans vote en 2008... triste démocratie.



Cet EPR aussi cher que fragile, ne peut pas être mis en route sans remplacer préalablement sa cuve et son chapeau.

Quand ces réparations seront faites, il faudra se demander si il ne sera pas une cible toute trouvée pour le fou russe.

Ce réacteur ne peux décemment pas démarrer sans changement de la cuve et de son couvercle, dont le forgeage a été loupé.

Cette pièce maitresse pourtant en exclusion de rupture est officiellement plus fragile que l'objectif qu'on s’était fixé au départ, elle aurait dû être refusée.



Il n'est pas encore trop tard pour la remplacer, sous peine de rupture explosive dans 6 mois? 6ans?? personne ne sait!

Ce jour là on dira qu'on savait mais que l’excès de confiance des "experts" juges et parties, a mené à cette fâcheuse catastrophe très mal indemnisée.



Du jour au lendemain, le Cotentin deviendra un no man's land, et nous aurons quelques millions (700 par EDF et 500 par l'Etat) pour évacuer/reloger/protéger/décaper... là où il a fallu plusieurs centaines de milliard pour Tchernobyl.

Je souhaite vivement un démarrage rapide de l'EPR de Flamanville. La production pilotable d'électricité est une priorité pour le pays. Seuls l'hydraulique et le nucléaire peuvent assurer cette production pilotable sans émission de CO2. Le démarrage de nouvelles installations nucléaires sous le contrôle de l'ASN est une nécessité pour permettre le transfert vers l'électrique des activités actuelles émettrices de CO2 : industrie, chauffage, transports. La production d'électricité décarbonée et pilotée est une nécessité pour permettre ce transfert et une réindustrialisation de la France. Notre pays a toutes les structures permettant cette évolution tout en prenant en compte les aspects de la sécurité indispensables.

Par pitié, n'allumez pas cette bouilloire atomique fragile, chère et polluante, vos enfants vous remercieront.



Notre absolue dépendance aux rares pays producteurs d'uranium nous place dans une situation très inconfortable, surtout quand l'un d'eux décide d'envahir l'Ukraine.

La Russie ayant de surcroit le monopole de l'enrichissement de l'uranium retraité, il faut rester pote à tout prix avec Vladimir, sinon le cycle n'est plus bouclé.



Situation délicate consistant à cesser les importations de gaz, mais maintenir le commerce de l'uranium dont nous sommes accros...



Pour Flamanville, commencez par changer la cuve et le couvercle, et on refait une consultation dans 3 ans, merci.

Je pense qu'une grande partie de ces avis favorables proviennent de gens qui sont liés à l'industrie nucléaire de près ou de loin. Pour la grande majorité des Français, ce réacteur est le symbole d'un monde où la fuite en avant technologique nous mène tout droit à la catastrophe.

Il a déjà englouti, et engloutira encore, des sommes faramineuses qui seraient bien mieux employées à investir dans les économies d'énergie, l'efficacité et les énergies renouvelables (voir le scénario Négawatt).

Il ne sauvera pas le climat, car contrairement à ce qui se dit un peu partout, le nucléaire contribue aussi à réchauffer l'atmosphère, par les grandes quantités d'eau qu'il vaporise. D'autre part il est vulnérable au changement climatique : montée des eaux, canicules et sécheresse. En outre, les trop longs délais de construction nous empêchent d'agir vite pour enrayer la catastrophe écologique, cela gaspille un temps et un argent précieux.

Il ne contribue pas à notre indépendance énergétique puisque nous importons l'uranium.

Il produit des quantités importantes de déchets radioactifs à vie longue, que l'on ne sait pas gérer et dont on impose la présence aux générations futures.

Il est aussi très vulnérables aux cyberattaques, et chacun sait désormais que la guerre peut aussi se faire de cette façon.

Je salue la compétence et la grande implication de tous ceux qui travaillent dans le nucléaire et veillent à la sécurité, mais ce ne sont que des humains, soumis à des erreurs et des faiblesses possibles. Il faut reconnaître que cette technologie est trop grande et trop complexe pour nous, et admettre que nous ne pourrons jamais tout maîtriser. Or, un accident en Normandie aurait des conséquences incalculables, et cet EPR, voulu à toute force par les autorités politiques depuis des décennies, naît sous des auspices bien inquiétants et fragiles. Il est encore temps de dire STOP !

Entièrement favorable au lancement de cet EPR, en espérant que ce soit le premier d'une longue série, accompagnée par le développement des réacteurs de 4ème génération dans une approche globale du nucléaire durable, permettant d'utiliser les stocks d'Uranium 238. Après des décennies de tentatives de sabotage de notre industrie nucléaire, la France a un besoin vital de revenir à une stratégie de long terme, englobant tous les aspects du cycle nucléaire, de la mine à l'enfouissement des déchets ultimes, associant les réacteurs de grande taille aux petits et micro réacteurs, visant des objectifs de fourniture d'énergie au sens large. Pour avoir suivi la séance de l'OPECST consacrée à la sureté de ces derniers, j'attends beaucoup de l'ASN pour trouver le juste niveau d'exigence sans tomber dans le toujours plus.



Le nucléaire représente notre espoir d'atteindre une énergie décarbonée, disponible et bon marché, indispensable à la souveraineté de notre pays. Il faut le consolider, en remettant les EnRi à leur juste place, très loin des chimères du 100% renouvelable.



L'idéologie anti-nucléaire a fait suffisamment de mal. La France doit retrouver sa place de leader européen du nucléaire, avec fierté.

AVIS TRES FAVORABLE

L’EPR vient de faire ses preuves tant en FINLANDE qu’en CHINE.

Bien que nous ayons eu de nombreux avatars durant les 2 années passées, nos connaissances du nucléaire électrique est en train du prouver sa fiabilité et sa qualité de production très, très peu carbonée.

Il est plus que temps de faire produire FLAMANDVILLE : besoin d’Energie fiable et pilotable et aussi faire la preuve de notre qualité et qualification à progresser dans l’énergie électrique nucléaire afin de susciter les vocations de nos jeunes opérateurs : formation de techniciens et ingénieurs



Indispensable pour notre sécurité énergétique (et celle-ci demande une suite)

Ce réacteur, pilote d'une nouvelle génération de réacteurs nucléaire, doit pouvoir démarrer au plus tôt pour tester toutes les nouvelles solutions qu'il a reçues à sa conception et ses évolutions au fur et à mesure des sa construction. Son niveau de sûreté encore amélioré doit être démontré en vraie grandeur en exploitation. Les futures 6 nouveaux EPR doivent pouvoir en profiter. Sa puissance électrique sera un atout majeur pour le parc nucléaire EDF et pour l'énergie électrique dont la France à besoin. Surtout en cette période hivernale. C'est un gage d'indépendance énergétique, et une contribution efficace à la décarbonation de l'énergie nécessaire à notre pays.